La Banque Populaire du Sud et Adviso Partners additionnent leurs forces pour accompagner les PME.


Pierre Chauvois, Directeur Général de la Banque Populaire du Sud (BPS) et Bertrand Thimonier, Président d’Adviso Partners ont signé, le 12 janvier 2018, une convention de partenariat entre leurs deux établissements pour toujours mieux conseiller les dirigeants d’entreprises de la région dans leurs opérations capitalistiques.

De gauche à droite : Sacha Le Drezen, Chargée Grands comptes BPS, Marc Lebrun, Directeur Associé Adviso Partners, Bertrand Thimonier, Président Fondateur Adviso Partners, Pierre Chauvois, Directeur Général BPS, Benoît Viguier, Dir. Des Entreprises et des Ingénieries BPS, Raphaelle Perez, Chargée Grands comptes BPS.

Grâce à l’accord signé entre la Banque Populaire du Sud et Adviso Partners, les 80 conseillers et experts de la Direction des Entreprises et des Ingénieries de la BPS pourront encore mieux accompagner les projets et les opérations de leurs 2.000 entreprises clientes. La société Adviso Partners fait en effet figure de référence pour conseiller les dirigeants actionnaires de PME-ETI dans leurs opérations d’ingénieries financières de « haut de bilan ». La Banque Populaire, première Banque des PME en France (sources TNS Kantar) est, quant à elle, l’un des acteurs majeurs sur son territoire de la transmission et du financement des entreprises. Elle a accompagné en 2017 plus d’une entreprise sur trois en capital-investissement en Languedoc-Roussillon. « La transmission de l’entreprise reste une problématique quel que soit le type d’entreprise, tout comme les questions de croissance externes avec des entreprises sur notre territoire qui innovent, qui exportent…» témoigne Pierre Chauvois. «  Ce partenariat apporte une vraie valeur ajoutée à la BPS en termes de compétences, de technicité et de possibilités de répondre aux attentes des entreprises. Il va nous donner une visibilité, une solidité et une intensité de relation beaucoup plus forte avec leurs dirigeants. »
La Banque Populaire du Sud peut aussi s’appuyer sur le partenariat existant entre Adviso Partners, Banque Populaire et le cabinet d’avocats d’affaires FIDAL, pour compléter son offre d’expertise, de conseil en fusion-acquisition et d’ingénierie financière et pour apporter des solutions adaptées aux dirigeants de PME aux moments-clés (cession, transmission, montée des cadres au capital, relais de croissance, acquisitions).
«  Notre métier est d’initier, construire, piloter ces opérations explique Bertrand Thimonier. Nous avons conçu, avec les Directeurs Généraux des Banques Populaires Régionales, une plateforme qui additionne les compétences techniques (Banque Populaire/Adviso/FIDAL) en totale complémentarité pour créer une relation en 3D avec l’entreprise. Lors de la transmission d’une entreprise, on s’assure aussi de conserver un centre de décision local pour permettre à l’entreprise de rebondir, croître, créer de la valeur et de la richesse sur son territoire. »
À propos de la Banque Populaire du Sud
La Banque Populaire du Sud est une banque coopérative régionale, créée par des entrepreneurs. Elle a toujours su répondre aux attentes des forces vives de la région et accompagner les entreprises dans leurs divers projets de développement. Elle est constituée d’un réseau de 184 agences réparties dans sept départements (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Gard, Hérault, Lozère et Sud Ardèche). Aujourd’hui, la Banque Populaire du Sud accompagne, sur son territoire, prés d’une PME sur deux grâce à un réseau de sept Agences entreprises, une agence Innovation et un service Entreprises.
À propos d’Adviso Partners
Adviso Partners est une société d’ingénierie financière indépendante fondée par Bertrand Thimonier dont le rôle est de créer de la valeur pour les entreprises et leurs dirigeants actionnaires. Elle intervient sur des opérations d’ingénierie financière, de haut de bilan, et de transmission d’entreprise, c’est-à-dire cession, acquisition, levée de fonds, évaluation, recomposition de capital, opérations à effet de levier (LBO/OBO/MBO/MBI). Adviso Partners regroupe 30 collaborateurs et six bureaux en région. Le capital d’Adviso Partners est détenu à 50,02 % par le management, à 24,9 % par FIDAL et autant par le groupe Banque Populaire, le solde (0,18 %) appartenant aux cadres de l’entreprise. En 18 mois, Adviso Partners a réalisé 20 opérations. Adviso Partners est représentée sur la région par Marc Lebrun, Directeur Associé.
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Contacts presse :
• Banque Populaire du Sud : Joddie Andrieu, 04 68 38 36 72.
• Agence RP : Karine Baudoin, 06 30 08 42 14.
 

La nouvelle SOCAMA du Sud facilite l’accès au crédit des TPE


Le 30 septembre prochain, la SOCAMA du Sud naîtra de la fusion des Sociétés de Caution Mutuelle Artisanale du Midi, de l’Aude, de l’Ariège et du Roussillon. La nouvelle entité, à l’instar des autres SOCAMA régionales, étend ses services à l’ensemble des TPE pour favoriser leur accès au crédit. Une stratégie cohérente compte tenu de son partenariat historique avec la Banque Populaire du Sud, banque des entrepreneurs.
Au cours d’une Assemblée Générale extraordinaire qui se tiendra à Perpignan le 30 septembre 2016, la SOCAMA du Roussillon fusionnera avec ses homologues du Midi (Hérault, Gard, Lozère, Ardèche-Sud), de l’Aude et de l’Ariège pour constituer la Société de Caution Mutuelle Artisanale du Sud, SOCAMA du Sud. Une restructuration motivée par la volonté d’harmoniser sa politique sur son territoire (Languedoc-Roussillon, Ariège, Ardèche-Sud) sous l’impulsion d’un conseil d’administration unique, toujours composé de syndicats professionnels. Cette nouvelle organisation, plus logique et fonctionnelle, répond aussi à la croissance de l’octroi de prêts SOCAMA dans la région : en 2015, 1687 prêts (capitaux 39,7 M €) contre 863 en 2013 (19,5 M €). Les comités professionnels de crédit décentralisés (Roussillon, Ariège, Aude, Gard-Ardèche et Hérault-Lozère) et le réseau des agences de la Banque Populaire du Sud permettront de conserver la proximité avec les entrepreneurs, valeur forte des SOCAMA et du groupe bancaire.
Les dirigeants de TPE peuvent investir sans engager leur patrimoine privé
Le principe de la caution mutuelle est de partager les risques de façon solidaire tout en présentant des garanties solides aux prêteurs. Un service que les SOCAMA ont longtemps réservé aux artisans. La SOCAMA du Sud s’adresse désormais à l’ensemble des TPE (artisans, commerçants, professions libérales) en leur permettant d’investir à la création de leur activité, pour donner un nouvel essor à leur entreprise ou pour faciliter sa transmission. « Les entrepreneurs ont besoin de développer leur activité l’esprit libre, commente Pierre Chauvois, Directeur Général de la Banque Populaire du Sud. Le prêt SOCAMA dédié au développement est un avantage client conséquent car il leur permet d’investir jusqu’à 150.000 euros sans caution personnelle ! » Les prêts SOCAMA à la création et à la transmission limitent eux aussi l’engagement du dirigeant (50% pour la création d’entreprise, 25% pour la transmission).
Soirée de lancement de la SOCAMA du Sud le 30 septembre à 18h30
Villa Duflot, Rond-Point Albert Donnezan, 66000 Perpignan
Table ronde « Le cautionnement mutuel, instrument de financement des TPE et levier du développement économique » avec la participation de :
• Pierre Chauvois, Directeur Général de la Banque Populaire du Sud
• Daniel Goupillat, Président de la Fédération Nationale des Sociétés de Caution Mutuelle Artisanales
• et de représentants de la Commission Européenne, du Fonds Européen d’Investissement et de l’Association Européenne du Cautionnement Mutuel.
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Contacts presse :
Banque Populaire du Sud – François Cartier – 04 68 38 22 10 • 06 33 88 59 49.
Agence RP – Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 • 06 30 08 42 14.
 

Les Finales de jeunes chevaux à Uzès pèsent 500.000 € en région

Les Finales nationales de jeunes chevaux d’endurance ont lieu chaque année lors de la Grande Semaine d’Uzès. L’édition 2015 se déroulera du 8 au 11 octobre, dans le cadre exceptionnel des 150 ans de la Société hippique française. En 2013, on a évalué l’impact économique de la manifestation sur le Languedoc-Roussillon à 485.200 euros. Somme à laquelle s’ajoute le fruit des ventes record de chevaux.
La Société hippique française organise la 22e édition de la Grande Semaine d’Uzès du 8 au 11 octobre 2015, avec le soutien de la Société hippique d’Uzès et de l’Institut Français du Cheval et de l’Équitation. Les organisateurs restent sur une participation et des ventes record en 2013 : 696 pur-sang en lice, 2300 professionnels inscrits, une centaine de ventes réalisées. Les Finales 2014, très prometteuses, avaient du être annulées dès le premier jour de la compétition, des pluies diluviennes s’abattant sur le Gard. Les organisateurs de la Grande Semaine d’Uzès ont travaillé main dans la main depuis avec les collectivités locales et avec la Communauté de communes de l’Uzège pour veiller à la remise en état des pistes. Le Haras national d’Uzès a fait lui aussi l’objet de travaux ces derniers mois.
Des Finales payantes pour l’Uzège et la région
Au-delà de sa dimension sportive, la Grande Semaine d’Uzès est un événement à fort impact économique local et régional que l’on peut évaluer à 300.000 € pour la Communauté de communes du Pays d’Uzès, et à 485.200 euros pour le Languedoc-Roussillon. C’est l’une des conclusions de la 1re étude du genre sur l’impact économique d’une manifestation équestre en France menée en octobre 2013 par L’Institut Français du Cheval et de l’Equitation (IFCE), l’Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), l’Université et le Centre de Droit et d’Économie du Sport (CDES) de Limoges et l’Institut national de Recherche en Sciences et Technologies pour l’Environnement et l’Agriculture (IRSTEA) de Clermont-Ferrand. Ces chiffres ne tiennent pas compte des retombées financières pour la cinquantaine d’éleveurs de la région qui vendent des chevaux pendant les Finales ou grâce à « l’effet Finales », de 15.000 à 50.000 € l’animal en 2013 selon l’âge, l’origine, le modèle et les performances.

Les pur-sang arabes français se négocient à Uzès
En clôture des courses du circuit des jeunes chevaux en France, la Grande Semaine d’Uzès contribue à soutenir le marché national des chevaux de sport. Vitrine internationale de l’élevage de jeunes pur-sang français, elle attire des acheteurs et des courtiers originaires d’Europe (Allemagne, Belgique, Suisse, Espagne, Portugal), du Qatar et des Émirats Arabes Unis, mais aussi d’Argentine et de Malaisie. Aux Championnats d’Europe d’endurance 2015 à Samorin, neuf équipes nationales sur 12 comptaient au moins un cheval français dans leurs rangs. L’équipe de France a remporté la médaille d’argent, tandis que l’Espagne obtenait l’or avec deux chevaux français (sur trois).

Les courtiers assistent aux présentations et contrôles, Uzès 2013 • © Karine Renard IFCE

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Contacts presse : Karine BAUDOIN – 06 30 08 42 14 • Benoît DURASNEL – 06 61 92 22 85.
 

L’Histoire et les histoires dans « On dirait le Sud » le 26 juin 2015

Dernier opus de la saison pour « On dirait le Sud », magazine culturel produit par Les Films d’Ici Méditerranée et France Télévisions. Rendez-vous sur France 3 Languedoc-Roussillon les 26 et 27 juin. De châteaux en refuges, de camps et places fortes en maisons du bonheur, sept films montrent le Sud des constructions et des paysages, nous rappellent l’Histoire, nous livrent des histoires. Ce numéro 8 sera suivi, le 26 juin, de la rediffusion de « On dirait le Sud » n°4.
Première étape au camp de Rivesaltes, où l’on s’apprête à honorer la mémoire des prisonniers juifs, espagnols et nord-africains. Un Mémorial ouvrira à l’automne : sa directrice, l’architecte et un historien croisent leurs regards sur ce futur espace qui doit être à la hauteur de l’Histoire. « On dirait le Sud » part ensuite à la rencontre de deux plasticiens dans la Villa Laurens, à Agde. Leurs œuvres vont habiller un salon de musique devenu impossible à restaurer. Plus à l’Est, le quartier Antigone de Montpellier, son architecture néo-classique signée Ricardo Bofill. La réalisatrice capte la parole des habitants et les réactions des visiteurs sur ce quartier inventé devenu vrai lieu de vies. Loin de la ville, nous partons alors dans les Cévennes gardoises visiter la maison du designer Pierre Paulin, expression d’un art de vivre fondé sur la recherche de l’équilibre, de la douceur et de la paix. Destination suivante, l’abbaye d’Aniane dans la vallée de l’Hérault. Le paysagiste japonais Kinya Maruyma, en résidence d’artiste, dessine un jardin dans cette ancienne abbaye bénédictine devenue au 19e siècle un centre pénitentiaire pour enfants. Le patrimoine culturel, ce sont aussi les traditions. « On dirait le Sud » en témoigne dans un film consacré aux arènes démontables installées, le temps d’une corrida ou d’une course camarguaise, dans les villages du Gard et de l’Hérault. Le magazine revient dans les Pyrénées-Orientales pour un final au Château de Salses en compagnie du plasticien et cinéaste Ange Leccia venu présenter des vidéos emblématiques de son travail sur les murs de la forteresse.
Diffusion : 26 juin 2015 à 0h15 • Rediffusion : 27 juin à 15h20.

« On dirait le Sud » à l’échelle de la grande région à la rentrée
Les Films d’Ici Méditerranée et France Télévisions ont produit et diffusé plus de 50 films depuis septembre 2014. Le magazine « On dirait le Sud » a permis aux téléspectateurs de France 3 Languedoc-Roussillon de découvrir une soixantaine de thèmes culturels régionaux, aussi abordés dans des films d’archive. Ce travail montre que l’on peut concilier création et accompagnement de l’actualité culturelle et patrimoniale. Chaque film est le récit d’une enquête, d’une rencontre, d’une passion.
« On dirait le Sud » revient à la rentrée, chaque mois, dans un format de 26 minutes plus adapté aux propositions des auteurs-réalisateurs(trices). Surtout, il gagne en audience avec une diffusion élargie à Midi-Pyrénées : la fusion culturelle anticipe la fusion administrative des deux régions.

 

// Sommaire du numéro 08 • juin 2015 //

Programmation 26 juin 2015 à 0h15 • Rediffusion 27 juin à 15h20 • Durée : 52 mn.
Programmation exceptionnelle : « On dirait le Sud » n°4 rediffusé le 26 juin à la suite du n°8.
Mémoires vives – de Marie Poitevin
Le camp de Rivesaltes battu aux quatre vents est un témoin d’une histoire de France marquée par les déplacements de populations (Républicains espagnols, Juifs, Harkis…). Longtemps prévu à la démolition, il est aujourd’hui devenu un enjeu mémoriel. L’architecte Rudy Ricciotti, l’historien Denis Peschanski et la directrice du Mémorial Agnès Sajaloli présentent ces enjeux et croisent leurs regards sur ce qui fut le camp plus vaste de toute l’Europe de l’Ouest. Son ouverture est prévue en octobre 2015.
La Villa Laurens, à la rencontre des arts – de Blandine Armand
La restauration du salon de musique de la Villa Laurens à Agde est très particulière. Renonçant à restaurer une œuvre trop altérée par le temps, la DRAC et les Monuments historiques ont choisi de remplacer les peintures murales par des créations contemporaines. Le film montre les artistes Ida Tursic et Wilfreid Mille en train d’installer leurs œuvres et, en quelques sorte, de ranimer l’esprit d’un lieu qui échappe ainsi à la sanctuarisation.

En traversant Antigone – de Naruna Kaplan de Macedo
Devenu quartier emblématique de Montpellier, Antigone est le fruit d’un travail porté par Ricardo Bofill, inspiré de l’architecture utopique et d’une volonté d’urbanisme forte portée par Georges Frêche. Paradoxalement, c’est en s’inspirant de l’architecture néo-classique que Riccardo Bofill ancra résolument Montpellier dans la modernité. Linéarités, perspectives, jeux de miroirs, Antigone est aussi un véritable lieu de vie, revendiquant mixité sociale et services aux habitants. Ces derniers témoignent devant la caméra, aux côtés de visiteurs étrangers.

Pierre Paulin dans les Cévennes – de Danielle Schirman
Le designer Pierre Paulin a longuement dessiné des fauteuils, cherchant depuis les années 60 les formes et les matières susceptibles d’offrir à ses contemporains l’aisance, la détente, une voie d’accès vers un bien-être dans toutes les phases actives ou contemplatives de leur quotidien. Cet admirateur de Le Corbusier a aussi mis en pratique sa recherche du bonheur dans la maison qu’il a dessinée et meublée en Cévennes. Danielle Schirman, réalisatrice de films sur le design, explore cette maison où Pierre Paulin a concentré l’ambition et la recherche de toute une vie.

Cabane en cavale – de Marie Poitevin
En résidence dans la vallée de l’Hérault, Kinya Maruyma est un artiste paysagiste qui souhaite recréer l’espace du jardin de l’abbaye bénédictine d’Aniane. Né au 8e siècle, cet ensemble roman a été durement détruit durant les guerres de religions puis utilisé à partir du 19e comme centre pénitentiaire pour enfants. La réalisatrice dévoile l’œuvre de l’artiste à travers une déambulation dans les jardins de l’abbaye autrefois jardins du directeur du bagne, en montrant comment l’art parvient à dépasser la triste mémoire du lieu.

Protéger la Fé di Biou – de Fany Vidal
Les arènes démontables qui s’installent le temps d’une corrida ou d’une course camarguaise dans les villages gardois et héraultais, sont plus qu’un simple décor saisonnier. Classées au patrimoine culturel français, elles représentent un élément paysager de la culture traditionnelle régionale.
Ange Leccia au Château de Salses – d’Anne-Laure de Franssur
Tout près de Perpignan et de la frontière espagnole, la forteresse de Salses, lieu fantastique tenant à la fois du fort militaire et du château médiéval, a cessé depuis le 17e siècle de protéger le Pays Cathare contre l’ennemi français. Témoignage de ces temps agités, la forteresse qui surplombe la Côte Vermeille est désormais investie par les artistes. Cet été, c’est le plasticien corse Ange Leccia qui expose quelques videos emblématiques de son travail, notamment Mer créée en 1991 après un séjour au Japon, à la Villa Kujoyama.

 
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contact production : Élodie Dombre, administration de production, 06 20 67 37 04.
contact presse : Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
 

Culture • « On dirait le Sud » saison 2015 sur France 3 Languedoc-Roussillon

7 janvier 2015 – 27 février 2015 • À quoi bon la culture, cette autre idée du Sud ?
Parce que c’est la seule façon de résister, répondent les artistes et « On dirait le Sud ».

En 2015, le magazine « On dirait le Sud » propose de nouvelles rencontres singulières avec la culture et le patrimoine régional sur l’antenne de France 3 Languedoc-Roussillon. Le prochain numéro, programmé le 27 février, conduira les téléspectateurs dans les bureaux de trois dessinateurs de presse à Montpellier, Pérols et Nîmes, dans les ateliers de la Manufacture nationale de la Savonnerie à Lodève, sur le chantier de fouilles de l’abbaye de Saint-Gilles, dans les coulisses du Centre Dramatique National de Montpellier et du Théâtre de Narbonne. Après un hommage au photographe Lucien Clergue, le parcours s’achève sur scène à Nîmes à Paloma et sur les Causses cévenols avec Piers Faccini.
Après le drame de Charlie Hebdo
« Ce soir-là nous sommes une dizaine de jours après le traumatisme de début janvier. Comment ne pas y penser ? Comment ne pas l’évoquer » interroge la voix off du documentaire de Yann Sinic sur Rodrigo Garcia, le nouveau directeur du Centre dramatique national de Montpellier : « À quoi cela sert-il de faire du théâtre, du cinéma, dans un tel désenchantement ? » Le numéro 4 de « On dirait le Sud » porte l’empreinte de l’actualité dramatique du début d’année, communique le doute qui assaille les artistes autant que leur pugnacité, la vivacité d’un coup de crayon.
Ainsi Laure Pradal a-t-elle filmé trois dessinateurs de presse en Languedoc-Roussillon : Aurel, Eddie Pons et Roland Hours. Ils lui font part de leur processus créatif, de leur quête d’idées. Au fil des planches, des références aux attentats perpétrés au sein de la rédaction de Charlie Hebdo… Aurel commente une illustration intitulée « Monsieur Tignous, éleveur de dessinateurs » : « Tu lui montrais tes dessins, il te disait que c’était nul et pourquoi c’était nul. Tignous était quelqu’un qui acceptait de prendre le temps de discuter. » Roland Hours s’étonne : « Quand je travaillais à l’Evénement du Jeudi, on était plus libre que maintenant ! »
Cinq volets jusqu’à l’été
L’aventure se poursuit en 2015 pour le magazine culturel « On dirait le Sud » coproduit par Les Films d’Ici Méditerranée (Montpellier) et France Télévisions. Les trois premiers numéros diffusés à l’automne ont donné le ton et affirmé, selon le producteur Serge Lalou*, « la nécessité d’ouvrir des espaces télévisuels pour la création et le nécessaire cofinancement de la télévision publique régionale par les collectivités territoriales. » Soutenu par la Région et la DRAC notamment, « On dirait le Sud » donne rendez-vous aux téléspectateurs les 27-28 février, 27-28 mars et 24-25 avril, à 0h15 et 15h20. Deux autres numéros seront programmés en mai et juin.
Le seul magazine culturel de France 3 Région
Émission mensuelle de 52 mn diffusée par France 3 Languedoc-Roussillon, « On dirait le Sud » est le seul magazine culturel existant sur une antenne de France 3 Région. Placé sous la direction éditoriale de Nathalie Combe assistée de Delphine Lalou, le magazine se compose de 8 films courts de 6 à 8 mn commandés à des auteurs-réalisateurs choisis en fonction de leur connaissance du sujet et de leur inscription dans la région. Chaque épisode est conçu comme une entité, avec son rythme propre, un sommaire qui présente en images les films de l’épisode et une voix off qui incarne le ton du magazine (la voix 2015 est celle de Jean-Michel Mariou, délégué France 3 Languedoc-Roussillon). La volonté de François Fronty, auteur-réalisateur, est « de filmer de façon remarquable des réalités culturelles remarquables, faire découvrir et diffuser la culture sous toutes ses formes. »
* Serge Lalou et Anne-Marie Luccioni, associés aux Films d’Ici, ont créé en juillet 2014 à Montpellier une nouvelle société de production, Les Films d’Ici Méditerranée (Filmed). « On dirait le Sud » est leur première production, mise à l’antenne en septembre 2014.
Page Facebook de l’émission :
https://www.facebook.com/pages/On-dirait-le-Sud/796139110428797


// Sommaire du numéro 04 – Février 2015 //

Programmation : 27 février 2015 à 0h15.
Rediffusion : 28 février 2015 à 15h20.
Durée : 52 mn.
Contact production : Élodie Dombre, administration de production, 06 20 67 37 04.
Des dessinateurs de presse, de Laure Pradal
Après l’émotion suscitée par l’assassinat des dessinateurs de Charlie Hebdo, Laure Pradal filme les dessinateurs politiques installés en Languedoc-Roussillon : Aurel, Eddie Pons et Roland Hours, qui dessinent pour des journaux politiques ou d’information (Le Monde, Politis) en parallèle de leur travail de dessinateur de BD. Comment travaillent-ils au quotidien ? Qu’est-ce qui fait l’essence de leur métier ?

L’aventure au long cours, de Marie Poitevin
Cet atelier de création de tapis est situé aux abords de la ville de Lodève, dans un bâtiment à l’écart qui abrite un trésor de savoir-faire. Il est une annexe des Gobelins. Des hommes et des femmes, appelés lissiers, travaillent patiemment sur la réalisation d’ouvrages contemporains ou de reproductions de tapis anciens. Ici la rentabilité n’existe pas. Il n’y a pas de contraintes de temps, l’ouvrage prendra plusieurs années, parfois 7 ans. Le 20 janvier 2015 a lieu « la remise d’un métier » aussi appelée la « délivrance d’un tapis » dont on coupera les chaînes après de nombreuses années d’ouvrage. La réalisatrice propose trois portraits qui témoignent de la profondeur historique de cette manufacture (née après la guerre d’Algérie pour donner du travail aux femmes harkis) et de la qualité rare du travail de ces lissiers dont les tapis orneront les ambassades, ministères et monuments historiques.

Le Cirque Poussière à Narbonne, de Jean-Marie Téno
Julien Candy est un jeune circassien formé à Montpellier, à Paris, puis à Padoue. Le film de Jean-Marie Téno suit l’installation, la mise en place et la première sur la scène du Théâtre de Narbonne de la Cie La faux populaire, une jeune compagnie de cirque contemporain, mélange de cabaret, de voltige, de chant lyrique, dans sa dernière création intitulée Le Cirque Poussière. Avec précaution, il se glissera dans ce remue-ménage de construction millimétrée du manège et de décors parfois, qui offrent le cadre à la parodie de certains classiques et à des numéros originaux de voltige, de music-hall, de manipulation et de détournement d’objets qui font partager avec les spectateurs autour du manège les émotions fortes que les artistes communiquent avec brio.
Fouilles au cloître Saint-Gilles, de Jean-Baptiste Durand
Depuis un mois, les archéologues de Mosaïques Archéologie fouillent dans le jardin du cloître de l’abbaye de Saint-Gilles, haut lieu de pèlerinage sur le chemin menant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Début janvier, les restes de trois tombeaux monumentaux bâtis en pierre ont été découverts et sont actuellement en cours de fouille. Ils permettent de mettre en lumière la richesse historique du lieu qui ne devrait pas devenir l’otage malheureux d’une politique municipale orientée vers d’autres impératifs.

Rodrigo Garcia, de Yann Sinic
Nouveau directeur du Centre Dramatique National de Montpellier, Rodrigo Garcia apparaît comme le fer de lance du renouvellement de la proposition théâtrale de la ville. Avec un discours résolument politique sur l’action artistique, qui s’incarne dans le choix de nommer sa compagnie « Humain trop humain », le metteur en scène argentin bouscule le public en proposant un programme à l’image de la première œuvre présentée Golgotha picnic. L’angle du film sera la capacité de mener une telle politique théâtrale en créant de l’adhésion populaire.
D’abord la vie, ensuite les triomphes, de Lucien Clergue
La disparition du photographe Lucien Clergue en novembre a suscité bien des éloges et des rappels utiles dans la presse. Arlésien de naissance, c’est à lui que nous devons la création des Rencontres photographiques d’Arles. Ami de Picasso, de Cocteau, il laisse derrière lui une magnifique œuvre photographique, mais aussi des courts-métrages. Ce pan de son travail, beaucoup moins connu, va faire l’objet de projections au festival de cinéma Itinérances d’Alès 2015. Le magazine se propose de diffuser un extrait d’un des courts-métrages de Lucien Clergue, afin de le faire connaître à un public encore plus large.
Immersion à Paloma, de Laure Bourdon
À la SMAC Paloma à Nîmes, dans l’un des plus beaux lieux de musique actuelle de l’hexagone, de jeunes créateurs expérimentent de nouvelles formes de création, au croisement du cinéma, de la musique électronique et des effets spéciaux. À l’occasion de la préparation de Déjà vu, un spectacle visuel et sonore où se mêlent improvisation et immersion des spectateurs dans une narration en 3D, Laure Bourdon explore cette nouvelle tendance de la création, de mêler spectacle vivant, nouvelles technologies et performance immersive…
A New Morning, de Jeremiah et Piers Faccini
Vivant depuis plusieurs années dans les Cévennes, l’artiste cosmopolite Piers Faccini s’inspire d’une mystique des lieux pour enrichir son répertoire acoustique. Le réalisateur Jérémiah a saisi dans des plans-séquences les résonances et harmoniques qui surgissent entre des lieux aussi divers que des églises romanes et des espaces de Causses, et les chants très épurés de Piers Faccini. Une rencontre des extrêmes entre le minéral et l’onde.

 
Téléchargements :
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• le dossier de presse de février 2015
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Ludovic Mure élu président 2014 des JCE du Languedoc-Roussillon

Ludovic Mure, président 2013 de la Jeune Chambre Économique de Nîmes et sa Région, vient d’être élu président 2014 de la Fédération des JCE du Languedoc-Roussillon. L’assemblée générale régionale, qui se tenait à Bagnols-sur-Cèze samedi 23 novembre dernier, a aussi vu l’élection de : Sandrine Chanudet (Bagnols-sur-Cèze) au Secrétariat Général, Stéphanie Pradier (Bagnols-sur-Cèze) à la Trésorerie, Carlos Mésias (Montpellier) à la Vice-présidence Développement et Partenariats et Ludivine Calvet (Béziers) à la Vice-présidence Formation.
Après un parcours de directeur commercial, Ludovic Mure a créé Eco Jardin Concept en 2012, entreprise nîmoise d’entretien de parcs et de jardins. Né le 7 janvier 1974, Ludovic Mure a habité et travaillé en principauté de Monaco de 2007 à 2010 et a présidé la Jeune Chambre Économique de Monaco en 2009.

Carlos Mésias, Stéphanie Pradier, Ludovic Mure, Ludivine Calvet, Sandrine Chanudet - ©Ph. Ferrer

À propos de la JCE-JCI
La Fédération régionale des JCE est constituée des structures locales de Bagnols-sur-Cèze, Nîmes, Montpellier, Sète, Béziers, Carcassonne et Perpignan et compte une centaine de membres actifs. Les JCE locales sont affiliées à la Jeune Chambre Économique Française et à la Junior Chamber International (JCI), organisation de jeunes citoyens responsables et solidaires qui oeuvrent pour favoriser le développement de leurs cités et pays. Âgés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCI réalisent des actions concrètes dans tous les domaines : économique, social, humanitaire, culturel… Ainsi formés à la prise de responsabilités, ils agissent pour une société meilleure.
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Contact presse : Karine Baudoin – Sénatrice JCI – 06 30 08 42 14.

Les meilleurs jeunes chevaux du monde se négocient à Uzès


Les Finales nationales de jeunes chevaux d’endurance enregistrent une participation record cette année : 700 chevaux réunis à Uzès. Les acheteurs du monde entier se presseront au Haras national pour négocier des pur-sang arabes d’exception.
La Grande Semaine d’Uzès accueille du 10 au 13 octobre les Finales nationales de jeunes chevaux d’endurance. Pour la 20e édition de cette manifestation, la Société Hippique Française, organisatrice de l’événement avec le soutien de la Société Hippique d’Uzès et de l’Institut Français du Cheval et de l’Équitation, attend 700 chevaux de 4 à 6 ans, 2000 cavaliers et accompagnants et 4000 visiteurs.
Uzès, place de marché incontournable des jeunes chevaux d’endurance
Les éleveurs français présents à Uzès cèdent environ 10% des chevaux en compétition, soit en 2012 un effectif de 50 à 70 pur-sang arabes vendus entre 15.000 et 40.000 euros. Les acheteurs sont en partie européens, en majorité originaires des pays du Golfe Persique, parfois représentés par des courtiers français travaillant à l’international. Ils ont suivi les résultats sportifs des chevaux sur les compétitions précédentes et ont établi une pré-sélection. À Uzès, ils négocient les prix avec les éleveurs, mais repèrent aussi des chevaux qu’ils n’avaient pas sélectionnés et qu’ils achèteront durant l’hiver. Cette intense activité commerciale à Uzès correspond à l’une des missions de la Société Hippique Française, Société-Mère du Jeune Cheval et Poney de Sport : soutenir le marché des chevaux de sport en France.

Finale 6 ans vitesse libre, Uzès 2012 - © E. Trescazes

L’élevage d’endurance compte dans l’économie régionale
Vendre et faire bonne impression pour de futures transactions est essentiel pour les éleveurs présents à Uzès, en premier chef les exploitants du Languedoc-Roussillon. Les 1000 éleveurs de la région réalisent en effet un chiffre d’affaires annuel de plus de 17 millions d’euros dont la moitié provient de la vente de chevaux. Les élevages de chevaux d’endurance participent à la redynamisation des zones frappées par la déprise agricole en valorisant des espaces peu productifs. Confrontées à de lourdes charges, ces entreprises pratiquent souvent la pluriactivité : élevage, débourrage, enseignement, tourisme, organisation de concours…
Étude d’impact des Finales d’endurance : une première en France
Au-delà des transactions de chevaux, les Finales nationales d’endurance ont un impact important sur les plans économique et touristique. Pour la première fois dans l’endurance, l’Institut Français du Cheval et de l’Équitation, la SHF et la SHU lancent une étude d’impact économique, social et environnemental des Finales à l’échelle de la Communauté de communes du Pays d’Uzès et de la Région Languedoc-Roussillon. L’enquête sera menée avec le concours de l’INRA durant l’édition 2013 et les jours suivant l’événement. Les résultats seront dévoilés en décembre.

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Contacts presse :
Karine BAUDOIN – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
Benoît DURASNEL – 04 99 62 67 56 – 06 61 92 22 85.
 

700 jeunes chevaux d’exception en piste à Uzès


La Grande Semaine d’Uzès enregistre une participation record cette année : 700 jeunes chevaux inscrits aux Finales nationales d’endurance. Les meilleurs pur-sang arabes du monde assureront le spectacle au Haras et sur les pistes qui sillonnent le Duché.
La Grande Semaine d’Uzès accueille du 10 au 13 octobre les Finales nationales de jeunes chevaux d’endurance. Pour la 20e édition de cette manifestation, la Société Hippique Française, organisatrice de l’événement avec le soutien de la Société Hippique d’Uzès et de l’Institut Français du Cheval et de l’Équitation, attend 700 chevaux de 4 à 6 ans, 2000 cavaliers et accompagnants et 4000 visiteurs au Haras national d’Uzès.
Un sport spectaculaire en pleine nature
L’endurance est une course de fond à cheval. Les cavaliers et leurs montures parcourront à Uzès des circuits de 20, 60 et 90 km sur des chemins balisés en pleine nature. Des contrôles vétérinaires veilleront à la bonne forme du cheval avant le départ, tout au long de la compétition et à l’arrivée. Le jugement final se basera sur deux critères : la condition physique de l’animal et la vitesse. Le public pourra donc admirer les pur-sang à la présentation au Haras avant le départ des épreuves et sur les boucles, au cœur du vignoble, en particulier aux points de ravitaillement et de contrôle. Les cavaliers en tenue présenteront à nouveau leurs champions au Haras pour la remise des prix officielle.

Finale 6 ans vitesse libre, Uzès 2012 - © Eric Trescazes

Les champions du Monde et d’Europe en Finales 
La France est le pays leader de l’endurance au niveau mondial par le nombre et la qualité de ses compétiteurs, cavaliers et chevaux. Chaque année à Uzès, le grand public peut admirer les performances des Français qui ont brillé aux championnats d’Europe et du Monde d’endurance.
Ce sera le cas encore pour cette édition puisque Jean Philippe Francès, Philippe Tomas et Mélody Théolissat ont obtenu la médaille d’or par équipe au championnat d’Europe Senior de Most en République tchèque en septembre dernier. Les jeunes Robin Cornely, Roman et Morgane Lafaure ont quant à eux remporté le championnat du Monde Junior par équipe de Tarbes en juillet.
Animations non-stop au Haras
Les visiteurs accèderont gratuitement au Haras durant toute la durée de la manifestation. Sur place, ils pourront assister aux présentations des chevaux et les admirer sous tous les angles grâce à une retransmission vidéo sur grand écran. Petits et grands pourront aussi découvrir les différents métiers de la filière équine sur le village des professionnels exposants. Des producteurs locaux et l’Office de tourisme d’Uzès les accueilleront sur leurs stands.
Le samedi soir enfin, les organisateurs proposent un spectacle gratuit en nocturne : un défilé de l’école d’attelage du Haras d’Uzès suivi d’une présentation de prestigieux étalons.

Présentation des champions, Uzès 2011 - © IFCE K. Renard

Grande Semaine d’Uzès – 10-13 octobre
Entrée gratuiteHaras national d’Uzès, Chemin des TaillesInfos : www.endurance-uzes.com

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• Karine BAUDOIN – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
• Benoît DURASNEL – 04 99 62 67 56 – 06 61 92 22 85.