Gwendoline Lefebvre présidente 2017 de la Jeune Chambre Économique de Montpellier


Gwendoline Lefebvre succède à François Girault à la présidence de la Jeune Chambre Économique de Montpellier. La passation aura lieu mardi 24 janvier à l’occasion de la soirée de vœux de l’association à l’EPF Montpellier.

Gwendoline Lefebvre • © Ph. Ferrer 2016

Ingénieur INSA, Gwendoline Lefebvre est responsable commerciale de l’agence APAVE de Montpellier. À 29 ans, elle prend les rênes d’une association en plein essor (34 membres) qui organisera en juin prochain la Convention nationale de la Jeune Chambre Économique Française. Gwendoline Lefebvre s’est entourée pour cela de Roxane Osanno au secrétariat général, de Victor Fournier à la trésorerie et de quatre vice-présidents : Emilien Lauret, VP exécutif en charge des relations extérieures, Remy Sounier en charge de la communication, Céline Chanoni responsable des partenariats et Walter Bignon de la vie de la JCE. Deux chargées de mission complètent le Bureau 2017 : Marine de Beaufort aux actions et Andreea Axcinte aux relations internationales.
Au-delà de l’événement majeur que représente la Convention nationale – 800 à 1000 jeunes citoyens rassemblés du 15 au 17 juin sur le thème des Smart Cities – la JCE de Montpellier annonce un programme riche pour 2017. Ses membres préparent en effet une action de lutte contre le gaspillage alimentaire et un événement Know How to Transfert sur l’entrepreneuriat en partenariat avec neuf jeunes chambres économiques locales en Europe. Ils programment aussi une 3e édition de Tapas’1 job consacrée cette année à l’insertion des travailleurs en situation de handicap, et le lancement d’une journée pour le climat. Ces actions menées sur le front de l’emploi et de l’économie auront lieu grâce au réseau de la Jeune Chambre Internationale, ainsi qu’au soutien des collectivités territoriales et des partenaires privés de l’association.
Contacts presse :
Rémy Sounier, vice-président communication, 06 95 40 98 45.
Karine Baudoin, sénatrice jci, 06 30 08 42 14.
 

Concours Le Refuge Institut Randstad « Initiatives contre l’homophobie et la transphobie » : focus sur le harcèlement en milieu scolaire en 2017.


Du 20 janvier au 20 avril 2017, les associations portant un projet de lutte contre les LGBT phobies et de soutien des jeunes qui en sont victimes peuvent participer au concours Le Refuge Institut Randstad « Initiatives contre l’homophobie et la transphobie ». Cette 6e édition innove avec la remise d’un Prix supplémentaire par la Fondation Jasmin Roy, qui lutte contre l’intimidation et la violence en milieu scolaire.
Le concours Le Refuge Institut Randstad « Initiatives contre l’homophobie et la transphobie » sera doté de trois Prix en 2017. L’Institut Randstad remettra un chèque de 5 000 euros au projet sélectionné par un jury de personnalités et de représentants associatifs, présidé cette année par Jenifer, marraine du Refuge. Le Prix Têtu – Garçon Magazine récompensera de 2 000 euros l’action plébiscitée par les internautes, qui pourront voter sur le site du Refuge du 22 au 28 avril. Enfin, la Fondation Jasmin Roy décernera le Prix des Lycéens : un établissement scolaire engagé dans la lutte contre l’homophobie recevra 2 000 euros.
En 2016, le Prix Le Refuge Institut Randstad était revenu au foyer socio-éducatif du collège André Maurois de La Saussaye pour sa comédie musicale Roméo et Julien ; le Prix Yagg – Têtu au Centre LGBT Touraine pour ses « 10 jours contre la transphobie ».
La chanteuse Jenifer présidera la remise des Prix le 17 mai à Paris
L’annonce des résultats et la remise des Prix auront lieu le 17 mai, dans le cadre de la Semaine nationale du Refuge, à la mairie du XIe arrondissement de Paris. La présidente du jury Jenifer sera entourée de :
• Christine & the Queens, membre d’honneur
• Laurent Morestain, secrétaire général du Groupe Randstad France et président de l’Institut Randstad
• Ana de Boa Esperanca, déléguée générale de l’Institut Randstad
• Jasmin Roy, président de la Fondation Jasmin Roy
• Christophe Soret, directeur de la publication de Garçon Magazine
• Adrien Naselli, rédacteur en chef de Têtu
• Jean-Luc Romero, président du CRIPS IDF, de l’ADMD et d’ELCS
• Christophe Michel, militant associatif
• Marie-Pierre Pruvot, dite Bambi, écrivaine
• Baptiste Giabiconi, mannequin et chanteur
• Nicolas Noguier, président de l’association nationale Le Refuge
• Frédéric Gal, directeur général du Refuge
• Clio Léonard, déléguée régionale Paris/IDF du Refuge
• Mehdi Aïfa, président de l’Amicale des Jeunes du Refuge
• Remy Rego, chargé de communication externe du Refuge
• Karine Baudoin, attachée de presse, partenaire institutionnelle du Refuge.
>>> Le Concours est réservé aux associations françaises loi 1901
> Le concours a lieu du 20 janvier au 20 avril 2017, cachet de la poste faisant foi.

Le budget prévisionnel ou définitif de l’action présentée ne doit pas dépasser 20 000 euros.
> Dossier complet de présentation de l’action avec pièces justificatives à renvoyer par courrier et par mail avant le 20 avril 23h59 à : Le Refuge – Concours Le Refuge Institut Randstad 2017 – 75 Place d’Acadie – 34000 Montpellier / concours@le-refuge.org.
> Dossier de candidature et règlement à télécharger sur www.le-refuge.org.
> Infos : 09 54 92 60 66 • concours@le-refuge.org.
Télécharger ce communiqué en PDF.
Contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
 

La Banque Populaire du Sud obtient le label égalité professionnelle


L’AFNOR vient d’attribuer à la Banque Populaire du Sud le label de l’égalité professionnelle. Cette certification reconnait les bonnes pratiques mises en œuvre au sein de l’entreprise pour garantir durablement la mixité et l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.
Le label égalité professionnelle salue l’engagement de longue date de la Banque Populaire du Sud dans ce domaine. Entre le 5 octobre 2009, date du 1er accord d’entreprise, et le dernier accord du 23 juillet 2015, la banque régionale s’est dotée d’une politique d’égalité professionnelle plus ambitieuse et plus concrète en matière de non discrimination (principe général), de recrutement, d’accès à la formation, d’évolution professionnelle, de parentalité, de rémunération et de conciliation vie privée et vie professionnelle. Et pour cause : les femmes représentent 60,9% de l’effectif en CDI de la Banque Populaire du Sud. « Aujourd’hui, nos objectifs sont de réussir l’enjeu de la mixité sur tous les métiers » explique Fabienne Intertaglia, responsable mixité et égalité professionnelle au sein de la BPS. « Nous souhaitons encourager les femmes à la prise de responsabilités. Nous voulons lutter contre les stéréotypes et les discriminations afin de permettre à tous les hommes et à toutes les femmes de l’entreprise de s’épanouir et de s’accomplir professionnellement. »

Parmi les mesures mises en place par la Banque Populaire du Sud, l’accord relatif au retour de congés maternité : toute femme reprenant son travail à 100% bénéficie d’une heure de travail en moins pendant les trois premiers mois de la reprise. Le domaine de la formation s’adapte aussi au rythme de vie de l’ensemble des collaboratrices et collaborateurs. La programmation des sessions de 9h30 à 16h30 leur permet de se rendre sur les lieux de formation pendant leur temps de travail, donc de mieux concilier vie privée et vie professionnelle…
Le processus de labellisation Égalité
Créé en 2005, le label Égalité est destiné à valoriser l’égalité hommes/femmes et la mixité professionnelle en entreprise. Le dossier de labellisation présenté par les organismes candidats est instruit par l’AFNOR Certification, qui apprécie la mise en œuvre des actions en faveur de l’égalité professionnelle et soumet un rapport à la commission labellisation composée à parité des représentants de l’État, de l’organisation patronale et des syndicats de salariés. L’évaluation se fait sur plusieurs critères, répartis en trois champs : les actions menées en faveur de l’égalité professionnelle, la gestion des ressources humaines et le management, l’accompagnement de la parentalité dans le cadre professionnel.
Télécharger ce communiqué de presse en PDF.
Contacts presse :
Banque Populaire du Sud – François Cartier – 04 68 38 22 10 • 06 33 88 59 49.
Agence RP – Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 • 06 30 08 42 14.
 

Olivier Delorme avance 30 bonnes raisons pour sortir de l’Europe


Le 15 janvier 2017, H&O publie l’essai iconoclaste d’Olivier Delorme 30 bonnes raisons pour sortir de l’Europe. En 30 (et un) courts chapitres argumentés et accessibles, l’historien démonte les ressorts de l’Union européenne et dévoile l’idéologie qui la sous-tend, une idéologie qui vise à saper jour après jour l’État social et la démocratie que les combats des générations passées nous ont légués. Alors qu’approchent des scrutins majeurs, chaque citoyen doit être conscient que la « question européenne » détermine aujourd’hui la plupart des choix politiques.
En France, le débat sur la construction européenne se réduit le plus souvent à des lieux communs ou à des anathèmes : « L’Europe, c’est la paix et la prospérité pour tous, parce qu’ensemble on est plus fort. », « Quitter l’Union européenne serait une catastrophe économique, entraînerait le repli sur soi et le triomphe du nationalisme »… Mais qu’en est-il vraiment ? L’Europe est-elle une « belle idée en soi » ? La « construction européenne » a-t-elle vraiment rapproché les peuples d’Europe et garanti la paix ? Le fonctionnement de l’Union est-il démocratique ? Ses institutions sont-elles réformables ?
Dans son essai, Olivier Delorme propose d’en finir avec la propagande, démontrant d’entrée de jeu que l’Europe est « un Ordre dans lequel les peuples sont sommés de se taire pendant que ceux qui savent gouvernent ». Il montre qu’en plus d’être une création de guerre froide destinée à servir les intérêts américains, l’Europe est une oligarchie que « l’aristotélicienne nation britannique vient d’envoyer paître ». Spécialiste de la Grèce, Olivier Delorme s’attaque à l’euro, cette « monnaie allemande » impossible à réformer, qui a littéralement étouffé l’économie grecque et qui ruine tous les pays dont les structures économiques ne sont pas semblables à celles de l’Allemagne.
L’urgence de rebâtir une République sociale
Après avoir analysé le fonctionnement des institutions européennes, Olivier Delorme explique de quelle manière la démocratie est constamment court-circuitée au profit des lobbies financiers et industriels. Il dénonce aussi la dissolution de la spécificité française en politique étrangère dans le « magma euro-atlantique », la création d’une hiérarchie des peuples et voit dans l’Europe une des fabriques du terrorisme. Comme tous les empires, l’Union européenne s’effondrera un jour. Mais faut-il attendre ce naufrage ? Pour Olivier Delorme, il n’y a pas d’alternative : il faut sortir de l’Europe le plus tôt possible. Pour cela, il préconise d’organiser un nouveau « Conseil national de la Résistance », capable de redonner du sens au politique et de rebâtir « une République sociale, solidaire et participative ».
Olivier Delorme
Olivier Delorme naît en 1958 à Chalon-sur-Saône. Dès son plus jeune âge, Il se prend de passion pour l’histoire antique de la Grèce. Agrégé d’histoire, maître de conférences à l’Institut d’études politiques de Paris (2001-2008), il est l’auteur de « La Guerre de 14 commence à Sarajevo » (Hatier, 2014) et le coauteur de « Les Grecs contre l’austérité, Il était une fois la crise de la dette » (Le Temps des cerises, 2015). Il publie en 2013, dans la collection Folio Histoire (Gallimard), les trois tomes de « La Grèce et les Balkans, du Ve siècle à nos jours », qui font autorité aujourd’hui sur l’histoire de la région. Il collabore à diverses publications, dont la revue franco-hellénique Desmos-Le Lien. Il a écrit six romans édités chez H&O.
Télécharger ce communiqué de presse en PDF.
Contact presse H&O :
Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
 

Djemila Benhabib Prix Humanisme 2016 de l'Institut Maçonnique de France


Djemila Benhabib a reçu, dimanche 20 novembre, le Prix Humanisme 2016 de l’Institut Maçonnique de France pour son essai Après Charlie – Laïques de tous les pays, mobilisez-vous !, dans le cadre du Salon du livre maçonnique de Paris. Le Jury de l’Institut Maçonnique de France (IMF) décerne son Prix Humanisme à un-e auteur-e profane ayant, dans un essai, défendu des valeurs proches de celles de la franc-maçonnerie.
Après Charlie est sorti en janvier 2016 aux éditions H&O, préfacé par Boualem Sansal. Djemila Benhabib y rend un émouvant hommage à Charb, des mains de qui elle avait reçu le Prix international de la laïcité en 2012, avant de dénoncer l’autocensure de nombreux médias sur le « naufrage obscurantiste de l’islam ». Elle rappelle que la chute des grandes idéologies du XXe siècle a entraîné un retour du religieux dans nos sociétés qui compromet la liberté de conscience et d’expression, la condition des femmes, l’éducation et la liberté du désir. Djemila Benhabib appelle à un sursaut laïque pour la victoire des valeurs citoyennes et universelles.


Écrivaine, journaliste, enseignante et conférencière, Djemila Benhabib a reçu cette année à Bruxelles le Prix de la liberté d’expression pour l’ensemble de son œuvre à l’occasion de la 2e édition du Difference Day, événement organisé dans le cadre de la Journée mondiale de la liberté de la presse. Elle a publié quatre essais au Québec, tous édités en France chez H&O.
Le 14e Salon maçonnique du Livre de Paris s’est tenu à La Bellevilloise (Paris 20e) les 19 et 20 novembre, en présence de 17 obédiences françaises, une soixantaine d’auteurs et de dessinateurs, de nombreux éditeurs de livres, de revues et de bandes dessinées. Dix tables rondes, trois conférences ainsi que de nombreuses dédicaces ont également été proposées durant ce week-end.
Contacts presse :
• Karine Baudoin, Service presse H&O, 06 30 08 42 14.
• Eric Algrain, Commissaire du Salon, 06 07 99 61 73.
 

Les Rencontres « Femmes du numérique, Femmes d’aujourd’hui » à Montpellier


Les 18 et 19 novembre 2016, le CIDFF de l’Hérault et l’association « Elles bougent » organisent à l’EPF école d’ingénieur-e-s de Montpellier les rencontres « Femmes du numérique, Femmes d’aujourd’hui », afin de débattre de la place et de l’image des femmes dans ce domaine d’avenir. Cet événement s’inscrit dans la Digiworld Week.
En France, le secteur du numérique sera créateur d’au moins 36 000 nouveaux emplois dans les cinq prochaines années. Malheureusement, le numérique en France ne compte que 28% de femmes, et la tendance n’est pas à la hausse. Partant de ce constat, le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles de l’Hérault, l’association « Elles bougent » et l’EPF école d’ingénieur-e-s de Montpellier se sont associés pour montrer que les métiers du numérique n’ont pas de genre. « Nous souhaitons faire découvrir la diversité et la mixité de ces métiers aux parents et à leurs enfants, particulièrement aux jeunes filles, expliquent les organisatrices. On parle souvent du développeur informatique, plus rarement de la game designer ! » Les Rencontres « Femmes du numérique, Femmes d’aujourd’hui », événement mixte, proposeront trois tables rondes, quatre ateliers d’initiation au codage (dont deux ateliers réservés aux filles) et un « Salon des métiers du numérique d’un nouveau genre ».
La FrenchTech au féminin mobilisée sur un salon d’un nouveau genre
Les Rencontres « Femmes du numérique, Femmes d’aujourd’hui » doivent aussi être l’occasion de créer un rassemblement sans précédent des femmes de la FrenchTech de Montpellier et de sa région. Durant toute la journée du samedi, celles qui investissent sans complexe le monde du numérique au quotidien animeront les stands du « Salon des métiers du numérique d’un nouveau genre ». Elles sont cheffes d’entreprise, salariées, enseignantes, chercheuses, responsables pédagogiques, étudiantes (ou anciennes étudiantes)… Elles exercent comme développeuses, créatrices de contenus, blogueuses, cheffes de projet, graphistes, gameuses, community managers, YouTubeuses, webmasters, architectes, designers UX / UI, formatrices…
Inscription gratuite
https://www.weezevent.com/les-rencontres-femmes-du-numerique-femmes-d-aujourd-hui
• RDV à l’EPF, 21 boulevard Berthelot, 34000 Montpellier • Tram 2 arrêt Nouveau Saint-Roch

Programme complet des Rencontres

Vendredi 18 novembre

• 17h15 Accueil
• 17h45 Inauguration officielle
• 18h30-19h15 Table ronde « Votre chemin vers le numérique » (témoignages)
• 19h30-21h00 Apéro networking.
Samedi 19 novembre
• 9h00 Café d’accueil
• 9h30-17h00 Salon des métiers du numérique d’un nouveau genre
• 9h45-10h30 Table ronde « Être une femme du numérique facilite-t-il la conciliation vie personnelle et vie professionnelle ? »
• 11h-11h45 Table ronde « Il n’y a pas de différence entre le cerveau des filles et celui des garçons. Alors pourquoi si peu de filles dans le numérique ? »
• 14h00 Café d’accueil
• 14h30-15h30 Ateliers de codage.

Télécharger ce communiqué en PDF.
Contacts presse :
Norolanto Razafinimanana (organisation), 06 03 81 65 77 • Karine Baudoin (agence RP), 06 30 08 42 14.
 

L’avenir des jeunes LGBTQI intéresse-t-il les politiques français ?

L’association nationale Le Refuge a décidé d’interpeller les candidat-e-s aux différentes primaires pour connaître leurs engagements en faveur des jeunes homosexuels et transsexuels isolés et en souffrance. La consultation démarre cette semaine sur son site Internet avec la primaire des écologistes. Elle se poursuivra, au-delà des primaires, par la consultation des candidat-e-s à l’élection présidentielle.
Reconnue d’utilité publique par décret de 2011, l’association Le Refuge se trouve cependant de moins en moins soutenue par l’État dans son travail auprès des jeunes LGBTQI rejetés par leur entourage. Pourtant Le Refuge est confrontée à une hausse sans précédent des appels à l’aide (+32% en 2016 par rapport à 2015). Son conseil d’administration a donc décidé d’informer les citoyens des mesures que les différents candidats (aux primaires dans un premier temps, à la présidentielle dans un second temps) s’engagent à prendre pour faire reculer l’homophobie et la transphobie dans la société. La consultation se fait en ligne sur le site Internet du Refuge grâce à la solution Open-Dialog développée par la French Association for Civic Education & Participation, association d’intérêt général dont l’objet est de renforcer la participation citoyenne via le numérique.
Première consultation en ligne : http://le-refuge.org/primaire-ecologiste.html
Consultation suivante (à venir) : http://www.le-refuge.org/primaire-de-la-droite-et-du-centre.html
Télécharger ce communiqué en PDF.
Contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
 

Cherche diplômés Bac-Bac+2 et entrepreneurs pour rencontre conviviale et emploi si affinités


La Jeune Chambre Économique de Montpellier organise la 2e édition de son action Tapas’1Job le 20 octobre prochain. Elle propose aux diplômés Bac à Bac +2 en recherche d’emploi des ateliers pratiques suivis d’une soirée conviviale avec des chefs d’entreprises et des représentants du tissu économique local.
En 2015, la première édition de Tapas’1Job avait permis à près de 40 nouveaux arrivants sur Montpellier à la recherche d’un emploi de se familiariser avec la sphère économique locale et de se faire connaître de recruteurs potentiels. La Jeune Chambre Économique renouvelle l’opération en l’ouvrant cette année aux personnes récemment diplômées Bac à Bac+2 afin de favoriser leur insertion professionnelle. Pour ces dernières, la journée du 20 octobre se déroulera en deux temps. Dès 14h00, les partenaires de la JCE proposeront des ateliers pratiques consacrés à la recherche d’emploi efficace : « Développe ton carnet d’adresses » (Mission locale des jeunes), « Prépare ton entretien » (Adecco), « 3 minutes pour convaincre » (RDP-Recrutement), « Et après l’entretien ? » (Groupe Partnaire) et « Maîtrise tes réseaux sociaux » (LiloPro). À partir de 18h30, les participants pourront rencontrer des entrepreneurs ainsi que des représentants des institutions et des réseaux économiques dans un cadre convivial et informel, façon afterwork. « Les diplômés ayant suivi une formation courte sont plus nombreux à chercher un premier emploi localement que les Bac+5, souvent plus mobiles, commente François Girault, président de la JCE. Or les formations courtes intéressent les entreprises. Nous espérons donc créer des opportunités pour les uns et pour les autres ! »
Diplômés ou acteurs économiques de la Métropole, Tapas’1Job mode d’emploi :
• Envoyer un mail à JCE.tapas1job[@]gmail.com
• Les candidats à l’emploi doivent joindre leur CV et une lettre de motivation.
• La JCE communiquera le lieu de la rencontre par email aux participants sélectionnés.
Téléchargez ce communiqué en PDF.
Contacts presse :
• Karine Baudoin, RP, 06 30 08 42 14.
• Céline Chanoni, Directrice du projet, 07 61 97 80 09.
 

Isabelle Morère élue présidente de la SOCAMA du Sud


Réunis en Assemblée Générale à Perpignan le 30 septembre 2016, les administrateurs de la SOCAMA du Sud ont élu Isabelle Morère à la présidence de cette nouvelle entité régionale issue de la fusion des Sociétés de Caution Mutuelle Artisanale du Midi, de l’Aude, de l’Ariège et du Roussillon. Co-gérante de la SARL Philippe Morère Menuiserie Agencement à Bénac, Isabelle Morère présidait depuis 2011 la SOCAMA de l’Ariège.
« Mon expérience de dirigeante d’entreprise me donne envie de partager mon vécu avec les entrepreneurs actuels et les créateurs. J’estime que l’offre des SOCAMA n’est pas assez connue des TPE : la SOCAMA est pourtant garante de chaque étape de le vie de l’entreprise, de sa création à sa transmission, en passant par les périodes essentielles de développement. » Isabelle Morère, première présidente de la SOCAMA du Sud, parle d’expérience : depuis la création de leur entreprise de menuiserie à Bénac près de Foix, elle et son mari ont eu recours à plusieurs reprises à des prêts SOCAMA, d’abord pour investir dans du matériel, ensuite pour construire un nouvel atelier et accompagner ainsi le développement de leur activité et, tout récemment, pour acquérir deux nouveaux véhicules. « La caution mutuelle est un véritable outil pour les TPE, qui limite l’engagement individuel des créateurs et des cédants, et qui exonère de toute caution personnelle les entrepreneurs qui ont besoin d’investir. Il faut le leur faire savoir ! »
Le moteur d’Isabelle Morère ? L’engagement !
Isabelle Morère commence sa carrière professionnelle en tant que salariée dans la vente. Elle épaule son mari lorsqu’il crée son entreprise individuelle de menuiserie en 1991 ; ce dernier l’embauche en 1997. En 2005, Isabelle reprend des études de gestion d’entreprise à l’Université de Toulouse. En 2007, son DU en poche, elle devient la co-gérante de l’affaire familiale désormais SARL Philippe Morère Menuiserie Agencement. L’entreprise compte aujourd’hui huit salariés. Élue en décembre 2011 présidente de la SOCAMA de l’Ariège, Isabelle Morère est aussi trésorière adjointe de la Fédération nationale des SOCAMA. Représentante de l’UPA au sein du conseil d’administration de la SOCAMA, elle mène de front bien d’autres missions : en Ariège, présidente de la commission des femmes d’artisans, vice-présidente de la CAPEB, administratrice de la CAF et de la CPAM ; à Toulouse, administratrice du CTI (Centre de Traitement Informatique) Sud.
Télécharger ce communiqué de presse en PDF.
Contacts presse :
• Banque Populaire du Sud – François Cartier – 04 68 38 22 10 • 06 33 88 59 49.
• Agence RP – Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 • 06 30 08 42 14.
 

La nouvelle SOCAMA du Sud facilite l’accès au crédit des TPE


Le 30 septembre prochain, la SOCAMA du Sud naîtra de la fusion des Sociétés de Caution Mutuelle Artisanale du Midi, de l’Aude, de l’Ariège et du Roussillon. La nouvelle entité, à l’instar des autres SOCAMA régionales, étend ses services à l’ensemble des TPE pour favoriser leur accès au crédit. Une stratégie cohérente compte tenu de son partenariat historique avec la Banque Populaire du Sud, banque des entrepreneurs.
Au cours d’une Assemblée Générale extraordinaire qui se tiendra à Perpignan le 30 septembre 2016, la SOCAMA du Roussillon fusionnera avec ses homologues du Midi (Hérault, Gard, Lozère, Ardèche-Sud), de l’Aude et de l’Ariège pour constituer la Société de Caution Mutuelle Artisanale du Sud, SOCAMA du Sud. Une restructuration motivée par la volonté d’harmoniser sa politique sur son territoire (Languedoc-Roussillon, Ariège, Ardèche-Sud) sous l’impulsion d’un conseil d’administration unique, toujours composé de syndicats professionnels. Cette nouvelle organisation, plus logique et fonctionnelle, répond aussi à la croissance de l’octroi de prêts SOCAMA dans la région : en 2015, 1687 prêts (capitaux 39,7 M €) contre 863 en 2013 (19,5 M €). Les comités professionnels de crédit décentralisés (Roussillon, Ariège, Aude, Gard-Ardèche et Hérault-Lozère) et le réseau des agences de la Banque Populaire du Sud permettront de conserver la proximité avec les entrepreneurs, valeur forte des SOCAMA et du groupe bancaire.
Les dirigeants de TPE peuvent investir sans engager leur patrimoine privé
Le principe de la caution mutuelle est de partager les risques de façon solidaire tout en présentant des garanties solides aux prêteurs. Un service que les SOCAMA ont longtemps réservé aux artisans. La SOCAMA du Sud s’adresse désormais à l’ensemble des TPE (artisans, commerçants, professions libérales) en leur permettant d’investir à la création de leur activité, pour donner un nouvel essor à leur entreprise ou pour faciliter sa transmission. « Les entrepreneurs ont besoin de développer leur activité l’esprit libre, commente Pierre Chauvois, Directeur Général de la Banque Populaire du Sud. Le prêt SOCAMA dédié au développement est un avantage client conséquent car il leur permet d’investir jusqu’à 150.000 euros sans caution personnelle ! » Les prêts SOCAMA à la création et à la transmission limitent eux aussi l’engagement du dirigeant (50% pour la création d’entreprise, 25% pour la transmission).
Soirée de lancement de la SOCAMA du Sud le 30 septembre à 18h30
Villa Duflot, Rond-Point Albert Donnezan, 66000 Perpignan
Table ronde « Le cautionnement mutuel, instrument de financement des TPE et levier du développement économique » avec la participation de :
• Pierre Chauvois, Directeur Général de la Banque Populaire du Sud
• Daniel Goupillat, Président de la Fédération Nationale des Sociétés de Caution Mutuelle Artisanales
• et de représentants de la Commission Européenne, du Fonds Européen d’Investissement et de l’Association Européenne du Cautionnement Mutuel.
Télécharger ce communiqué de presse en PDF.
Contacts presse :
Banque Populaire du Sud – François Cartier – 04 68 38 22 10 • 06 33 88 59 49.
Agence RP – Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 • 06 30 08 42 14.