GEDEAS porte « l’ethand’ART » du bien-être au travail

Pour sa 15e année d’activité, l’entreprise adaptée GEDEAS (St Aunès -34) déploie en milieu professionnel son approche artistique originale Ethand’ART. Conçue à l’origine pour favoriser le maintien en emploi des personnes en situation de handicap, la démarche englobe désormais la qualité de vie au travail, qui devient l’axe stratégique de développement de GEDEAS.

Active depuis plus de 14 ans dans l’inclusion des personnes en situation de handicap, l’entreprise adaptée GEDEAS développe des solutions innovantes pour accompagner les entreprises et les structures de droit public dans la mise en place et le pilotage de leur politique handicap. Elle leur propose depuis quelques mois des interventions basées sur l’art pour dépasser les préjugés sur les handicaps invisibles qui représentent 80 % des handicaps reconnus. « Beaucoup de salariés ou de dirigeants préfèrent se taire par peur des préjugés, de la stigmatisation, voire d’un licenciement pour inaptitude » souligne Lilian Pitault, dirigeant de GEDEAS. « J’ai eu l’idée de créer une exposition itinérante d’œuvres d’art puis un musée virtuel pour dispenser en entreprise la culture de la différence, et accompagner les services RH. »

Ethand’ART : de l’émotion à l’action, du handicap au bien-être au travail

Pour l’équipe parisienne du cabinet d’avocat international Hogan Lovells, les collaborateurs d’Ubisoft à Montpellier, les visiteurs du salon TAF (Région Occitanie) ou encore les étudiants de Montpellier Business School (Chaire MIND), la découverte des handicaps invisibles s’est faite à travers une exposition de peintures et de sculptures d’un collectif de neuf artistes. Lilian Pitault l’accompagne d’une invitation poétique à l’unité et à la métamorphose, en atelier participatif. Les 19 œuvres ont toutes été sélectionnées par les salariés de GEDEAS après plusieurs appels à projet.

À chaque séance, l’émotion créée doit laisser place à l’action : libération de la parole, mesure pour améliorer les conditions de travail et, si besoin, mise en place de solutions pour le maintien en emploi des personnes dont les handicaps invisibles perturbent le quotidien. « Les handicaps se développent majoritairement avec l’âge, explique Lilian Pitault. Le vieillissement de la population doit donc nous alerter et nous inciter à être attentifs aux autres afin de garantir l’emploi des personnes concernées et la qualité de vie au travail. » Les personnes en situation de handicap invisible sont en effet plus exposées aux risques psychosociaux que les autres salariés : poste ou mission inadapté·e, dégradation des rapports sociaux, arrêts de travail à répétition, harcèlement ou mise à l’écart… « La reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) permet notamment d’aménager le poste et les conditions de travail en fonction de la pathologie et, ainsi, de compenser une situation de fragilité. »

GEDEAS veut doubler le CA de son pôle Qualité de Vie au Travail

Lilian Pitault voit dans la Qualité de Vie au Travail l’axe majeur du développement de son entreprise adaptée. D’abord parce que les entreprises rempliront plus facilement leurs obligations d’employer des travailleurs handicapés en privilégiant le maintien en emploi. Ensuite parce que GEDEAS leur propose des interventions qui vont bien au-delà du sujet du handicap pour aborder la problématique du bien-être au travail, un impératif pour les salariés. « Le vivre ensemble, c’est beau. Mais concrètement comment faire pour que vos collaborateurs créatifs certes mais hypersensibles se réalisent pleinement dans votre entreprise ? Comment intégrer celles et ceux qui ne comprennent pas les codes sociaux ou qui ne correspondent pas à la norme ? C’est sur ce point névralgique que nous voulons conseiller et accompagner nos clients. »

À ce jour, les prestations de services administratifs pour de grands groupes (banques, fournisseurs d’énergie, etc.) et des collectivités représentent 50 % du CA de GEDEAS ; le pôle QVT 30 %. « Notre marge de progression repose sur le conseil, commente Lilian Pitault, qui emploie 15 collaborateurs dont 12 en situation de handicap. Le département QVT peut supplanter le pôle administratif, voire doubler son CA à moyen terme. »


À propos de GEDEAS
Gérant d’un organisme de formation professionnel (IFCL), Lilian Pitault a créé la SARL G.D.E.A.S / GEDEAS en 2010 à Saint-Aunès, près de Montpellier. L’entreprise adaptée compte cinq pôles : Prestations de services administratifs, Handicap et Qualité de Vie au Travail, Insertion, Couture, Communication par l’objet.
• Salariés : 15 dont 12 en situation de handicap.
• CA 2023 : 1 million €.
• Principales références : ENEDIS, GRDF, ENGIE Green, Groupe BPCE, Neolait, Provimi, Département de l’Hérault, PSG, L’Occitane, SOCOTEC.


Rappels sur le handicap
Environ 12 millions de Français seraient touchés par un handicap. Or 80% des handicaps reconnus, physiques ou mentaux, sont invisibles : troubles sensoriels, psychiques ou cognitifs, douleurs ou fatigue, maladies invalidantes… (source APF France Handicap).
Les employeurs d’entreprises de plus de 20 salariés ont pour obligation d’engager des travailleurs handicapés à hauteur de 6 % de leur effectif (OETH, soit Obligation d’Emploi des Travailleurs Handicapés).
« Est considéré comme travailleur handicapé toute personne dont les possibilités d’obtenir ou de conserver un emploi sont effectivement réduites par suite de l’altération d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales ou psychiques. » (Code du Travail)


Contact presse : Karine Baudoin, 06 30 08 42 14.

Illustrations HD sur demande : © Lucie Lith, Franck Celaire, Aurélie Salvaing pour Ethand’ART © Tous droits réservés.

« Liberté Partagée 40 ans ça s’EXPOse » : la Mutuelle des Motards récompense trois photographes

La Mutuelle des Motards organise une exposition photo du 6 au 21 octobre à l’Hôtel Saint-Côme à Montpellier. Avec l’aide des Boutographies, la Mutuelle a sélectionné une cinquantaine d’œuvres proposées par des photographes amateurs et professionnels sur le thème de la « Liberté Partagée ». Trois prix ont été décernés le 5 octobre, lors du vernissage privé de l’exposition. Enzo Baudino remporte le premier prix avec sa photo de l’arrivée de deux amis, mobylette à la main, au Mont Saint-Michel enveloppé de brume.

À l’occasion de son 40e anniversaire, la Mutuelle des Motards, militant assureur de référence dans le monde des deux-roues dont le siège social est basé à Pérols (34), s’est associée aux Boutographies pour un événement inédit : le concours photo « Liberté Partagée, 40 ans ça s’EXPOse ». La vision de la liberté, valeur essentielle partagée par l’ensemble des sociétaires de la Mutuelle depuis sa création en 1983, a suscité beaucoup d’enthousiasme puisque le concours a enregistré 200 participants (dont 50 photographes professionnels et 100 sociétaires de la Mutuelle). Au total, les organisateurs ont reçu plus de 700 œuvres !

Un jury composé de membres de la Mutuelle et des Boutographies s’est réuni le 14 septembre dernier pour la sélection finale. Trois photographes, dont une amateure, ont reçu leurs prix à l’Hôtel Saint-Côme le 5 octobre dernier des mains de Patrick Jacquot, président et directeur général de la Mutuelle des Motards et Peter Vass, président des Boutographies.

Invitations au voyage et photographie de rue : les photos lauréates créent l’émotion
« Notre premier lauréat Enzo Baudino s’est lancé dans une aventure folle, celle de traverser la France, depuis Lyon jusqu’au Mont St Michel avec son ami d’enfance, sur des mobylettes vintage, à une moyenne de 45 km/h ! Une ode à la lenteur et à une autre France. Amitié, solidarité, partage, liberté, conscience : comment la Mutuelle des Motards pourrait-elle être mieux incarnée ?
La photo que nous avons choisi de récompenser représente la dernière ligne droite vers la fin du voyage. Les deux amis marchent, leurs mobylettes à leurs côtés, vers un Mont St Michel enveloppé dans la brume du matin, comme un mirage, une apparition.
Outre la qualité esthétique évidente de cette photo, son intérêt réside dans la construction de l’image par le photographe :  il a construit quelque chose que lui seul pouvait faire – par la composition, par l’inclusion des deux protagonistes à la bonne distance du spectateur, par le choix du moment de la journée. Enzo nous raconte ici une histoire à laquelle le jury a voulu participer. Un premier prix très mérité ! »
« Pierre Gély-Fort, notre deuxième lauréat, a également créé une image au sens strict du terme, car on ne sait pas si la scène a réellement existé en tant que telle, ou s’il y a introduit sa propre touche d’humour. Quoi qu’il en soit, nous la regardons avec beaucoup de second degré. Un groupe de personnes se détend sur des chaises longues sur le pont d’un bateau, et le long de ce pont, une route noire marquée de lignes blanches. Vraie piste ou invention ? Les personnes sont-elles là pour assister à une course à venir ou se détendent-elles après y avoir participé ?
Encore une fois, une image très construite, cette fois dans de belles nuances de noir et de blanc, et qui nous fait nous interroger, comme tout art devrait faire, sur ce qui se passe en dehors du cadre. L’avant et l’après de ce que nous voyons. Cette image énigmatique, avec son invitation au voyage, son humour, son sens de la dérision, mérite son deuxième prix. »
« Marie-France Zumaquero est notre troisième prix. Quelle joie, quelle émotion ! Photographe non professionnelle, l’auteure s’inscrit clairement dans une forme de photographie humaniste. Son image n’est pas construite autour d’un concept, mais saisie « au moment décisif », selon le principe de la photographie de rue.Ici, elle a capturé le plaisir et l’excitation d’un enfant qui semble prendre la tête d’une course de moto imaginaire. Ceci n’est pas une draisienne faite de morceaux de bambou assemblés. Ceci est une Harley Davidson rutilante ! Le spectateur ne peut s’empêcher d’être transporté émotionnellement par cette image de joie à l’état pur, de plaisir partagé avec des amis, d’aventure à petite échelle, et par la confiance que l’enfant semble dégager.
Le jury a été très heureux de pouvoir récompenser cette photo. »

Infos exposition
RDV Hôtel Saint-Côme, 32 Grand’rue Jean Moulin à Montpellier.
Du 6 au 21 octobre 2023.
Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h00, le samedi de 11h00 à 18h00.
Entrée gratuite.


Contacts presse :
• Agence RP – Karine Baudoin, 06 30 08 42 14.
• Mutuelle des Motards – Laure Gelmini.
• Boutographies – Arnaud Laroche.

« Liberté Partagée 40 ANS ça s’EXPOse » : une sélection de photos inspirées par les valeurs de la Mutuelle des Motards à l’Hôtel Saint Côme du 6 au 21 octobre

La Mutuelle des Motards organise une exposition photo du 6 au 21 octobre à l’Hôtel Saint-Côme à Montpellier. Avec l’aide des Boutographies, la Mutuelle a sélectionné une cinquantaine d’œuvres proposées par des photographes amateurs et professionnels sur le thème de la « Liberté Partagée « . Trois prix seront décernés le 5 octobre prochain, lors du vernissage privé de l’exposition, qui s’ouvre au public à partir de 6 octobre.

À l’occasion de son 40e anniversaire, la Mutuelle des Motards, militant assureur de référence dans le monde des deux-roues, s’est associée aux Boutographies pour un événement inédit : le concours photo « Liberté Partagée ». La vision de la liberté, valeur essentielle partagée par l’ensemble des sociétaires de la Mutuelle depuis sa création en 1983, a suscité beaucoup d’enthousiasme puisque le concours a enregistré 200 participants (dont 50 photographes professionnels et 100 sociétaires de la Mutuelle). Au total, les organisateurs ont reçu plus de 700 œuvres ! Un jury composé de membres de la Mutuelle et des Boutographies s’est réuni le 14 septembre dernier pour la sélection finale.

Une cinquantaine de photographies sera donc exposée à l’Hôtel Saint-Côme, siège de la CCI de l’Hérault, à partir du 6 octobre et durant 15 jours. Rendez-vous 32 Grand’rue Jean Moulin à Montpellier, du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h00, le samedi de 11h00 à 18h00.

“Nous sommes surpris et heureux du résultat. Nous ne nous attendions pas à une telle participation, tant en quantité qu’en qualité. Il nous a été difficile de sélectionner les photos à exposer, ainsi que les lauréates. La liberté s’est exprimée de nombreuses façons, en noir et blanc ou en couleur, au travers d’images de voyages ou de portraits expressifs. Il y a du décalage, de l’humour, de l’émotion, des partis pris artistiques marqués. La moto est présente sur différents clichés, d’autres modes de déplacements aussi ; et parfois la liberté s’exprime totalement différemment… Bref, une exposition éclectique, surprenante et réjouissante !”

déclarent Patrick Jacquot, le président et directeur général de la Mutuelle des Motards et Peter Vass, le président des Boutographies.


À propos de la Mutuelle des Motards : Depuis 1983, la Mutuelle des Motards développe des offres et services d’assurance « prévention comprise » dédiés aux conducteurs de deux-roues, en portant les valeurs de liberté, de solidarité et d’entraide. Avec 268 000 sociétaires, elle est devenue la référence incontournable dans le domaine de l’assurance 2 roues en France, et un acteur fort de l’économie sociale et solidaire.

À propos des Boutographies : Ce festival montpelliérain destiné à promouvoir de jeunes photographes européens de talent est devenu le rendez-vous incontournable des passionnés de la photographie. Aux Boutographies, la photographie contemporaine promène un regard curieux et sensible sur ce qui bouge, se transforme, est mis en danger ou s’épanouit tout autour de nous. Depuis sa création en 2001, plus de 500 photographes internationaux ont été présentés.


Contacts presse :
• Agence RP – Karine Baudoin, 06 30 08 42 14.
• Mutuelle des Motards – Laure Gelmini.
• Boutographies – Arnaud Laroche.

Exposition « Yves Navarre rencontre Alekos Fassianos », Paris 10 juin – 29 juillet 2022

La galerie Élysée Saint-Honoré (Paris 8e), avec le concours des Amis d’Yves Navarre, consacre une exposition à la rencontre de deux grands artistes contemporains, l’écrivain Yves Navarre et le peintre Alekos Fassianos, décédé en janvier dernier. À partir du 10 juin prochain, les visiteurs pourront découvrir des documents d’archives rares ou inédits sur leur collaboration et leur amitié des années 1960 à la mort d’Yves Navarre en 1994, et admirer une sélection de tableaux de Fassianos. 

Peu de lecteurs d’Yves Navarre savent que l’auteur du Goncourt 1980 a obtenu ses premières retombées presse parisiennes grâce à une exposition de tableaux retournés en mai 1969. Par contre, ils connaissent les trois couvertures de romans qu’Alekos Fassianos a peintes pour l’écrivain : Portrait de Julien devant la fenêtre (Robert Laffont, 1979), Fête des mères (Albin Michel, 1987) et Poudre d’or (Flammarion, 1993). Quand peinture et écriture se mêlent, quand l’amitié s’en mêle, l’histoire doit être racontée. C’est ce qui a poussé Dimitris Sabatakakis, ami de longue date d’Alekos Fassianos, à contacter l’association Les amis d’Yves Navarre pour, ensemble, donner à voir et à lire la rencontre humaine et artistique entre le peintre et l’écrivain. 

« J’ai rencontré Yves Navarre au début des années 1990. Je publiais alors des beaux livres par passion » se souvient Dimitris Sabatakakis. « Yves Navarre avait beaucoup aimé un poème d’Aragon illustré par Fassianos, que j’avais édité. Il m’a remis un texte, Pour dans peu, qui a inspiré à Alekos une série de lithographies. » Cette magnifique publication des éditions Syrmos fut tirée à 99 exemplaires au printemps 1993. Les visiteurs de l’exposition pourront l’admirer et reconstituer la collaboration entre les deux artistes au fil des photographies, courriers et dessins collectés dans les archives de Dimitris Sabatakakis ainsi que dans les archives et dans le Journal d’Yves Navarre. Ils pourront enfin, quelques mois seulement après la disparition d’Alekos Fassianos, découvrir ou redécouvrir des tableaux jamais ou rarement exposés.


À propos d’Yves Navarre

Yves Navarre est né à Condom, dans le Gers, le 24 septembre 1940. Il est mort à Paris le 24 janvier 1994. Il a marqué les scènes littéraire et sociale des années 70-80, évoquant son homosexualité à visage découvert à une époque où celle-ci demeurait tabou. Son œuvre compte une trentaine d’ouvrages publiés, romans et pièces de théâtre, dont beaucoup ont été traduits en plusieurs langues. Parmi eux citons Lady Black, Le cœur qui cogne, Le petit Galopin de nos corps, Kurwenal ou la part des êtres, Portrait de Julien devant la fenêtre, Je vis où je m’attache, Le Temps voulu ou Ce sont amis que vent emporte, récemment réédités par les éditions H&O. Yves Navarre a reçu le prix Goncourt en 1980 pour Le Jardin d’acclimatation, le prix 30 Millions d’Amis pour Une Vie de chat en 1986 et le prix Amic de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre en 1992.
Les amis d’Yves Navarre : https://www.amis-yvesnavarre.org

À propos d’Alekos Fassianos

Alekos Fassianos est né à Athènes en 1935 ; il y est mort le 16 janvier 2022. De 1956 à 1960, il étudie à l’École des Beaux-Arts d’Athènes puis vient à Paris enrichir sa formation avec l’apprentissage de la lithographie, grâce à une bourse du gouvernement français. Dès les années 60 il expose en Grèce, en Europe et aux États-Unis. En mélangeant ses influences, Fassianos produit des œuvres associant mythologie et représentations du monde moderne. Il crée aussi des décors de théâtre pour de grandes œuvres classiques et modernes et réalise de nombreux livres de bibliophiles. Il reçoit les distinctions de Chevalier (1985) puis d’Officier des Arts et Lettres (2010) avant d’être fait Officier de la légion d’honneur en 2013.
Alekos Fassianos Estate : https://www.alekosfassianos.gr/en/


Informations pratiques
Exposition « Yves Navarre rencontre Alekos Fassianos »

10 juin – 29 juillet 2022

Galerie Élysée Saint-Honoré
13 rue d’Aguesseau, Paris 8e
Angle des rues d’Aguesseau et Montalivet

Du lundi au samedi • 10h00-12h00 et 14h30-19h00.
Fermeture les dimanches et jours fériés.

Entrée libre.

VERNISSAGE
jeudi 9 juin à partir de 18h30, sur invitation.

VERNISSAGE PRESSE
jeudi 9 juin à 11h30.

L’un est écrivain, l’autre est peintre, mais ce sont avant tout deux poètes. Le premier peint des textes, le second écrit des tableaux. Leur amitié est bleue, couleur des mots, couleur des peaux ; elle durera trente ans, jusqu’à ce que l’un d’eux manque à l’appel. Quand le premier connut la consécration en France, le second était déjà l’un des peintres les plus admirés de son pays, la Grèce. Et tous deux ne tarderaient pas à connaître une renommée internationale.

Conseil éditorial et recherches : Les amis d’Yves Navarre.

Conception architecturale : Tassis Papaioannou.

Scénographie : Studio Matters.

Autour de l’exposition
Livre d’art Yves Navarre rencontre Alekos Fassianos (H&O 2020).

#NavarreFassianos


Contact presse : Karine Baudoin, 06 30 08 42 14, pour vos demandes de visuels, d’interviews et d’accréditation presse.

Communiqué de presse en téléchargement :