Tapa’s1 job : la JCE recrute des demandeurs d’emploi et des entreprises

La Jeune Chambre Économique de Montpellier organise une rencontre inédite entre demandeurs d’emploi nouvellement arrivés sur Montpellier et entreprises et professionnels du recrutement le 15 octobre prochain. Elle lance un appel aux uns et aux autres pour participer à cette opération conviviale baptisée Tapa’s1 Job.
« L’objectif des rencontres Tapa’s1 Job est de faciliter l’insertion dans l’emploi des personnes qui habitent la métropole de Montpellier depuis trois ans maximum, explique Émilie Millet, présidente de la JCE de Montpellier. L’événement aura lieu dans un cadre convivial et informel et leur permettra d’échanger avec des acteurs économiques montpelliérains (entreprises, réseaux et institutionnels). » Déclinaison d’une action de la JCE d’Agen devenue Projet national, Tapas’1 Job a pour principaux objectifs d’apporter aux candidats des conseils en recrutement et de leur permettre d’enrichir leurs carnets d’adresses. Les entrepreneurs présents quant à eux ont la possibilité de découvrir de nouveaux profils et d’échanger sur leurs bonnes pratiques en matière de recrutement.
Pour participer à Tapa’s1 Job le 15 octobre dès 18h30 :
• Envoyer un mail à l’adresse suivante : JCE.tapas1job[@]gmail.com
• Les demandeurs d’emploi doivent joindre leur CV.
• La JCE communiquera le lieu de la rencontre par email aux participants sélectionnés.
À propos de la JCE-JCI
La JCE de Montpellier est affiliée à la Jeune Chambre Économique Française (JCEF) et à la Junior Chamber International (JCI), organisation de jeunes citoyens responsables et solidaires qui œuvrent pour favoriser le développement de leurs cités et pays. Agés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCI réalisent des actions concrètes dans tous les domaines : économique, social, humanitaire, culturel… Ainsi formés à la prise de responsabilités, ils agissent pour une société meilleure.
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Contact presse : Roxanne OSANNO, directrice du projet, 06 65 18 67 93.
 

L’entrepreneuriat féminin en fête le 17 novembre à Montpellier

Le Club des Créatrices d’entreprises de Montpellier fête ses 20 ans le 17 novembre prochain à l’Hôtel du Département. Le CIDFF de l’Hérault et le Comité d’organisation des 20 ans programment une après-midi et une soirée anniversaires dédiées à l’entrepreneuriat féminin ouvertes à tous les professionnel-les.
Le CIDFF de l’Hérault et les entrepreneuses du Club des Créatrices de Montpellier préparent, pour les 20 ans du Club, un événement ouvert à tou(te)s les acteurs-trices de l’économie régionale « pour vivre un riche et unique moment de partages et de rencontres autour de l’entrepreneuriat féminin et des réseaux porteurs pour l’entreprise ! ». La manifestation aura lieu le 17 novembre à Montpellier, à l’Hôtel du Département, dès le début d’après-midi et se poursuivra tard dans la soirée. Jusqu’à 350 professionnels, femmes et hommes, sont attendus pour la soirée festive, 150 dans l’après-midi pour les ateliers qui se dérouleront à l’Hôtel du Département et au lycée Jean Monnet. Les inscriptions ouvrent le 21 septembre : les premiers inscrits (avant le 17/10) bénéficieront d’un tarif promotionnel de 18 euros.
Les créatrices proposent aux participants d’échanger, de réfléchir et de partager sur leur quotidien professionnel, dans l’esprit qui caractérise les réunions de travail mensuelles du Club des Créatrices.
Les temps forts :

• un café d’accueil ludique
• des ateliers animés par des expert-es (témoignages, jeux, ateliers collaboratifs…) sur des thématiques comme la conciliation vie professionnelle / vie personnelle, l’e-réputation, les approches commerciales innovantes
• une table ronde « Paroles d’innovatrices »
• un speed business meeting
• un cocktail dînatoire, une soirée musicale et dansante.
Inscription obligatoire
• sur Internet dès le 21 septembre : https://www.weezevent.com/20-ans-deja-2
• tarif 22 euros. Promotion à 18 euros jusqu’au 17 octobre. Tarif de 26 euros après le 10 novembre.
• informations : http://clubdescreatrices34.jimdo.comclubdescreatrices34[@]gmail.com.
à propos du CIDFF de l’Hérault et du Club des Créatrices
Le Centre d’information sur les droits des femmes et des familles de l’Hérault est un lieu d’accueil et d’information pour tous les publics et plus particulièrement pour les femmes. Il a une mission d’intérêt général confiée par l’État, selon un accord renouvelé tous les 3 ans. L’objectif du CIDFF est de favoriser, par des actions concrètes, l’autonomie sociale, professionnelle et personnelle des femmes et de promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes. Il donne des informations juridiques et intervient en conseil conjugal et familial, médiation familiale, emploi et formation, éducation et santé.
Le Club des Créatrices est une action portée par le CIDFF de l’Hérault depuis 1995. Son animatrice et coordinatrice Martine Viguier a proposé à un millier de femmes en 20 ans une méthodologie permettant l’échange de pratiques, d’expériences et d’informations, et favorisant la mise en réseaux. Les soirées mensuelles thématiques du Club facilitent l’émergence de l’entrepreneuriat féminin et le valorisent. Le Club des Créatrices de Montpellier a servi de modèle pour la mise en place de nombreux autres clubs en France, en Europe et dans le bassin méditerranéen.
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Contact presse : Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.

C-TAKI ce tampon encreur astucieux ? À un Montpelliérain !


L’idée est simple et rencontre un franc succès depuis son premier lancement il y a deux ans : associer un tampon encreur traditionnel et une encre spéciale textile résistante au lavage et hypoallergénique. Le C-TAKI, tampon encreur destiné à identifier les vêtements, est un produit montpelliérain et se vend en ligne dans toute la France sur le site web de TGL Création. Sa nouvelle formule, lancée cet été, séduit autant les parents qui ont besoin de marquer les vêtements de leurs enfants pour l’école, la crèche ou les colonies de vacances, que les professionnels accueillant du public en long séjour (hôpitaux, établissements de retraite…).
Le C-TAKI inspiré par Émilie, professionnelle de la petite enfance
Chaque année, les crèches et les haltes-garderies demandent aux parents d’identifier les vêtements de leurs enfants. Lorsqu’ils omettent de le faire, par manque de temps souvent, c’est un vrai casse-tête pour le personnel de ces établissements. Pour en finir avec les malles de vêtements à trier dans sa crèche, Émilie a discuté avec son mari Romain des solutions plus ou moins pratiques à disposition des parents. Romain Issarte, fabricant de tampons encreurs à Montpellier, a alors eu l’idée du C-TAKI pour simplifier le marquage des habits en évitant la corvée des étiquettes à coudre ou à coller. Il a testé son concept et l’a fait évoluer au fil des mois, grâce aux retours de ses clients, pour proposer un produit adapté à leurs besoins.
C-TAKI mode d’emploi
L’acheteur choisit le nombre de lignes dont il a besoin (de 1 à 3), la nature des informations à faire figurer (prénom, nom, téléphone, classe…), la police de caractère, sa taille et la graisse du texte. Grâce au simulateur, il peut faire des essais et sélectionner le texte qui lui convient.
Le tampon encreur permet de marquer le revers de l’étiquette ou le vêtement lui-même. Il est possible de réaliser jusqu’à 1000 marquages avec un C-TAKI ; il se recharge au bout de 6 mois.
Prix : 24,90 euros TTC [tarif dégressif à partir de 2 tampons].

Romain Issarte, entrepreneur pragmatique
TGL Création est fabricant de tampons, plaques et impressions personnalisés depuis 1966. Romain Issarte gère la SARL depuis fin 2006. Alors âgé de 22 ans, diplômé de l’ESC Toulon et désireux de créer son entreprise, il saisit l’opportunité de reprendre en solo l’affaire TGL, entreprise montpelliéraine en difficulté. Romain travaille aujourd’hui avec 4 collaborateurs dans sa boutique du boulevard de Strasbourg et par le biais du site Internet tglcreation.com qu’il a développé dès 2007 et refondu en 2013. Pour Romain, entreprendre est une philosophie de vie. Son credo : l’écoute du marché, le sur-mesure et l’intégration de la fabrication à partir de matières premières sourcées en France et en Europe (Autriche pour Trodat).
TGL Création en bref
CA 2013 : 321 K€.
 Nombre de salariés : 5.
Produits phares : plaques professionnelles gravées, tampons de sociétés et professionnels, plaques nominatives [boites aux lettres, portes et interphones], le C-TAKI.
+ de 20 000 clients web. Plus de 5000 familles utilisent déjà le C-TAKI.
Clients : particuliers et professionnels [indépendants, TPE-PME, multinationales, collectivités dont Schneider, Michelin, Eiffage, System U, TAM, Midi Libre…].
Membre du Synafel [Syndicat National de l’Enseigne et de la Signalétique].

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Contacts presse : Karine Baudoin 06 30 08 42 14 • Benoît Durasnel 06 61 92 22 85.
 

Le C-TAKI identifie les vêtements des enfants


Rentrée scolaire, premiers pas à la crèche, classes de neige, départs en vacances : à chaque saison sa corvée d’habits à marquer, d’étiquettes à coudre ou à coller ! Le tampon prénom pour vêtement C-TAKI simplifie la vie des parents : ce tampon encreur textile personnalisé permet en effet de marquer le revers de l’étiquette ou le vêtement lui-même. C’est net et sans bavure ! Inutile de laisser sécher : le linge peut aussitôt être plié et rangé, ou porté. Résistante au lavage jusqu’à 90°C, l’encre non irritante respecte la peau fragile des enfants. Économique, le C-TAKI permet de réaliser jusqu’à 1000 marquages ; il se recharge au bout de 6 mois.

À chaque enfant son C-TAKI
Le C-TAKI se commande sur le site Internet de TGL Création. L’acheteur choisit le nombre de lignes dont il a besoin (de 1 à 3), la nature des informations à faire figurer (prénom, nom, téléphone, classe…), la police de caractère, sa taille et la graisse du texte. Grâce au simulateur, il peut faire des essais et sélectionner le texte qui lui convient. Les créateurs du C-TAKI ont pensé aux familles nombreuses et aux achats groupés : ils proposent des tarifs dégressifs à partir de deux tampons commandés.
Le C-TAKI inspiré par Émilie, professionnelle de la petite enfance
Chaque année, les crèches et les haltes-garderies demandent aux parents d’identifier les vêtements de leurs enfants. Lorsqu’ils omettent de le faire, par manque de temps souvent, c’est un vrai casse-tête pour le personnel de ces établissements. Pour en finir avec les malles de vêtements à trier dans sa crèche, Émilie a discuté avec son mari Romain des solutions plus ou moins pratiques à disposition des parents. Romain, fabricant de tampons encreurs à Montpellier, a alors eu l’idée du C-TAKI pour simplifier le marquage des habits. Romain Issarte a testé son concept et l’a fait évoluer au fil des mois, grâce aux retours des parents, pour proposer un produit adapté à leurs besoins.
 
Le C-TAKI est conçu par la société TGL Création, spécialiste français de la gravure et du tampon encreur pour les professionnels et les particuliers.
Prix de vente unitaire : 24,90 € TTC
Livraison gratuite.
Diffusion : www.tglcreation.com
Tarifs dégressifs :
2 tampons (-20%), 5 tampons (-25%).
Disponible en 10 coloris d’appareil,
livré avec une encre noire pour le textile, prêt à tamponner.
En complément, la cassette d’encre ou l’encre textile en flacon pour recharger le tampon.
 
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Visuels HD sur demande.
Agence de presse : Karine Baudoin 06 30 08 42 14 • Benoît Durasnel 06 61 92 22 85.
 

La culture à la télévision : mémoire, création et engagement citoyen • Débat Comédie du Livre

Dimanche 31 mai de 11h à 12h, dans le cadre de la Comédie du Livre de Montpellier, le stand Éditeurs en région accueillera une rencontre-débat sur le thème de la culture à la télévision. Au programme les témoignages de Jean-Michel Mariou (directeur de l’antenne France 3 Languedoc-Roussillon), Serge Lalou (producteur), Marie Poitevin (réalisatrice), Aurel (dessinateur de presse), François Fronty (réalisateur du magazine « On dirait le Sud ») et Nathalie Combe (directrice éditoriale du magazine). Autour du magazine culturel « On dirait le Sud », diffusé une fois par mois sur France 3 Languedoc-Roussillon, la rencontre-débat portera, entre autres, sur les programmes culturels et les publics de la télévision, et sur la façon dont ce média peut relayer les efforts faits par les institutions dans le domaine de la culture. Quatre films produits dans le cadre du magazine « On dirait le Sud » seront en libre accès sur des écrans individuels : “Biou“ de Sylvère Petit, “Les Mines d’Alès“ de Yann Sinic, “Arlette et Hadj“ de Marie Poitevin et “Les animaux totémiques“ d’Hélène Morsly.

« On dirait le Sud », seul magazine culturel de France Télévisions en région, est la première production des Films d’Ici Méditerranée, mise à l’antenne depuis septembre 2014. Serge Lalou et Anne-Marie Luccioni, associés aux Films d’Ici, ont créé Les Films d’Ici Méditerranée en 2014 à Montpellier. Cette société de production a pour vocation de repérer, produire et coproduire en fictions, documentaires, animations et productions interactives le meilleur de la production méditerranéenne, le faire connaître en France, l’accompagner artistiquement et financièrement, et l’internationaliser.
Serge Lalou conduit ce travail depuis des années au sein des Films d’Ici, comme en témoigne le récent « Eau Argentée » du réalisateur syrien Ossama Mohamed coréalisé par Simav Bedxin, produit avec Camille Laemlé et sélectionné au Festival de Cannes 2014. Filmed souhaite participer au développement de la production en Région à un moment important du processus de régionalisation. Serge Lalou continue parallèlement son activité de producteur au sein des Films d’Ici.
Contact production : Élodie Dombre, Les Films d’Ici Méditerranée, 06 20 67 37 04.
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Contact presse : Karine Baudoin, 06 30 08 42 14.
 

Culture • « On dirait le Sud » saison 2015 sur France 3 Languedoc-Roussillon

7 janvier 2015 – 27 février 2015 • À quoi bon la culture, cette autre idée du Sud ?
Parce que c’est la seule façon de résister, répondent les artistes et « On dirait le Sud ».

En 2015, le magazine « On dirait le Sud » propose de nouvelles rencontres singulières avec la culture et le patrimoine régional sur l’antenne de France 3 Languedoc-Roussillon. Le prochain numéro, programmé le 27 février, conduira les téléspectateurs dans les bureaux de trois dessinateurs de presse à Montpellier, Pérols et Nîmes, dans les ateliers de la Manufacture nationale de la Savonnerie à Lodève, sur le chantier de fouilles de l’abbaye de Saint-Gilles, dans les coulisses du Centre Dramatique National de Montpellier et du Théâtre de Narbonne. Après un hommage au photographe Lucien Clergue, le parcours s’achève sur scène à Nîmes à Paloma et sur les Causses cévenols avec Piers Faccini.
Après le drame de Charlie Hebdo
« Ce soir-là nous sommes une dizaine de jours après le traumatisme de début janvier. Comment ne pas y penser ? Comment ne pas l’évoquer » interroge la voix off du documentaire de Yann Sinic sur Rodrigo Garcia, le nouveau directeur du Centre dramatique national de Montpellier : « À quoi cela sert-il de faire du théâtre, du cinéma, dans un tel désenchantement ? » Le numéro 4 de « On dirait le Sud » porte l’empreinte de l’actualité dramatique du début d’année, communique le doute qui assaille les artistes autant que leur pugnacité, la vivacité d’un coup de crayon.
Ainsi Laure Pradal a-t-elle filmé trois dessinateurs de presse en Languedoc-Roussillon : Aurel, Eddie Pons et Roland Hours. Ils lui font part de leur processus créatif, de leur quête d’idées. Au fil des planches, des références aux attentats perpétrés au sein de la rédaction de Charlie Hebdo… Aurel commente une illustration intitulée « Monsieur Tignous, éleveur de dessinateurs » : « Tu lui montrais tes dessins, il te disait que c’était nul et pourquoi c’était nul. Tignous était quelqu’un qui acceptait de prendre le temps de discuter. » Roland Hours s’étonne : « Quand je travaillais à l’Evénement du Jeudi, on était plus libre que maintenant ! »
Cinq volets jusqu’à l’été
L’aventure se poursuit en 2015 pour le magazine culturel « On dirait le Sud » coproduit par Les Films d’Ici Méditerranée (Montpellier) et France Télévisions. Les trois premiers numéros diffusés à l’automne ont donné le ton et affirmé, selon le producteur Serge Lalou*, « la nécessité d’ouvrir des espaces télévisuels pour la création et le nécessaire cofinancement de la télévision publique régionale par les collectivités territoriales. » Soutenu par la Région et la DRAC notamment, « On dirait le Sud » donne rendez-vous aux téléspectateurs les 27-28 février, 27-28 mars et 24-25 avril, à 0h15 et 15h20. Deux autres numéros seront programmés en mai et juin.
Le seul magazine culturel de France 3 Région
Émission mensuelle de 52 mn diffusée par France 3 Languedoc-Roussillon, « On dirait le Sud » est le seul magazine culturel existant sur une antenne de France 3 Région. Placé sous la direction éditoriale de Nathalie Combe assistée de Delphine Lalou, le magazine se compose de 8 films courts de 6 à 8 mn commandés à des auteurs-réalisateurs choisis en fonction de leur connaissance du sujet et de leur inscription dans la région. Chaque épisode est conçu comme une entité, avec son rythme propre, un sommaire qui présente en images les films de l’épisode et une voix off qui incarne le ton du magazine (la voix 2015 est celle de Jean-Michel Mariou, délégué France 3 Languedoc-Roussillon). La volonté de François Fronty, auteur-réalisateur, est « de filmer de façon remarquable des réalités culturelles remarquables, faire découvrir et diffuser la culture sous toutes ses formes. »
* Serge Lalou et Anne-Marie Luccioni, associés aux Films d’Ici, ont créé en juillet 2014 à Montpellier une nouvelle société de production, Les Films d’Ici Méditerranée (Filmed). « On dirait le Sud » est leur première production, mise à l’antenne en septembre 2014.
Page Facebook de l’émission :
https://www.facebook.com/pages/On-dirait-le-Sud/796139110428797


// Sommaire du numéro 04 – Février 2015 //

Programmation : 27 février 2015 à 0h15.
Rediffusion : 28 février 2015 à 15h20.
Durée : 52 mn.
Contact production : Élodie Dombre, administration de production, 06 20 67 37 04.
Des dessinateurs de presse, de Laure Pradal
Après l’émotion suscitée par l’assassinat des dessinateurs de Charlie Hebdo, Laure Pradal filme les dessinateurs politiques installés en Languedoc-Roussillon : Aurel, Eddie Pons et Roland Hours, qui dessinent pour des journaux politiques ou d’information (Le Monde, Politis) en parallèle de leur travail de dessinateur de BD. Comment travaillent-ils au quotidien ? Qu’est-ce qui fait l’essence de leur métier ?

L’aventure au long cours, de Marie Poitevin
Cet atelier de création de tapis est situé aux abords de la ville de Lodève, dans un bâtiment à l’écart qui abrite un trésor de savoir-faire. Il est une annexe des Gobelins. Des hommes et des femmes, appelés lissiers, travaillent patiemment sur la réalisation d’ouvrages contemporains ou de reproductions de tapis anciens. Ici la rentabilité n’existe pas. Il n’y a pas de contraintes de temps, l’ouvrage prendra plusieurs années, parfois 7 ans. Le 20 janvier 2015 a lieu « la remise d’un métier » aussi appelée la « délivrance d’un tapis » dont on coupera les chaînes après de nombreuses années d’ouvrage. La réalisatrice propose trois portraits qui témoignent de la profondeur historique de cette manufacture (née après la guerre d’Algérie pour donner du travail aux femmes harkis) et de la qualité rare du travail de ces lissiers dont les tapis orneront les ambassades, ministères et monuments historiques.

Le Cirque Poussière à Narbonne, de Jean-Marie Téno
Julien Candy est un jeune circassien formé à Montpellier, à Paris, puis à Padoue. Le film de Jean-Marie Téno suit l’installation, la mise en place et la première sur la scène du Théâtre de Narbonne de la Cie La faux populaire, une jeune compagnie de cirque contemporain, mélange de cabaret, de voltige, de chant lyrique, dans sa dernière création intitulée Le Cirque Poussière. Avec précaution, il se glissera dans ce remue-ménage de construction millimétrée du manège et de décors parfois, qui offrent le cadre à la parodie de certains classiques et à des numéros originaux de voltige, de music-hall, de manipulation et de détournement d’objets qui font partager avec les spectateurs autour du manège les émotions fortes que les artistes communiquent avec brio.
Fouilles au cloître Saint-Gilles, de Jean-Baptiste Durand
Depuis un mois, les archéologues de Mosaïques Archéologie fouillent dans le jardin du cloître de l’abbaye de Saint-Gilles, haut lieu de pèlerinage sur le chemin menant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Début janvier, les restes de trois tombeaux monumentaux bâtis en pierre ont été découverts et sont actuellement en cours de fouille. Ils permettent de mettre en lumière la richesse historique du lieu qui ne devrait pas devenir l’otage malheureux d’une politique municipale orientée vers d’autres impératifs.

Rodrigo Garcia, de Yann Sinic
Nouveau directeur du Centre Dramatique National de Montpellier, Rodrigo Garcia apparaît comme le fer de lance du renouvellement de la proposition théâtrale de la ville. Avec un discours résolument politique sur l’action artistique, qui s’incarne dans le choix de nommer sa compagnie « Humain trop humain », le metteur en scène argentin bouscule le public en proposant un programme à l’image de la première œuvre présentée Golgotha picnic. L’angle du film sera la capacité de mener une telle politique théâtrale en créant de l’adhésion populaire.
D’abord la vie, ensuite les triomphes, de Lucien Clergue
La disparition du photographe Lucien Clergue en novembre a suscité bien des éloges et des rappels utiles dans la presse. Arlésien de naissance, c’est à lui que nous devons la création des Rencontres photographiques d’Arles. Ami de Picasso, de Cocteau, il laisse derrière lui une magnifique œuvre photographique, mais aussi des courts-métrages. Ce pan de son travail, beaucoup moins connu, va faire l’objet de projections au festival de cinéma Itinérances d’Alès 2015. Le magazine se propose de diffuser un extrait d’un des courts-métrages de Lucien Clergue, afin de le faire connaître à un public encore plus large.
Immersion à Paloma, de Laure Bourdon
À la SMAC Paloma à Nîmes, dans l’un des plus beaux lieux de musique actuelle de l’hexagone, de jeunes créateurs expérimentent de nouvelles formes de création, au croisement du cinéma, de la musique électronique et des effets spéciaux. À l’occasion de la préparation de Déjà vu, un spectacle visuel et sonore où se mêlent improvisation et immersion des spectateurs dans une narration en 3D, Laure Bourdon explore cette nouvelle tendance de la création, de mêler spectacle vivant, nouvelles technologies et performance immersive…
A New Morning, de Jeremiah et Piers Faccini
Vivant depuis plusieurs années dans les Cévennes, l’artiste cosmopolite Piers Faccini s’inspire d’une mystique des lieux pour enrichir son répertoire acoustique. Le réalisateur Jérémiah a saisi dans des plans-séquences les résonances et harmoniques qui surgissent entre des lieux aussi divers que des églises romanes et des espaces de Causses, et les chants très épurés de Piers Faccini. Une rencontre des extrêmes entre le minéral et l’onde.

 
Téléchargements :
• ce communiqué en PDF
• le dossier de presse de février 2015
Journalistes, demandez vos codes d’accès privés aux reportages en avant-première à Karine Baudoin au 06 30 08 42 14.
 
 

Djemila Benhabib en France, mai 2014

Djemila Benhabib présentera l’édition française 2014 de son essai Ma vie à contre-Coran du 20 mai au 1er juin 2014. Au programme, rencontres et signatures :
PARIS
• le 21 mai 
à 19h à la librairie Violette and Co.
102 rue de Charonne, Paris 11e – 01 43 72 16 07.
www.violetteandco.com
NÎMES
• le 23 mai
 à 14h, conférence à destination des étudiants L2 et L3 de l’Université de Nîmes, site Vauban. Djemila interviendra sur la condition féminine dans les pays qui ont vécu le « printemps arabe ». Ouverte au public, dans la limite des places disponibles.
MONTPELLIER
• les 24 et 25 mai, La Comédie du Livre.

> Signature sur le stand de la librairie Sauramps.
> Conférence « Féminisme et laïcité : les nouveaux défis » le 25 mai de 10h30 à 11h30, stand Éditeurs en région, Espace animation (Languedoc-Roussillon Livre et Lecture). Pour Djemila Benhabib, le féminisme est un humanisme. L’auteure de Ma vie à contre-Coran a grandi dans une société d’hommes où la violence à l’égard des femmes était courante. La nécessité de se battre individuellement et collectivement s’est imposée dans sa vie d’une façon naturelle et ne l’a plus quittée. Fille de l’Orient et de l’Occident, Djemila Benhabib défend une vision féministe et laïque de la société, pour la liberté sexuelle et contre tous les obscurantismes.
NICE
• le 27 mai
 à 18h30, conférence-débat « Vivre-ensemble : citoyenneté, islam et diversité » à l’initiative du Cercle de réflexion philosophique Clio.
Grand amphithéâtre de l’Espace-Associations.
2 Ter Place Garibaldi, Nice.
STRASBOURG
• le 31 mai
à 15h à la librairie Kléber.
1 rue des Francs Bourgeois, Strasbourg – 03 88 15 78 88.
librairie-kleber.com
 

Le Refuge crée 4 antennes et 2 délégations

L’association de soutien aux jeunes gens victimes d’homophobie ou de transphobie et rejetés par leurs proches poursuit son développement en France. Le Refuge vient en effet d’officialiser l’existence de quatre nouvelles antennes à Bordeaux, Perpignan, Avignon et Bastia, soit quatre points d’accueil, d’écoute et de prévention pour les jeunes gays, bisexuels et transsexuels. Les antennes de Lille et de la Réunion deviennent des délégations régionales, dotées chacune d’un dispositif d’hébergement [voir chiffres « en bref »].
Le Refuge complète son maillage territorial au Sud
Désormais présent à Perpignan avec une équipe d’une quinzaine de bénévoles, le Refuge poursuit sa couverture du Languedoc-Roussillon, qui compte déjà la délégation régionale historique de Montpellier et une antenne à Narbonne. La Conseillère en Economie Sociale et Familiale du Refuge Montpellier tient aussi une permanence bimensuelle à Nîmes. Les antennes d’Avignon et de Bastia complètent le travail réalisé sur PACA par la délégation de Marseille. A terme, les bénévoles corses souhaitent développer les lieux d’accueil et d’hébergement sur l’île et créer leur propre délégation. Les Avignonnais de leur côté interviendront sur un territoire composite qui conjugue problématiques urbaines, ruralité et tourisme. Ils envisagent de créer des permanences tournantes sur le Vaucluse afin notamment de prendre en compte la détresse des jeunes isolés en milieu rural. Même préoccupation de la part des bénévoles bordelais qui souhaitent non seulement agir sur la métropole mais encore nouer des contacts avec les services sociaux et éducatifs des communes rurales de l’Aquitaine. L’installation du Refuge à Bordeaux renforce la présence de l’association dans le Sud-Ouest, Toulouse abritant une délégation régionale depuis un an.
À Lille, les jeunes en quête d’un toit
L’équipe lilloise du Refuge accueille actuellement trois jeunes en hébergement d’urgence à Lomme, dans une structure hôtelière. Objectif pour 2014 : disposer d’un appartement-relais sur Lens. Car être logé est la priorité des jeunes demandeurs, même si la délégation leur apporte écoute et aide à la recherche d’un emploi dans les locaux de l’EGIDE. L’association reçoit en moyenne huit demandes de logement par mois depuis début 2013. « Pour l’instant, nous accueillons presque autant de filles (45%) que de garçons, ce qui ne reflète pas les statistiques nationales, témoigne Jérôme Lacroix, délégué régional du Refuge. La plupart de ces jeunes sont issus de zones défavorisées (bassin minier, Valenciennes). »
À La Réunion, le Refuge lutte contre l’exclusion et la stigmatisation
Stéphane Ducamp, délégué du Refuge à Saint-Denis de la Réunion, témoigne du rejet dont souffrent les jeunes gays et transsexuels sur l’île : « La société réunionnaise est figée dans des valeurs religieuses et familiales. Elle rejette toute réflexion sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre et stigmatise celles et ceux qui transgressent ces valeurs. » Le contexte insulaire n’arrange rien : 60% des 18-25 ans sont sans emploi et le suicide est la 2e cause de mortalité de la population masculine. La délégation réunionnaise du Refuge gère une ligne d’écoute et accompagne les jeunes en détresse. Elle dispose de deux places d’hébergement et espère en proposer cinq d’ici fin 2013. Elle mène des actions de prévention dans les lycées et les collèges ainsi qu’auprès des missions locales de Saint Louis et de Saint Pierre.

Le Refuge (La Réunion) en synergie avec Sid'aventure et le Planning Familial - avril 2013

Le Refuge en bref
Le Refuge est la seule association de lutte contre l’homophobie reconnue d’utilité publique et l’unique structure en France, conventionnée par l’Etat, à proposer un hébergement temporaire et un accompagnement social, médical et psychologique aux jeunes majeurs, filles et garçons, victimes d’homophobie ou de transphobie.
Son implantation :
• 7 délégations régionales : Montpellier, Paris, Lyon, Marseille, Toulouse, Lille, Saint-Denis-de-la-Réunion.
• 5 antennes : Narbonne, Perpignan, Bordeaux, Avignon, Bastia.
Quelques chiffres :
• En 2012, 930 jeunes ont contacté Le Refuge qui en a hébergé 114 (86% de garçons).
• Avec 500 euros, l’association assure l’hébergement (nourriture comprise) et l’accompagnement social et psychologique de deux jeunes pendant un mois.
• Les locations d’appartements-relais et d’hébergements en hôtels représentent 28% des dépenses [+ 45,57% en 2012].
• Le Refuge compte 1700 adhérents (chiffres à jour au 20 juin 2013).

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