La Jeune Chambre Économique de Montpellier a lancé en septembre une action de valorisation du bénévolat chez les jeunes de moins de 25 ans en mettant à l’honneur celles et ceux qui s’investissent activement. Les jeunes bénévoles qui souhaitent mettre en avant leur engagement, l’association qu’ils soutiennent et la cause qu’ils défendent peuvent encore s’inscrire sur le site www.osez-citoyens.fr jusqu’au 30 novembre. La JCE a déjà pré-sélectionné une douzaine de profils. Les jeunes gens les plus remarquables verront leurs portraits affichés dans la Ville de Montpellier.
Une conférence début 2014
L’action « Osez Citoyens » a pour objectif de promouvoir le monde associatif local auprès des jeunes car ces derniers sont moins disponibles que leurs aînés, alors que les besoins des associations sont croissants. Pourtant, les bénéfices personnels et professionnels du bénévolat sont importants. Selon une enquête Afev, la majorité des recruteurs considère en effet que les anciens bénévoles étudiants s’intègrent plus vite en raison de ce qu’ils ont appris sur le terrain associatif. La JCE réunira des chefs d’entreprise, des professionnels des ressources humaines et des jeunes pour en débattre le 29 janvier 2014 à Montpellier.
à propos de la JCE-JCI
La Jeune Chambre Économique de Montpellier est membre de l’ONG Junior Chamber International (JCI), organisation de jeunes citoyens responsables et solidaires qui œuvrent pour favoriser le développement de leurs cités et territoires dans plus de 100 pays. Âgés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCI réalisent des actions concrètes dans tous les domaines : économique, social, humanitaire, culturel… Ainsi formés à la prise de responsabilités, ils agissent pour une société meilleure.
Contacts presse :
• Emilie MILLET, Directrice du projet Osez Citoyens, 06 84 61 47 10.
• Carlos MESIAS, Président de la JCE, 06 64 47 92 77.
Le Refuge fait ses gammes avec Alexandre Tharaud
Le pianiste Alexandre Tharaud inaugurera un piano offert au Refuge par le plasticien Romain Thomazeau mardi 5 novembre prochain, à 15h30, dans les locaux parisiens de l’association de lutte contre l’homophobie et la transphobie.
Le Refuge fait partie des acteurs de la vie locale et de l’intérêt général bénéficiaires de l’opération « PLAY ME I’M YOURS © des pianos dans Paris » qui s’est déroulée cet été. Les rues, lieux touristiques et quartiers populaires de la capitale ont en effet accueilli une cinquantaine de pianos décorés par des artistes plasticiens et mis à disposition du public.
Nicolas Noguier, président du Refuge, remercie les organisateurs de cet événement et l’artiste Romain Thomazeau pour leur don qui va permettre à l’association de proposer de nouvelles activités culturelles aux jeunes qu’elle accueille : « La culture fait partie intégrante de notre accompagnement social. »
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L’ISCOM Montpellier forme des Responsables de communication BAC+4
76 étudiants de 4e année viennent de faire leur rentrée à l’ISCOM Montpellier. L’école supérieure de communication et publicité du Grand Sud, qui proposait déjà une 4e année option internationale, étoffe ses programmes et prépare désormais au titre de Responsable de communication, titre certifié par l’État, niveau II (équivalent BAC+4).
Vision stratégique et maîtrise opérationnelle de la fonction communication
L’ISCOM Montpellier forme ses étudiants de 4e année aux dimensions managériale et stratégique du poste de Responsable communication. Les enseignements de tronc commun traitent des problématiques actuelles des entreprises : communication de crise, communication corporate, RSE et communication responsable, management de la communication numérique, communication internationale. Les secteurs spécifiques du métier font l’objet d’enseignements électifs : communications culturelle, publique, politique, interculturelle, etc. Les étudiants participent aussi à des compétitions régulières basées sur des cas réels d’entreprises, en fonction de la spécialisation métier qu’ils ont choisie en 3e année : Communication globale des entreprises et des marques (COMAL), Marketing Publicité (MARKET PUB), Relations publiques, presse et événementiel (REP). Enfin, ils concrétisent leur projet professionnel dans un stage de fin d’études de 6 mois, et par le choix de leur sujet de mémoire.
L’ISCOM Montpellier a été la première école du Groupe ISCOM à proposer une option internationale aux étudiants de 4e année, en partenariat avec l’Université américaine de Winthrop, Rock Hill, Caroline du Sud. Depuis 2003, les Iscomiens peuvent ainsi préparer un Bachelor of Science in Integrated Marketing Communication (IMCO) en quatre semestres : un à l’ISCOM Montpellier, trois à Winthrop University. Ce diplôme américain, équivalent du Master 1 européen, favorise l’accès à des carrières en communication commerciale et corporate à l’international. Il permet aussi de préparer un MBA aux États-Unis.
L’ISCOM MONTPELLIER
L’école supérieure de communication et publicité du Grand Sud accueille 300 étudiants en 2013, encadrés par une soixantaine d’intervenants professionnels et de formateurs. Elle dispose d’un réseau de 1500 anciens étudiants. Chaque année, plus de 250 entreprises, médias et agences accueillent ses étudiants en stage, leur confient des missions de micro-agence et des actions professionnelles.
Contact presse : Claudine PUYAU, Directrice des études – 06 72 81 25 36.
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Brisons l’omerta sur le clitoris, pour le plaisir !
Les éditions H&O publient le 15 novembre La fabuleuse histoire du clitoris de Jean-Claude Piquard. Le sexologue nous livre, dans un langage accessible, l’histoire mouvementée et passionnante de l’organe épicentre du plaisir féminin. Il explique le rôle qu’ont joué entre autres les Églises, le natalisme et le freudisme dans notre méconnaissance actuelle du clitoris. Jean-Claude Piquard célèbre enfin le corps féminin, ses plaisirs et sa liberté réappropriés.
Le sexologue Jean-Claude Piquard répond à cette question en retraçant les représentations successives du clitoris et sa place dans la sexualité depuis l’Antiquité. Reconnu à cette époque pour sa forte implication dans le plaisir féminin, le clitoris n’est redécouvert par la médecine qu’au 17e siècle, après la période de puritanisme qui marque la fin de la Renaissance. La pudibonderie revient avec les Lumières qui condamnent la masturbation, même si les libertins célèbrent l’orgasme clitoridien. Le 19e siècle est plus strict encore, en particulier dans les pays protestants. Surtout, on pratique alors l’excision « thérapeutique », véritable castration féminine. Le vibromasseur apparaît à la fin du siècle, destiné à «libérer les humeurs ». Le clitoris commence sa descente aux enfers après que le corps médical et l’Eglise aient rappelé qu’il ne contribuait pas à la procréation. On doit « l’excision psychique » du clitoris à Freud, aussi inventeur de l’orgasme vaginal, au début du 20e siècle. L’obscurantisme médical atteint son apogée dans les livres grand public dans les années 60.
Nous sommes toujours, aujourd’hui, sous l’influence de la « grande vague puritaine du 20e siècle ». Jean-Claude Piquard brise l’omerta. Il nous invite à redécouvrir notre corps et les plaisirs sexuels, « à réintégrer la vulve et le clitoris dans notre culture, pour le bonheur de toutes ».
Jean-Claude Piquard
Né en 1952 à Argenteuil, Jean-Claude Piquard est installé dans la région montpelliéraine à Assas. Sexologue clinicien diplômé de la faculté de médecine de Montpellier, ergothérapeute, il a publié Les deux extases sexuelles, la jouissance et l’orgasme aux Presses Libres en 2006.
La fabuleuse histoire du clitoris est parue en mai 2012 aux éditions Blanche avant d’être rééditée en 2013 par H&O dans sa collection H&O au Féminin.
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Fréquentation et ventes record aux 20e Finales d’endurance d'Uzès
Les Finales nationales d’endurance de jeunes chevaux de la Société Hippique Française ont battu un record de fréquentation pour leur 20e édition à Uzès : 700 chevaux et 2300 participants professionnels présents sur le Haras national du 10 au 13 octobre. Les Finales nationales des 5 ans ont fait sensation dimanche, en clôture de la manifestation : 319 concurrents se sont élancés sur les pistes encombrées de brume au petit matin. Un record absolu pour l’épreuve et un record mondial pour ce type de course d’endurance. Les Finales interrégionales des 4 ans ont doublé leur effectif par rapport à 2012 avec 129 inscrits.
Les chevaux d’endurance ont la cote et la Grande Semaine d’Uzès en apporte une nouvelle fois la preuve. L’élite des jeunes chevaux a séduit les acheteurs internationaux fidèles à l’événement, écuries du Golfe Persique en tête. Les courtiers français travaillant pour elles ont laissé filtrer quelques informations sur des ventes souvent confidentielles. Les réservations et les ventes fermes sont à la hausse, estimées à une centaine de chevaux soit 14% de l’effectif des Finales (contre 10% l’an passé). Les prix sont stables, de 15.000 à 50.000 euros selon l’âge, l’origine, le modèle et les performances des chevaux. « Les 5 ans sont très prisés, précise le courtier Stéphane Chazel. Le lot est particulièrement relevé cette année. Les acheteurs se tournent aussi de plus en plus vers les 4 ans. » Guillaume de Thoré, Directeur adjoint de la Société Hippique Française, voit dans l’intérêt des acquéreurs pour ces plus jeunes chevaux le signe d’une dynamique commerciale porteuse : « La France détient le leadership sur l’endurance, tant en matière de qualité de chevaux et d’élevage que de performances. Les récentes médailles internationales en témoignent. » Les acquéreurs se sont tout de même disputé les meilleurs 6 ans, allant jusqu’à acheter des chevaux en pleine Finale et à demander au cavalier d’abréger l’épreuve et de ramener sa monture au box…
La Grande Semaine d’Uzès prête à monter en puissance
Les professionnels présents pour la 20e édition des Finales nationales d’endurance à Uzès sont unanimes : les organisateurs ont su gérer l’affluence record de participants de main de maître. Tous s’accordent sur la fluidité des contrôles bien planifiés et sur la circulation aisée des chevaux sur le site du Haras national. La Société Hippique d’Uzès et l’IFCE s’interrogent cependant sur leur capacité à recevoir toujours plus de chevaux pour cet événement qui incarne et dynamise l’endurance aux niveaux national et international. La Société Hippique Française s’apprête donc à lancer une réflexion sur le développement des Finales nationales, l’évolution de la réglementation et la création de nouveaux formats d’épreuve. Yvon Chauvin, président de la SHF, réunit d’ailleurs son Comité exécutif ce lundi au Haras d’Uzès, preuve du poids de l’endurance dans l’équitation française et de la renommée croissante de la Grande Semaine d’Uzès.
Joël Abati, conseiller régional, en visite sur les Finales nationales d'endurance à Uzès
communiqué SHF – samedi 12 octobre 2013 – 16h
La Société Hippique Française, la Société Hippique d’Uzès et l’IFCE ont reçu ce midi la visite du Conseiller régional Joël Abati. Les organisateurs des Finales nationales de jeunes chevaux d’endurance SHF ont fait découvrir la deuxième discipline équestre française à l’élu en charge du sport en Languedoc-Roussillon. Ils ont ensemble parcouru le site du haras national qui accueille la manifestation : cour d’honneur destinée aux trotting des jeunes chevaux, espace exposants, village des éleveurs, boxes des concurrents… Les parkings saturés témoignent, selon Antonio Nogueira, président de la SHU, du succès grandissant de la Grande Semaine d’Uzès et du besoin impérieux d’augmenter la capacité d’accueil de la manifestation. Yves Chauvin, président de la SHF, souligne l’intérêt porté par Joël Abati à la discipline et à cet événement de renommée internationale : « Nous apprécions de rencontrer un élu sensible à notre problématique et désireux de connaître et comprendre l’endurance. » De son côté, Joël Abati étudiera les propositions à venir de la filière pour mieux accompagner le développement de l’endurance en région et les Finales nationales de la SHF.
Le Languedoc-Roussillon au rythme de l’endurance
Berceau de la discipline, le Languedoc-Roussillon est une grande région d’élevage de chevaux d’endurance. Si la filière équine pèse économiquement, la Grande Semaine d’Uzès a elle aussi des retombées positives sur son territoire et à l’échelle régionale. Pour les déterminer avec précision, l’Institut Français du Cheval et de l’Équitation, la SHF et la SHU lancent une étude d’impact économique, social et environnemental des Finales à l’échelle de la Communauté de communes du Pays d’Uzès et de la Région Languedoc-Roussillon. Menée avec le concours de l’INRA, l’enquête a démarré à l’ouverture des Finales et se poursuivra les jours suivant l’événement. Les résultats seront dévoilés en décembre.
Uzès – Sept Élite pour la Finale des 6 ans vitesse libre
Communiqué SHF – 12 octobre 2013 -10h00
Les premiers départs ont eu lieu de nuit, dans le froid (5°C). L’épreuve s’est ensuite déroulée sous un franc soleil, sur des pistes assouplies par les pluies des jours précédents. La température matinale glaciale explique sans doute le nombre important de crampes des montures et, par conséquent, le pourcentage de chevaux non classés (40%).
Au final, 7 chevaux se sont classés « élite », 38 « excellent ». Marion Rohaut a réalisé le meilleur temps sur Aigoual Denia avec 5h02mn49. Le Gardois Florent Stella, champion de France 2009 sur 130km, se classe 4e sur Fayam d’Ayres.
La Grande Semaine d'Uzès s'ouvre sur une participation record de jeunes chevaux
Communiqué SHF – Vendredi 11 octobre 2012 – 15h
La centaine de bénévoles de la Société Hippique d’Uzès était sur le pied de guerre hier pour accueillir les 714 jeunes chevaux et plus de 2000 cavaliers et accompagnants inscrits aux Finales nationales d’endurance de la Société Hippique Française. Un record puisque la manifestation enregistrait ces deux dernières années une participation moyenne de 600 chevaux.
Les organisateurs ont donné une tonalité particulière à l’événement pour sa 20e édition en installant un écran géant dans la cour d’honneur du haras et une série d’écrans relais sous les principaux chapiteaux. Le grand public et les acheteurs potentiels peuvent ainsi ne rien manquer des présentations des champions lors des contrôles vétérinaires précédant les épreuves et lors des remises des prix. Ils peuvent aussi assister en léger différé aux évolutions des compétiteurs sur les pistes du duché d’Uzès.
La vidéo, nouvel outil commercial testé à Uzès
Le travail de fond de la Société Hippique Française, relayé localement par la Société Hippique d’Uzès, a assis la crédibilité de la Grande Semaine d’Uzès à l’international depuis de nombreuses années. Les représentants des écuries du Golfe persique sont de nouveau en repérage ce week-end sur l’un des plus grands rassemblements de jeunes chevaux d’endurance au monde.
Pour faciliter le commerce des jeunes chevaux, la SHF inaugure cette année un système de retransmission vidéo des trotting des 5 et 6 ans à destination des acquéreurs absents de la manifestation. Ils peuvent ainsi apprécier l’allure des pur-sang derrière leur écran d’ordinateur, connectés au site canalshf.eu et échanger sur les chevaux avec leurs courtiers sur place. Ces vidéos complètent le catalogue des chevaux à la vente de la SHF, qui dispose donc d’une riche base de données pour les futures ventes. Outil indispensable aux transactions commerciales pour la plupart des disciplines équestres, la vidéo est testée pour la première fois dans l’endurance.
Le Refuge signe un ouvrage sur la prise en charge sociale des victimes d’homophobie
Le Refuge publie aux éditions ASH le premier ouvrage du genre consacré au « travail social auprès des victimes d’homophobie ». Son auteur Frédéric Gal, directeur général de l’association, propose aux professionnels et bénévoles du secteur social, souvent démunis face à la complexité des situations rencontrées, des solutions concrètes pour améliorer la prise en charge des jeunes homosexuels.
L’homosexualité, sujet tabou en travail social
La thématique de la sexualité est une composante importante de la construction identitaire des jeunes. Le travail social l’aborde néanmoins de façon superficielle et fait l’impasse sur un sujet plus tabou encore, l’homosexualité. Pourtant, les conséquences de l’homophobie sur les jeunes victimes sont dévastatrices : dépression, comportements à risques (addictions, prostitution notamment), suicide. Elles représentent un vrai frein à leur accompagnement social. « Les travailleurs sociaux souffrent d’un manque de formation spécifique, témoigne Frédéric Gal. Avec cet ouvrage, nous souhaitons leur donner une vision différente de l’homosexualité, car c’est un sujet complexe, bien loin des caricatures populaires ! »
L’accompagnement social doit tenir compte des problématiques de l’homophobie
Les filles et garçons victimes d’homophobie et de transphobie ont besoin d’une prise en charge spécifique et d’un soutien rassurant et déculpabilisant. Dans Le travail social auprès des victimes d’homophobie, Frédéric Gal analyse les problématiques propres aux jeunes (recherche identitaire, difficultés à assumer son homosexualité, isolement, violences contre soi) et à l’homophobie (tabou sociétal et religieux, rejet de la part de l’entourage, etc.). Il rend ensuite compte des spécificités de leur accompagnement social, médical et psychologique. Il propose enfin des repères méthodologiques pour la prise en charge et la prévention de ces situations.
Le Refuge, une expérience sociale de terrain
Cette nouvelle publication des ASH se base sur l’expérience de l’association le Refuge qui, au-delà de l’accompagnement des jeunes qu’elle héberge, programme chaque année de nombreuses opérations de sensibilisation et de formation sur l’homophobie. Frédéric Gal intervient ainsi avec ses équipes auprès de lycéens. Partenaire de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, le Refuge réalise aussi des interventions éducatives collectives auprès de mineurs incarcérés et participe à des sessions de modules citoyens dans le cadre de mesures de réparation et de stages de citoyenneté. Le Refuge forme enfin des professionnels de la santé, du secteur social (ME, ES, ASS, CESF, EJE), de l’éducation et de l’insertion.
Éditions ASH Professionnels
144 pages – Prix 21,00 €
Parution fin octobre 2013.
Sommaire
1. L’homophobie : pourquoi, comment, quelles conséquences ?
2. Questionnement identitaire : vers une prise en charge sociale spécifique.
3. Les solutions apportées par le Refuge.
L’auteur :
Frédéric GAL est directeur général du Refuge, association reconnue d’utilité publique qui lutte depuis 10 ans contre l’isolement des jeunes homosexuels, transexuels et transgenres.
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Pour vos demandes de service presse :
Karine BAUDOIN – Le Refuge – 06 30 08 42 14.
Les meilleurs jeunes chevaux du monde se négocient à Uzès
Les Finales nationales de jeunes chevaux d’endurance enregistrent une participation record cette année : 700 chevaux réunis à Uzès. Les acheteurs du monde entier se presseront au Haras national pour négocier des pur-sang arabes d’exception.
La Grande Semaine d’Uzès accueille du 10 au 13 octobre les Finales nationales de jeunes chevaux d’endurance. Pour la 20e édition de cette manifestation, la Société Hippique Française, organisatrice de l’événement avec le soutien de la Société Hippique d’Uzès et de l’Institut Français du Cheval et de l’Équitation, attend 700 chevaux de 4 à 6 ans, 2000 cavaliers et accompagnants et 4000 visiteurs.
Uzès, place de marché incontournable des jeunes chevaux d’endurance
Les éleveurs français présents à Uzès cèdent environ 10% des chevaux en compétition, soit en 2012 un effectif de 50 à 70 pur-sang arabes vendus entre 15.000 et 40.000 euros. Les acheteurs sont en partie européens, en majorité originaires des pays du Golfe Persique, parfois représentés par des courtiers français travaillant à l’international. Ils ont suivi les résultats sportifs des chevaux sur les compétitions précédentes et ont établi une pré-sélection. À Uzès, ils négocient les prix avec les éleveurs, mais repèrent aussi des chevaux qu’ils n’avaient pas sélectionnés et qu’ils achèteront durant l’hiver. Cette intense activité commerciale à Uzès correspond à l’une des missions de la Société Hippique Française, Société-Mère du Jeune Cheval et Poney de Sport : soutenir le marché des chevaux de sport en France.
Vendre et faire bonne impression pour de futures transactions est essentiel pour les éleveurs présents à Uzès, en premier chef les exploitants du Languedoc-Roussillon. Les 1000 éleveurs de la région réalisent en effet un chiffre d’affaires annuel de plus de 17 millions d’euros dont la moitié provient de la vente de chevaux. Les élevages de chevaux d’endurance participent à la redynamisation des zones frappées par la déprise agricole en valorisant des espaces peu productifs. Confrontées à de lourdes charges, ces entreprises pratiquent souvent la pluriactivité : élevage, débourrage, enseignement, tourisme, organisation de concours…
Étude d’impact des Finales d’endurance : une première en France
Au-delà des transactions de chevaux, les Finales nationales d’endurance ont un impact important sur les plans économique et touristique. Pour la première fois dans l’endurance, l’Institut Français du Cheval et de l’Équitation, la SHF et la SHU lancent une étude d’impact économique, social et environnemental des Finales à l’échelle de la Communauté de communes du Pays d’Uzès et de la Région Languedoc-Roussillon. L’enquête sera menée avec le concours de l’INRA durant l’édition 2013 et les jours suivant l’événement. Les résultats seront dévoilés en décembre.
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Contacts presse :
• Karine BAUDOIN – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
• Benoît DURASNEL – 04 99 62 67 56 – 06 61 92 22 85.