Rendez-vous au Palais des congrès de Paris les 21, 22 et 23 juin 2019 pour assister au Congrès d’échographie générale organisé par l’École d’échographie sans frontières. Le Pr Jean-Marie Bourgeois et les membres de son comité scientifique démontreront l’intérêt de l’échographe dans la pratique clinique des médecins généralistes, et lèveront les freins à son adoption : en effet, seulement 8 à 10% des généralistes français pratiqueraient l’échographie dans leur cabinet. Au programme du congrès, une quarantaine de conférences et des ateliers qualifiants DPC (sous l’égide du Centre francophone de formation échographie).
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Formation : 400 médecins généralistes réunis à Paris autour de l’échographie de proximité.
Le premier Congrès d’Échographie en médecine générale s’est tenu du 12 au 14 janvier à Paris, à l’initiative du Centre Francophone de Formation en Échographie. Pari réussi pour le Professeur honoraire et Docteur Jean-Marie Bourgeois et son comité scientifique, qui ont formé et sensibilisé 400 médecins généralistes à l’échographie de proximité. Cette mobilisation coïncidait avec l’annonce par le Ministère des Solidarités et de la Santé de nouvelles mesures d’accès territorial aux soins, via la télé-médecine notamment…
La pratique de l’échographie de proximité révolutionne la médecine de tous les jours et le statut du médecin généraliste. C’est ce qui justifiait, aux yeux du Docteur Jean-Marie Bourgeois, l’organisation d’un congrès mêlant plénières d’échanges d’expériences et de bonnes pratiques et ateliers de formation à la prise en main d’un échographe. Celui qui se qualifie de « militant pour l’outil échographique entre les mains du MG » a ouvert, le 12 janvier dernier, au Palais des congrès de Paris, le premier Congrès d’Échographie en médecine générale en exposant les principaux obstacles à la pratique quotidienne de l’échographie. Il a apporté des réponses tirées de l’expérience des médecins qui se sont équipés et formés au maniement de l’échographe. Pour le Dr Bourgeois, le médecin généraliste aura tout intérêt à consulter le radiologue comme un partenaire expert (obstacle relationnel), à choisir un fournisseur de matériel disponible et à son écoute (obstacle équipement) et à opter pour une solution de location (obstacle financier). La principale difficulté reste le temps car si l’échographie fait gagner en efficience, elle incite les médecins à se former, à en apprendre toujours plus… Enfin, à l’obstacle compétence, le Dr Bourgeois répond par la Situation Clinico-Échographique : à l’inverse de certains diagnostics à réserver aux experts, certaines circonstances clinico-échographiques, très sensibles et/ou très spécifiques, peuvent être assumées de façon fiable et, de surcroît, rapide, par le médecin généraliste.
« L’Échographie constitue un outil qui nous rapproche de nos patients : elle nous propose d’être au cœur même de la région douloureuse, de visualiser l’organe, qui interpelle, sous toutes ses coutures, ‘ses dehors comme ses dedans’. Surtout : de le voir ensemble, le patient et moi. Oui, ensemble : nous sommes deux et devant l’écran, nous cherchons à deux, nous découvrons à deux. » Cette déclaration du Dr Bourgeois a trouvé un écho dans l’intervention de SOS Médecins France, qui organisait la 2e journée du congrès. Ainsi, dans une étude menée en interne en 2017, 88% des médecins répondants considèrent que l’échoscopie améliore la communication avec les malades et 92% qu’elle aide dans la recherche diagnostique. De façon générale, elle prolonge la réflexion, conforte le médecin ou le réoriente.
Vers une édition 2019 internationale
Les organisateurs du congrès donnent rendez-vous aux médecins en 2019. Confortés par la fréquentation de la première édition et par la présence de délégations étrangères (Mali, Maroc, Madagascar, Tunisie, Algérie, États-Unis), ils souhaitent donner une véritable dimension internationale à l’événement. D’ici là, le CFFE propose aux médecins de compléter les ateliers présentiels du congrès par des formations en ligne et un coaching quotidiens. Ils pourront enfin demander de l’aide pour leurs dossiers d’échographie.
À propos du CFFE et du
Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois
Le Centre Francophone de Formation en Échographie est un organisme dispensateur de formation en Échographie-Doppler depuis plus de 20 ans. Basé à Nîmes, il a formé plus de 6500 médecins. Son président, le Pr Jean-Marie Bourgeois, a consacré sa carrière universitaire, en tant qu’enseignant et praticien, à la formation du médecin généraliste à l’Écho-Doppler. Il a créé le premier Diplôme Universitaire d’Échographie ouvert également à ces médecins en 1980 à la Faculté de Montpellier, puis le premier DIU en collaboration avec la Médecine Nucléaire de Limoges et de Paris (Pitié Salpêtrière) et la Radiologie de Lyon. Également président de l’École d’Échographie Sans Frontières (EESF), il est l’auteur d’ouvrages formant à l’Échographie (Les mécanismes de formation de l’image en Échographie et Manuel d’Échographie en pneumologie, chez Sauramps Médical).
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Contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
L’échographe est le stéthoscope du futur ! Premier Congrès d’Échographie en médecine générale, Paris, 12-14 janvier 2018.
Le Centre Francophone de Formation en Échographie organise à Paris le premier Congrès d’Échographie en médecine générale du 12 au 14 janvier 2018. Une trentaine de médecins généralistes épaulent le Professeur honoraire et Docteur Jean-Marie Bourgeois pour informer et former leurs confrères et consœurs sur ce qu’ils considèrent comme le stéthoscope du futur.
Selon les estimations du Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois, seuls 5% des médecins généralistes français auraient intégré l’échographe dans leur pratique quotidienne, contrairement à bon nombre de praticiens spécialistes qui assurent les échographies « bedside ultrasound » (au chevet du patient), notamment en Réanimation, en Cardiologie, en Rhumatologie, en Angiologie… Afin de remédier à la situation, le Centre Francophone de Formation en Échographie organise au Palais des congrès de Paris, les 12, 13 et 14 janvier 2018, le premier Congrès d’Échographie en médecine générale. Les participants pourront y découvrir le concept de « l’échographe, stéthoscope du 3e millénaire », échanger avec des médecins qui utilisent déjà cet appareil d’imagerie et surtout se former à sa prise en main.
L’échographie en médecine générale : une cause publique
Tous les travaux réalisés sur le sujet démontrent l’intérêt de pratiquer l’échographie dans l’exercice de la médecine générale en cabinet. Ainsi Marion Pla et Laurent Seyler (1) expliquent que l’échographie permet au médecin de gagner du temps, de réaliser des diagnostics plus précoces, d’apporter une évaluation immédiate aux problèmes cliniques urgents et d’orienter le patient de manière appropriée (sans engorger les services d’urgence notamment).
Le Pr Bourgeois rappelle qu’il y a une vingtaine d’années, le Professeur Moreau, radiologue précurseur, avait proposé à la Sécurité sociale de mettre à la disposition du médecin généraliste un échographe avec l’objectif de dépister les anévrismes de l’aorte abdominale : « On mesure le bénéfice de l’outil en termes de décès évités par rupture d’AAA ! » Elsa Mani (2) note aussi que, dans de nombreux pays comme en Allemagne ou au Japon, la pratique de l’échographie est courante en soins primaires et perçue comme un prolongement de l’examen clinique, au même titre que la bandelette urinaire et la glycémie capillaire.
Enfin, pour le Pr Bourgeois, « l’échographie participe – et pourrait participer bien davantage – à dissiper le malaise ressenti par les médecins généralistes. La reconnaissance insuffisante de notre utilité par la société, par les partenaires (plus rarement par nos patients), et finalement par les médecins généralistes eux-mêmes, ne peut être redressée que par une plus grande efficience de notre discipline, notamment grâce à l’échographie. »
Congrès d’Échographie en médecine générale • 12-14 janvier 2018 • Palais des congrès de Paris
Droits d’accès : 280 euros • Ateliers qualifiants indemnisants proposés • www.congres-echographie.com • Télécharger le programme complet.
À propos du CFFE et du Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois
Le Centre Francophone de Formation en Échographie est un organisme dispensateur de formation en Échographie-Doppler depuis plus de 20 ans. Basé à Nîmes, il a formé plus de 6500 médecins. Son président, le Pr Jean-Marie Bourgeois, a consacré sa carrière universitaire, en tant qu’enseignant et praticien, à la formation du médecin généraliste à l’Écho-Doppler. Il a créé le premier Diplôme Universitaire d’Échographie ouvert également à ces médecins en 1980 à la Faculté de Montpellier, puis le premier DIU en collaboration avec la Médecine Nucléaire de Limoges et de Paris (Pitié Salpêtrière) et la Radiologie de Lyon. Également président de l’Ecole d’Échographie Sans Frontières (EESF), il est l’auteur d’ouvrages formant à l’Échographie (Les mécanismes de formation de l’image en Échographie et Manuel d’Échographie en pneumologie, chez Sauramps Médical).
(1) Marion Pla et Laurent Seyler, « Pratique de l’échographie dans l’exercice de la médecine générale en cabinet ; perceptions des praticiens », Médecine humaine et Pathologie, 2016.
(2) Elsa Mani, « Utilisation de l’échographie par les médecins généralistes en France : enquête descriptive », Médecine humaine et pathologie, 2016.
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