Culture • « On dirait le Sud » saison 2015 sur France 3 Languedoc-Roussillon

7 janvier 2015 – 27 février 2015 • À quoi bon la culture, cette autre idée du Sud ?
Parce que c’est la seule façon de résister, répondent les artistes et « On dirait le Sud ».

En 2015, le magazine « On dirait le Sud » propose de nouvelles rencontres singulières avec la culture et le patrimoine régional sur l’antenne de France 3 Languedoc-Roussillon. Le prochain numéro, programmé le 27 février, conduira les téléspectateurs dans les bureaux de trois dessinateurs de presse à Montpellier, Pérols et Nîmes, dans les ateliers de la Manufacture nationale de la Savonnerie à Lodève, sur le chantier de fouilles de l’abbaye de Saint-Gilles, dans les coulisses du Centre Dramatique National de Montpellier et du Théâtre de Narbonne. Après un hommage au photographe Lucien Clergue, le parcours s’achève sur scène à Nîmes à Paloma et sur les Causses cévenols avec Piers Faccini.
Après le drame de Charlie Hebdo
« Ce soir-là nous sommes une dizaine de jours après le traumatisme de début janvier. Comment ne pas y penser ? Comment ne pas l’évoquer » interroge la voix off du documentaire de Yann Sinic sur Rodrigo Garcia, le nouveau directeur du Centre dramatique national de Montpellier : « À quoi cela sert-il de faire du théâtre, du cinéma, dans un tel désenchantement ? » Le numéro 4 de « On dirait le Sud » porte l’empreinte de l’actualité dramatique du début d’année, communique le doute qui assaille les artistes autant que leur pugnacité, la vivacité d’un coup de crayon.
Ainsi Laure Pradal a-t-elle filmé trois dessinateurs de presse en Languedoc-Roussillon : Aurel, Eddie Pons et Roland Hours. Ils lui font part de leur processus créatif, de leur quête d’idées. Au fil des planches, des références aux attentats perpétrés au sein de la rédaction de Charlie Hebdo… Aurel commente une illustration intitulée « Monsieur Tignous, éleveur de dessinateurs » : « Tu lui montrais tes dessins, il te disait que c’était nul et pourquoi c’était nul. Tignous était quelqu’un qui acceptait de prendre le temps de discuter. » Roland Hours s’étonne : « Quand je travaillais à l’Evénement du Jeudi, on était plus libre que maintenant ! »
Cinq volets jusqu’à l’été
L’aventure se poursuit en 2015 pour le magazine culturel « On dirait le Sud » coproduit par Les Films d’Ici Méditerranée (Montpellier) et France Télévisions. Les trois premiers numéros diffusés à l’automne ont donné le ton et affirmé, selon le producteur Serge Lalou*, « la nécessité d’ouvrir des espaces télévisuels pour la création et le nécessaire cofinancement de la télévision publique régionale par les collectivités territoriales. » Soutenu par la Région et la DRAC notamment, « On dirait le Sud » donne rendez-vous aux téléspectateurs les 27-28 février, 27-28 mars et 24-25 avril, à 0h15 et 15h20. Deux autres numéros seront programmés en mai et juin.
Le seul magazine culturel de France 3 Région
Émission mensuelle de 52 mn diffusée par France 3 Languedoc-Roussillon, « On dirait le Sud » est le seul magazine culturel existant sur une antenne de France 3 Région. Placé sous la direction éditoriale de Nathalie Combe assistée de Delphine Lalou, le magazine se compose de 8 films courts de 6 à 8 mn commandés à des auteurs-réalisateurs choisis en fonction de leur connaissance du sujet et de leur inscription dans la région. Chaque épisode est conçu comme une entité, avec son rythme propre, un sommaire qui présente en images les films de l’épisode et une voix off qui incarne le ton du magazine (la voix 2015 est celle de Jean-Michel Mariou, délégué France 3 Languedoc-Roussillon). La volonté de François Fronty, auteur-réalisateur, est « de filmer de façon remarquable des réalités culturelles remarquables, faire découvrir et diffuser la culture sous toutes ses formes. »
* Serge Lalou et Anne-Marie Luccioni, associés aux Films d’Ici, ont créé en juillet 2014 à Montpellier une nouvelle société de production, Les Films d’Ici Méditerranée (Filmed). « On dirait le Sud » est leur première production, mise à l’antenne en septembre 2014.
Page Facebook de l’émission :
https://www.facebook.com/pages/On-dirait-le-Sud/796139110428797


// Sommaire du numéro 04 – Février 2015 //

Programmation : 27 février 2015 à 0h15.
Rediffusion : 28 février 2015 à 15h20.
Durée : 52 mn.
Contact production : Élodie Dombre, administration de production, 06 20 67 37 04.
Des dessinateurs de presse, de Laure Pradal
Après l’émotion suscitée par l’assassinat des dessinateurs de Charlie Hebdo, Laure Pradal filme les dessinateurs politiques installés en Languedoc-Roussillon : Aurel, Eddie Pons et Roland Hours, qui dessinent pour des journaux politiques ou d’information (Le Monde, Politis) en parallèle de leur travail de dessinateur de BD. Comment travaillent-ils au quotidien ? Qu’est-ce qui fait l’essence de leur métier ?

L’aventure au long cours, de Marie Poitevin
Cet atelier de création de tapis est situé aux abords de la ville de Lodève, dans un bâtiment à l’écart qui abrite un trésor de savoir-faire. Il est une annexe des Gobelins. Des hommes et des femmes, appelés lissiers, travaillent patiemment sur la réalisation d’ouvrages contemporains ou de reproductions de tapis anciens. Ici la rentabilité n’existe pas. Il n’y a pas de contraintes de temps, l’ouvrage prendra plusieurs années, parfois 7 ans. Le 20 janvier 2015 a lieu « la remise d’un métier » aussi appelée la « délivrance d’un tapis » dont on coupera les chaînes après de nombreuses années d’ouvrage. La réalisatrice propose trois portraits qui témoignent de la profondeur historique de cette manufacture (née après la guerre d’Algérie pour donner du travail aux femmes harkis) et de la qualité rare du travail de ces lissiers dont les tapis orneront les ambassades, ministères et monuments historiques.

Le Cirque Poussière à Narbonne, de Jean-Marie Téno
Julien Candy est un jeune circassien formé à Montpellier, à Paris, puis à Padoue. Le film de Jean-Marie Téno suit l’installation, la mise en place et la première sur la scène du Théâtre de Narbonne de la Cie La faux populaire, une jeune compagnie de cirque contemporain, mélange de cabaret, de voltige, de chant lyrique, dans sa dernière création intitulée Le Cirque Poussière. Avec précaution, il se glissera dans ce remue-ménage de construction millimétrée du manège et de décors parfois, qui offrent le cadre à la parodie de certains classiques et à des numéros originaux de voltige, de music-hall, de manipulation et de détournement d’objets qui font partager avec les spectateurs autour du manège les émotions fortes que les artistes communiquent avec brio.
Fouilles au cloître Saint-Gilles, de Jean-Baptiste Durand
Depuis un mois, les archéologues de Mosaïques Archéologie fouillent dans le jardin du cloître de l’abbaye de Saint-Gilles, haut lieu de pèlerinage sur le chemin menant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Début janvier, les restes de trois tombeaux monumentaux bâtis en pierre ont été découverts et sont actuellement en cours de fouille. Ils permettent de mettre en lumière la richesse historique du lieu qui ne devrait pas devenir l’otage malheureux d’une politique municipale orientée vers d’autres impératifs.

Rodrigo Garcia, de Yann Sinic
Nouveau directeur du Centre Dramatique National de Montpellier, Rodrigo Garcia apparaît comme le fer de lance du renouvellement de la proposition théâtrale de la ville. Avec un discours résolument politique sur l’action artistique, qui s’incarne dans le choix de nommer sa compagnie « Humain trop humain », le metteur en scène argentin bouscule le public en proposant un programme à l’image de la première œuvre présentée Golgotha picnic. L’angle du film sera la capacité de mener une telle politique théâtrale en créant de l’adhésion populaire.
D’abord la vie, ensuite les triomphes, de Lucien Clergue
La disparition du photographe Lucien Clergue en novembre a suscité bien des éloges et des rappels utiles dans la presse. Arlésien de naissance, c’est à lui que nous devons la création des Rencontres photographiques d’Arles. Ami de Picasso, de Cocteau, il laisse derrière lui une magnifique œuvre photographique, mais aussi des courts-métrages. Ce pan de son travail, beaucoup moins connu, va faire l’objet de projections au festival de cinéma Itinérances d’Alès 2015. Le magazine se propose de diffuser un extrait d’un des courts-métrages de Lucien Clergue, afin de le faire connaître à un public encore plus large.
Immersion à Paloma, de Laure Bourdon
À la SMAC Paloma à Nîmes, dans l’un des plus beaux lieux de musique actuelle de l’hexagone, de jeunes créateurs expérimentent de nouvelles formes de création, au croisement du cinéma, de la musique électronique et des effets spéciaux. À l’occasion de la préparation de Déjà vu, un spectacle visuel et sonore où se mêlent improvisation et immersion des spectateurs dans une narration en 3D, Laure Bourdon explore cette nouvelle tendance de la création, de mêler spectacle vivant, nouvelles technologies et performance immersive…
A New Morning, de Jeremiah et Piers Faccini
Vivant depuis plusieurs années dans les Cévennes, l’artiste cosmopolite Piers Faccini s’inspire d’une mystique des lieux pour enrichir son répertoire acoustique. Le réalisateur Jérémiah a saisi dans des plans-séquences les résonances et harmoniques qui surgissent entre des lieux aussi divers que des églises romanes et des espaces de Causses, et les chants très épurés de Piers Faccini. Une rencontre des extrêmes entre le minéral et l’onde.

 
Téléchargements :
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• le dossier de presse de février 2015
Journalistes, demandez vos codes d’accès privés aux reportages en avant-première à Karine Baudoin au 06 30 08 42 14.
 
 

Kiude réinvente l’art d’offrir

Cairanne – Paris, le 27 janvier 2015.
Nouvelle venue dans l’univers de l’objet de prestige et de l’événementiel, la maison d’édition Kiude propose à ses clients des cadeaux d’exception uniques et personnalisés. Elle fait appel à un gotha d’artisans, d’artistes et de maisons de luxe pour créer des cadeaux sur-mesure, et met en scène leur remise pour faire de chaque célébration un moment inoubliable.

Il est des événements dans une vie que chacune, chacun aimerait immortaliser. La maison Kiude propose à ses clients de magnifier et pérenniser ces moments précieux en offrant un cadeau approprié : personnalisé, à l’origine certifiée et doté de qualités immuables. Pour marquer une étape clef de la vie personnelle, un cap important dans un parcours professionnel, un événement d’entreprise, l’équipe de Kiude sélectionne l’artisan d’art, l’artiste ou la maison de luxe qui saura entendre la demande de son client et la transformer en bel objet. Elle organise enfin une mise en scène sur-mesure à la hauteur de ce cadeau hors-norme et des circonstances qui motivent sa remise.
Kiude prise le savoir-faire français et l’originalité
Pour le lancement de son activité, la maison Kiude s’appuie sur un gotha d’une centaine de créateurs français. Si certains bénéficient déjà d’une reconnaissance internationale, d’autres débutent leur parcours, jeunes talents repérés par Aurore, la responsable marketing de Kiude. « Nous privilégions les créateurs français, qui travaillent une matière première provenant du territoire national. Bien sûr, si le récipiendaire raffole du verre de Murano par exemple, nous commanderons alors une création sur l’île, dont nous garantirons l’authenticité. » Pour Charles Barraud, gérant de la maison Kiude, la priorité va à l’originalité de l’œuvre et à son esthétisme : matériau noble ou décalé, la démarche inspirée du créateur en fait un objet d’exception imaginé pour un moment d’exception.
Une maison française, une marque universelle
La marque Kiude sonne bien dans toutes les langues ; le site Internet kiude.com se décline d’ailleurs en sept idiomes. La maison d’édition souhaite en effet se positionner à l’international dès sa création pour proposer un service sur-mesure à la clientèle amoureuse du luxe et du savoir-faire français de l’Europe à l’Asie, en passant par le continent américain.
L’univers Kiude
• 3 grands domaines d’inspiration
Authentique (maîtres artisans), Artiste (artistes reconnus et révélations), Luxe (maisons de luxe).
• 5 territoires d’expression
Joaillerie, horlogerie, accessoires de mode, arts de la table, décoration.

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Contact presse : Karine BAUDOIN – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
 

4e édition du concours Le Refuge / Institut Randstad "Initiatives contre l’homophobie et la transphobie"

L’édition 2015 du concours « Initiatives contre l’homophobie et la transphobie », placée sous la présidence de Madame la Garde des Sceaux Christiane Taubira, se déroule du 1er janvier au 15 avril. L’association nationale Le Refuge et l’Institut Randstad récompenseront des actions associatives de lutte contre les LGBT phobies et de prévention du mal-être et du suicide des jeunes qui en sont victimes. Sont concernés les projets initiés en 2014 ou avant le 15 avril 2015, et qui aboutiront avant la fin de l’année. L’Institut Randstad dotera le Prix « Le Refuge/Institut Randstad – Initiatives contre l’homophobie et la transphobie » d’un chèque de 5.000 euros. Le « Prix des Internautes », parrainé par Yagg et Têtu, récompensera de 2.000 euros le projet plébiscité par les lecteurs des deux médias (vote en ligne sur les sites www.yagg.com et www.tetu.com du 17 au 23 avril).
Remise des Prix le 15 mai 2015
L’annonce des résultats et la remise des Prix auront lieu le 15 mai, lors de la Semaine nationale du Refuge, dans les locaux du Crips de Paris. La présidente du jury Christiane Taubira sera entourée de : Abdel Aïssou, directeur général du Groupe Randstad France et président de l’Institut Randstad, Jean-Luc Romero, président du Centre régional d’information et de prévention du sida Ile-de-France et de l’association Elus Locaux Contre le Sida, Christophe Martet, directeur de publication de Yagg, Jean-Jacques Augier, directeur de publication de Têtu, et plusieurs représentants du Refuge (dirigeants, bénévoles, partenaires, jeunes bénéficiaires).

En 2014, l’Institut de Ressources en Psychologie du Sport (IREPS, Montpellier) avait remporté le Prix Le Refuge Institut Randstad ; les Internautes avaient plébiscité les Universités d’Été Euroméditerranéennes des Homosexualités (Marseille).
Concours réservé aux associations françaises loi 1901
• Dates du concours
Du 1er janvier au 15 avril 2015, cachet de la poste faisant foi.
• Constitution du dossier et expédition
Dossier complet de présentation de l’action avec pièces justificatives à renvoyer par courrier et par mail avant le 15 avril 23h59 à : Le Refuge – Concours Le Refuge Institut Randstad 2015 – 75 Place d’Acadie – 34000 Montpellier / concours@le-refuge.org
• Dossier de candidature et règlement
A télécharger sur www.le-refuge.org • Infos : 09 54 92 60 66 • concours@le-refuge.org
Communiqué en téléchargement.
Contacts presse
LE REFUGE : Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
GROUPE RANDSTAD FRANCE : Sébastien Buffet – 01 41 62 22 10 – 06 01 35 25 39.
 

Un condamné au locked-in syndrome s’est échappé

Victime d’un double AVC à 42 ans, Christophe Merlier a vécu 10 jours sans pouvoir ni parler ni bouger, enfermé dans son corps comme dans une camisole de force. Il est l’un des rares rescapés du locked-in syndrome (ou syndrome d’enfermement), vit à Nîmes en autonomie et a consacré le dernier volet de sa biographie à ce terrible accident de la vie. Pour dire à sa fille qui il est. Pour témoigner qu’il est possible de revivre après un AVC et participer à la prévention. Pour sensibiliser enfin au combat de l’association ALIS créée par Jean-Dominique Bauby (auteur Le Scaphandre et le Papillon), à laquelle il souhaite reverser les bénéfices des ventes de son récit. Voyage en AVC vient de paraître aux éditions La féria des mots, version modifiée de l’ouvrage La ligne de vie sorti en 2011.
Une échappée belle exceptionnelle
« J’ai survécu à une tempête dans l’Atlantique, un braquage en Colombie, au serpents, aux maladies amazoniennes, à la mafia chinoise, à un AVC, un tremblement de terre… » Christophe Merlier a parcouru le monde pour échapper à un destin tout tracé, la reprise de l’entreprise familiale de maçonnerie. Jusqu’à cet AVC qui le frappe en Corse. Autre voyage qui lui permet aujourd’hui de savourer la vie au lieu de la « traverser bêtement en courant ». Christophe est conscient du privilège qu’il a d’être libre à nouveau. Car son cas est exceptionnel selon son médecin le Dr Frédéric Pellas, responsable de l’unité cérébro-lésés du CHU de Nîmes et l’un des médecins référents au locked-in syndrome en France. En effet, le LIS est un état neurologique rare souvent consécutif à un accident vasculaire cérébral détruisant le tronc cérébral, nœud de communication entre le cerveau et la motricité. La rééducation entraîne certes des progrès, mais minimes ou partiels, et peu de patients retrouvent la parole et l’autonomie comme Christophe.
 

Voyage en AVC – Chris
Éditions La féria des mots, décembre 2014.
220 pages – 15 euros.
Prix du Récit de l’Académie du Béarn
et La Renaissance Aquitaine.
Chapitre sur l’AVC en consultation libre
sur www.feriadesmots.com,
« afin de sensibiliser les proches des patients
sur ce que peut être un locked-in syndrome vu de l’intérieur ».
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Contact presse : Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
 

Émilie Millet présidera la JCE de Montpellier en 2015

L’assemblée générale de la Jeune Chambre Économique de Montpellier du 18 décembre 2014 a élu le Bureau 2015 de l’association. Émilie Millet succède à Michel Cance à la présidence. Elle sera entourée d’Émilien Lauret au secrétariat général, de Victor Fournier à la trésorerie et de trois vice-présidents : Sandrine Gagneux Gil aux programmes, François Girault à la formation et Blandine Barrier à la communication (assistée d’Amélie Unal, chargée de mission). La nouvelle équipe a inscrit à son programme un projet sur le thème de l’emploi et plusieurs actions de promotion de l’économie circulaire. Elle souhaite aussi finaliser « Osez citoyens », action de valorisation du bénévolat chez les jeunes lancée en 2013 et renouveler sa participation à l’opération nationale « Parlementreprise » et aux Prix de la TPE. La JCEM travaillera enfin à la mise en ligne d’un nouveau site Internet.
Émilie Millet, 32 ans, est née à Carcassonne. Elle quitte l’Aude pour le Pays angevin en 1993. Licenciée en Sciences de l’éducation à l’université de Nantes en 2004, elle entre à l’École Normale Sociale de l’Ouest pour une formation d’éducatrice de jeunes enfants et obtient son diplôme d’État en décembre 2006. De retour en Languedoc-Roussillon en janvier 2007, elle travaille pour le CCAS de Lattes au sein des établissements d’accueil de jeunes enfants, puis pour la mairie de Lunel au poste de directrice adjointe du multi-accueil « Le manège enchanté ». Elle reprend ses études en 2010 en Master Intermédiation et développement social et effectue des missions pour l’association « Grandir en Languedoc-Roussillon », puis au sein de l’Agence Régionale de la Santé (ARS) avant d’être nommée directrice adjointe d’une crèche montpelliéraine. Elle est aujourd’hui en phase de création d’entreprise : éducatrice de jeunes enfants libérale, elle proposera des services d’accompagnement à la parentalité et de formation pour les professionnels de la petite enfance.

Le Bureau 2015 de la Jeune Chambre Économique de Montpellier

À propos de la JCE-JCI
Créée en 1960, la JCE de Montpellier est affiliée à la Jeune Chambre Économique Française et à la Junior Chamber International (JCI). Âgés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCI se forment au leadership et réalisent des actions concrètes dans différents domaines dont l’économie, l’emploi, la préservation de la planète, la solidarité et l’aménagement du territoire.
Contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
 

Des patrons s’engagent contre l’homophobie

Cinq dirigeants d’entreprises soutiennent, dans un clip vidéo, le Fonds de dotation contre l’homophobie et la transphobie officiellement lancé le 18 décembre 2014 par Nicolas Noguier, président du Refuge et Véronique Lesage, présidente du FDCHT.
Des dirigeants ou directeurs de la communication de grandes entreprises ont fait le choix de s’engager auprès du Fonds de dotation contre l’homophobie et la transphobie (FDCHT) lancé cette année par des administrateurs du Refuge. Lamine Gharbi, président de la Fédération de l’Hospitalisation Privée, Abdel Aïssou, directeur général du groupe Randstad France, Frédéric Fougerat, directeur de la communication du groupe Altran et Patrick Brothier, président d’Adrea Mutuelle ont officiellement affiché leur engagement lors d’un petit-déjeuner organisé au siège social de la FHP à Paris le 18 décembre 2014. Véronique Lesage, présidente du FDCHT, a également remercié Agathe Albertini, directeur de la communication de JCDecaux, pour sa participation au clip vidéo de promotion du Fonds. Elle a annoncé le soutien du groupe aufeminin et de Jean-Jacques Augier, éditeur, chef d’entreprises et directeur de publication de Têtu.

Un engagement et un rôle social essentiels
Ensemble, cinq de ces responsables font la promotion du Fonds de dotation contre l’homophobie et la transphobie dans un clip réalisé par Pascal Petit (Zipcom). Pour eux, l’engagement est essentiel. Dans ce clip, ils s’adressent à d’autres entreprises pour les convaincre d’alimenter ce Fonds, leur rappelant ainsi qu’elles font partie du maillage complexe de la société et qu’elles ne peuvent s’en extraire : « La mission de l’entreprise, raconte Frédéric Fougerat, c’est le business. Ça ne lui interdit pas d’avoir un rôle social. Certaines entreprises veulent jouer un rôle social plus important que d’autres. » Une vision partagée par Patrick Brothier : « Nous, mutuelles, avons des valeurs d’humanisme, de tolérance et il me parait naturel d’être aux côtés d’associations comme le Refuge. » Pour Lamine Gharbi, c’est évident : « C’est un débat de santé publique, il y a maltraitance. Des adolescents sont victimes et souffrent. »
L’argent et les convictions pour diminuer la souffrance
Qui, mieux qu’une entreprise, peut participer à cet effort en faveur des jeunes victimes de maltraitance ? « L’argent, c’est le nerf de la guerre, explique Frédéric Fougerat. On a envie d’aider ces jeunes. Ils ne l’ont pas été par leurs familles, il faut bien que d’autres le fassent ! » Abdel Aïssou est du même avis mais précise que l’argent ne suffit pas :  » Il faut de l’argent bien sûr. Mais, tout aussi important, il faut des convictions. » Et il ajoute : « Donner au Fonds va permettre d’accueillir davantage de jeunes, de faire diminuer la souffrance et de recréer du lien social. » Agathe Albertini souligne elle aussi la valeur de l’engagement, de la conviction de l’entreprise : « Donner au Fonds, c’est faire preuve de tolérance, et c’est l’afficher ». Lamine Gharbi s’adresse, lui, à ses collègues chefs d’entreprises sensibles à la cause du Refuge, donateurs potentiels : « Il faut les aider parce que ce n’est pas facile. On manque tous de moyens. Surtout, on a tous tendance à dire : ce n’est pas moi, c’est l’autre ! »
Aider les projets du Refuge et d’autres associations
Le Fonds de dotation contre l’homophobie et la transphobie permettra de valoriser le mécénat d’entreprises. « D’autres associations ont déjà créé un tel dispositif, explique Nicolas Noguier, président du Refuge. Je citerais pour exemple la Banque Alimentaire ou AIDES… Le FDCHT a pour vocation d’accompagner des projets d’aide aux jeunes victimes d’homophobie, qu’ils émanent du Refuge ou de toute association susceptible de signer une convention avec lui. »
Une campagne télévisée et Internet
Pascal Petit (Zipcom) a réalisé un clip en deux formats pour assurer la promotion du Fonds : un court (30″) pour la télévision et un long (4′) pour Internet. La diffusion gracieuse du spot de 30’’ a débuté le 18 décembre à midi sur toutes les antennes TV du groupe BFM : BFM TV, BFM Business, RMC Découvertes, mais aussi sur les radios RMC et BFM radio. Le planning de diffusion prévoit une multidiffusion entre le 18 et le 31 décembre 2014 (80 passages en télévision et 50 passages en radio).

 
à propos du RefugeLe Refuge est la seule association de lutte contre l’homophobie reconnue d’utilité publique et l’unique structure en France, conventionnée par l’Etat, à proposer un hébergement temporaire et un accompagnement social, médical et  psychologique aux jeunes majeurs, filles et garçons, victimes d’homophobie ou de transphobie. L’association compte 7 délégations – Montpellier, Paris, Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, St Denis de la Réunion – et 5 antennes : Bordeaux, Perpignan, Avignon, Corse, Strasbourg. Elle dispose de 57 places d’hébergement. Elle enregistre près de 3000 adhérents fin novembre 2014. En 2013, plus de 1000 jeunes entre 18 et 25 ans on été chassés de chez eux, rejetés par leurs parents.
Qu’est-ce qu’un Fonds de dotation ?Le fonds de dotation, doté de la personnalité juridique, est constitué d’une allocation irrévocable de biens pour la réalisation d’une mission ou d’une œuvre d’intérêt général. Il collecte des fonds d’origine privé, qu’il peut soit constituer en dotation dont il utilise  les fruits, soit consommer pour accomplir sa mission. Il peut mener lui-même cette mission, ou financer un autre organisme d’intérêt général  pour son accomplissement. Le fonds de dotation bénéficie du régime fiscal du mécénat.
Source : http://www.economie.gouv.fr/daj/fonds-dotation
Présidente FDCHT : Véronique Lesage.
Contact presse FDCHT : Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
 

Carlos Mésias présidera la Fédération des JCE du Languedoc-Roussillon en 2015

Le Montpelliérain Carlos Mésias vient d’être élu président 2015 de la Fédération des Jeunes Chambres Économiques du Languedoc-Roussillon. L’assemblée générale régionale, qui se tenait à Sète samedi 6 décembre dernier, a aussi vu l’élection de Christophe Rigaud Bonnet (Carcassonne) au secrétariat général, de Nicolas Guyonnet (Sète) à la trésorerie et de cinq vice-présidents : Ludivine Calvet (Béziers) à la communication, Sébastien Duclos (Béziers) aux partenariats, Sandrine Chanudet (Bagnols/Cèze) aux programmes, Cyril Pardo-Vergely (Nîmes) à la formation et Gwendoline Lefebvre (Montpellier) en charge des thèmes « économie circulaire » et « Prix de la TPE ».
Ingénieur en génie civil diplômé de l’Institut des techniques de la construction et des travaux publics (ITCBTP – Montpellier), Carlos Mésias dirige l’établissement Bouygues Énergies Services de Saint-Gely-du-Fesc. Il a commencé sa carrière professionnelle en 2001 chez Bouygues Énergies Services à Saint-Étienne puis dans les Hauts Cantons de l’Hérault jusqu’en 2007.
De retour sur Montpellier, Carlos Mésias a intégré la JCE afin de renouer avec le tissu économique local : « J’ai vite compris que la JCE, avant d’être un réseau professionnel, est un mouvement de jeunes actifs de tous bords qui s’investissent pour leur territoire. J’y ai trouvé une grande bouffée d’oxygène. » Carlos Mésias a présidé la Jeune Chambre Économique de Montpellier en 2013 avant d’assurer la vice-présidence partenariats de la Fédération régionale des JCE en 2014. Il est âgé de 36 ans.
À propos de la JCE-JCI
La Fédération régionale des JCE est constituée des structures locales de Bagnols-sur-Cèze, Nîmes, Montpellier, Sète, Béziers, Carcassonne et Perpignan et compte une centaine de membres actifs. La JCE d’Alès et Cévennes est en cours de re-création. Les JCE locales sont affiliées à la Jeune Chambre Économique Française et à la Junior Chamber International (JCI). Âgés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCI se forment au leadership et réalisent des actions concrètes dans différents domaines dont l’économie, l’emploi, la préservation de la planète, la solidarité et l’aménagement du territoire.

De gauche à droite : Ludivine Calvet, Sébastien Duclos, Carlos Mésias, Cyril Pardo-Vergely, Sandrine Chanudet et Gwendoline Lefebvre. Au premier plan : Christophe Rigaud Bonnet et Nicolas Guyonnet - © Ph. Ferrer

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contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
 

Des patrons s'engagent contre l'homophobie le 18 décembre

Invitation Presse

Fonds de dotation contre l’homophobie et la transphobie : des patrons s’engagent !

Nicolas Noguier, président du Refuge,
Véronique Lesage, présidente du FDCHT,
vous prient de bien vouloir assister, le 18 décembre 2014, au petit-déjeuner destiné à annoncer
le soutien de 5 dirigeants d’entreprises au FDCHT – Fonds de Dotation Contre l’Homophobie et la Transphobie, créé par le Refuge en 2014.
En présence notamment de :
• M. Lamine Gharbi,
Président de la Fédération de l’Hospitalisation Privée
• M. Abdel Aïssou,
Directeur général du groupe Randstad France
• M. Frédéric Fougerat
Directeur de la communication du groupe Altran
• M. Pascal Petit
Réalisateur des clips de promotion de cette initiative (zipcom.fr)
Petit-déjeuner jeudi 18 décembre 2014
9h00 – 10h15
Fédération de l’Hospitalisation Privée
accueil à 8h45
106 rue d’Amsterdam
75009 Paris
Métros 2 et 13, Place de Clichy
Merci de bien vouloir confirmer votre participation à Karine Baudoin
par mail
• par tél. : 04 67 40 36 77 / 06 30 08 42 14.
Téléchargez l’invitation presse.
 

Premier Business Happy Hour de la JCE d’Alès

La Jeune Chambre Économique d’Alès Cévennes en formation invite les jeunes actifs de l’agglomération à assister à son premier « Business Happy Hour » jeudi 4 décembre de 18h45 à 20h45 au pub Au Bureau. L’association, en pleine renaissance sur Alès, souhaite profiter de ce moment convivial pour présenter le mouvement Jeune Chambre Économique aux participants. Pour cela, elle a invité le président des JCE du Languedoc-Roussillon Ludovic Mure à exposer les principaux objectifs du réseau et ses actions au service du développement du territoire. Dans un second temps, la coach personnelle Laurence Bailleul présentera sa profession.

Quelques bonnes raisons pour participer au « Business Happy Hour » de la JCE :
• Découvrir la Jeune Chambre Économique
• Développer son réseau
• Rencontrer de futurs employeurs ou collaborateurs
• Donner de la visibilité à son projet professionnel ou à son entreprise
• Partager ses idées avec des professionnels
• Passer un moment convivial…
à propos de la JCE
La Jeune Chambre Économique Française est membre de l’ONG Junior Chamber International (JCI), organisation de jeunes citoyens responsables et solidaires qui œuvrent pour favoriser le développement de leurs cités et territoires dans plus de 100 pays. Âgés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCE-JCI réalisent des actions concrètes dans tous les domaines : économique, social, humanitaire, culturel… Ainsi formés à la prise de responsabilités, ils agissent pour une société meilleure.
Entrée Libre
Pub Au Bureau – 8 Place Gabriel Péri – Alès.
contact presse : Florent Pienkowski – 07 78 17 75 21.
 

La JCE de Sète et Bassin de Thau fête ses 60 ans en congrès régional

La Jeune Chambre Économique de Sète et Bassin de Thau célèbrera 60 ans d’actions citoyennes samedi 6 décembre prochain en organisant le Congrès régional des JCE du Languedoc-Roussillon. Créée en 1954, l’association fait partie des 10 plus anciennes JCE locales en France.
La JCE de Sète et Bassin de Thau fêtera ses 60 ans lors d’une soirée de gala au Théâtre de la Mer samedi 6 décembre prochain, en clôture du congrès régional des JCE. Créée deux ans seulement après la JCE Française, Sète fait partie des 10 premières JCE locales fondées dans l’hexagone. Dans les années 70, elle a contribué, comme d’autres Jeunes Chambres, à la diffusion de la récupération du verre en containers, et a travaillé sur des projets d’aménagement du territoire. En 1999, elle a reçu un Prix mondial pour son action de coopération menée en partenariat avec la JCE de Ouagadougou, l’implantation de pompes à eau au Burkina Faso. Les amoureux de la Grande Bleue se souviennent des différentes éditions du Salon de la Mer qui a animé le môle et valorisé les métiers de la pêche et du nautisme dans les années 90. L’an passé, la JCE a conçu et édité un Monopoly® pour faire la promotion du Pays de Thau.
La JCE de Sète accueillera, à partir du vendredi 5 décembre au soir, les représentants des Jeunes Chambres Économiques de Perpignan, Carcassonne, Béziers, Montpellier, Nîmes et Bagnols-sur-Cèze. Reçues au Centre de Formation des Apprentis de Sète, les 7 JCE locales dresseront le bilan de leurs actions menées durant l’année et éliront le Bureau régional 2015. Le Nîmois Ludovic Mure, président régional 2014, devrait passer la main à Carlos Mésias (JCE Montpellier), prétendant à sa succession à la tête de la Fédération. Le Sétois Nicolas Guyonnet est candidat au poste de Trésorier régional. Les membres des JCE pourront aussi suivre des formations de développement personnel et professionnel. Un jury interne récompensera les meilleures actions citoyennes et économiques de l’année, ainsi que les membres les plus remarquables.

La JCE de Sète et la Fédération régionale sur scène à Cannes pour recevoir le Prix mondial JCI - novembre 1999

à propos de la JCE-JCI
La Jeune Chambre Économique (JCE) ou Junior Chamber International (JCI) est une organisation de jeunes citoyens responsables et solidaires acteurs du développement de leurs territoires. Âgés de 18 à 40 ans, issus de tous horizons professionnels, les membres JCI mènent des actions concrètes dans tous les domaines : économique, social, environnemental… Ainsi formés à la prise de responsabilités, ils agissent pour une société meilleure • www.jce-sete.com
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Contacts presse :
• Isabelle Verrier, présidente 2014, 06 21 95 43 50.
• Karine Baudoin, sénatrice JCI, 06 30 08 42 14.