Ma vie à contre-Coran : « J’ai vécu les prémisses d’une dictature islamiste… »

ESSAI / Ma vie à contre-Coran

Le 5 mai 2014, H&O et alterbooks publient en collection de poche Ma vie à contre-Coran de Djemila Benhabib. Salué par la critique à sa sortie au Québec en 2009, cet ouvrage a remporté le Prix des écrivains francophones d’Amérique. L’auteure livre dans ce premier essai son analyse de la montée de l’islamisme en Occident. Elle nous invite à partager sa jeunesse dans une Algérie où l’islam est religion d’État, son exil en France puis au Québec. Elle nous fait part surtout de sa détermination à défendre la laïcité et les droits des femmes, valeurs fondamentales de la démocratie, qui lui vaudra de recevoir le Prix international de la Laïcité en 2012 à Paris et le Prix humaniste 2014 au Québec.
Élections présidentielles en Algérie, débats sur la Charte des valeurs québécoises, désaccord des féministes en France sur le port du voile : celles et ceux qui se passionnent en 2014 pour l’actualité internationale et pour les droits humains trouveront, dans la réédition de Ma vie à contre-Coran, matière à réflexion et mises en perspective. Djemila Benhabib y mêle en effet son analyse et son combat contre l’intégrisme musulman à des éclats de vie, souvenirs d’une enfance algérienne entre douceurs et terreur, rencontres de féministes et d’intellectuels progressistes en France et au Québec…

336 pages • 9,90 € • distribution SODIS

« L’Algérie m’a donné la force »
En Algérie, Djemila Benhabib grandit au sein d’une famille de militants communistes, résistants au parti unique et aux pressions de l’islam politique. « Je m’arrêtais d’être une enfant » témoigne celle que l’école tente en vain de transformer en « soldat d’Allah ». Elle rappelle aussi l’instauration du Code de la Famille en 1984, inspiré par la charia et toujours en vigueur aujourd’hui malgré quelques aménagements, qui fait des Algériennes des sous-citoyennes. Des mouvements islamistes (MIA, FIS), légalisés par le gouvernement, sèment l’effroi, assassinent les amis démocrates. Jusqu’à cette condamnation à mort que la mère de Djemila trouve dans son casier d’universitaire en janvier 1994.
Pas d’angélisme face aux islamistes !
Dans Ma vie à contre-Coran, Djemila Benhabib démontre que l’islamisme politique, loin d’être l’expression d’une « spécificité culturelle », est une « affaire politique qui s’attaque aux fondements même de la démocratie en faisant la promotion d’une idéologie mysogine, raciste et homophobe ». À Londres, Rome ou Berlin, la stratégie des islamistes est basée sur l’aide humanitaire et sociale, l’assassinat politique et la victimisation. Elle note par exemple l’incapacité de la France à intégrer les habitants de ses cités à la vie citoyenne et dénonce « l’angélisme et la frilosité » d’une fraction de la gauche et du féminisme face aux dérives islamistes. Installée au Québec, elle prend part au débat sur la place du religieux dans la sphère publique. Fille de l’Orient et de l’Occident éprise de liberté, Djemila Benhabib revendique : « Ma communauté, c’est l’humanité toute entière. Ma religion, ce sont les Lumières ».
Deux éditeurs associés au nom des droits humains
Les éditions H&O (St Martin de Londres) ont déjà publié deux essais de Djemila Benhabib : Les soldats d’Allah à l’assaut de l’occident (2012) et L’automne des femmes arabes (2013). La sortie de Ma vie à contre-Coran inaugure l’association de H&O avec les éditions alterbooks (Montpellier) pour développer ensemble une collection d’ouvrages iconoclastes sur des questions de société : • Comment combattre l’émergence de nouveaux radicalismes religieux ? Comment défendre le vivre ensemble et la laïcité ? • Quelle place dans nos sociétés pour un renouveau féministe ? Et ailleurs dans le monde ? • Faut-il toujours plus de droits et d’égalité pour les minorités sexuelles ?

Documentation :
• téléchargez ce communiqué de presse en PDF
• consultez et téléchargez la biographie de Djemila Benhabib
• consultez l’histoire des éditions H&O, 15 ans d’existence.
demandez les visuels HD de l’essai et des photos de l’auteure.
Contact presse : Karine Baudoin – 04 67 40 36 77.
 

Discriminations liées à l’orientation sexuelle : les élus s’engagent, des freins subsistent.

Fin novembre 2013, le Refuge invitait les candidats aux élections municipales à répondre à un questionnaire relatif aux actions envisagées sur leurs territoires pour lutter contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle. Cette opération, réalisée en partenariat avec La Gazette des Communes, Le Courrier des Maires et l’Association des Petites Villes de France, a impliqué au total 151 candidats de 112 communes. Leur mobilisation et la teneur de leurs réponses montrent un intérêt positif pour la problématique des LGBTphobies, des initiatives parfois innovantes pour lutter contre les discriminations, mais aussi des réticences à sensibiliser la population.
Œuvrer en coopération avec les associations


« À travers les 151 réponses à notre questionnaire, la diversité des tendances politiques et des territoires représentés, nous constatons que la lutte contre les LGBTphobies intéresse une partie du monde politique local de façon positive ». Nicolas Noguier, président du Refuge, se déclare satisfait des retours de l’opération lancée par l’association du 3 décembre au 16 mars. L’analyse des réponses est en effet encourageante, tant par le nombre d’actions concrètes déjà réalisées que par le caractère innovant de certains projets. Surtout, les élus affichent leur volonté d’œuvrer en coopération avec le monde associatif, souvent en impliquant les citoyens à travers des instances comme les Conseils consultatifs ou des dispositifs d’éducation populaire. La participation citoyenne paraît être, pour nombre de candidats, une voie centrale pour lutter contre les LGBTphobies, malgré d’importants freins chez certains à la sensibilisation des populations.

Lutter contre les LGBTphobies : un oui de principe, et après ?
Les questions les plus consensuelles sont le principe de lutter contre les LGBTphobies (79%), l’incitation à porter plainte en cas d’agressions (72%) et la rencontre annuelle avec les associations (65%). D’autres thématiques, plus polémiques, souffrent d’un taux d’engagement plus bas : la formation du personnel (57%), la mise à disposition du public de matériel pédagogique (56%), la création de structures d’hébergement pour les jeunes LGBT chassés du domicile familial (48%), l’intégration des LGBTphobies comme thème du Conseil Municipal des Jeunes (45%), la création d’un poste d’adjoint délégué (41%), le financement pluriannuel des associations de lutte contre les LGBTphobies (41%) et la mise en place d’une campagne d’affichage pour sensibiliser les populations (38%).
« Les réticences s’expliquent en partie par l’effort financier nécessaire, mais pas seulement ! » commente la responsable de l’analyse de l’enquête pour le Refuge. « Nombre d’élus locaux, toutes tendances politiques confondues, ne souhaitent pas s’engager de façon trop visible aux yeux des populations. Ils préfèreront, par exemple, inclure les LGBTphobies dans des campagnes globales contre les discriminations. »

Des communes à la pointe de l’engagement
Bordeaux, Dijon, Grenoble, Lyon, Montpellier, Nantes, Paris, Strasbourg, Toulouse apparaissent comme les villes les plus engagées, par leurs actions concrètes, dans la lutte contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle. Certains candidats aux élections dans ces municipalités disent leur volonté de rester vigilants et d’aller plus loin dans leurs initiatives pour une société intégrant la pluralité des identités sexuelles ou de genre.
Enfin, trois candidats aux élections de Courbevoie et de Nîmes souhaitent renverser la tendance dans leurs villes respectives mal classée en 2013 par le Comité Idaho et le think & do tank République et Diversité. Pour Nicolas Noguier, « ces trois candidats illustrent bien l’ambivalence mise en avant par les résultats de ce questionnaire : un vrai mouvement d’engagement local, malgré de nombreux obstacles encore à franchir. »

Retrouvez l’ensemble des réponses des candidats, région par région, accessibles grâce à une carte interactive.
Contact presse : Karine BAUDOIN, Le Refuge, 06 30 08 42 14.

Un livre au bénéfice du Refuge : appel à soutien

Jeunes et écrivains contre les LGBTphobies

Le Refuge et les éditions Des ailes sur un tracteur ont lancé une souscription afin de soutenir la publication d’un recueil de textes rédigés par les jeunes du Refuge, accompagnés d’œuvres inédites d’écrivains sensibles aux LGBTphobies. Camille Laurens, Virginie Despentes, Annie Ernaux, Philippe Besson, Abdellah Taïa, Edouard Louis, Mathieu Simonet, Christophe Pellet, Joseph Macé-Scaron, Laurence Tardieu, Julien Thèves, Arnaud Catherine, Laurent Nunez ont rencontré les auteurs en herbe du Refuge au cours des ateliers d’écriture que l’écrivain Olivier Steiner a animés pendant plus de six mois dans les locaux parisiens de l’association. Le recueil comprendra enfin des textes d’internautes recueillis lors d’un appel à contributions des éditions Des ailes sur un tracteur.
Une souscription au bénéfice du Refuge
La souscription est en ligne sur la plateforme Ulule : http://fr.ulule.com/livre-refuge/ et fait l’objet d’un événement Facebook : https://www.facebook.com/events/632033073517660/La démarche est littéraire et caritative : tous les bénéfices issus de la vente du livre iront au Refuge. La souscription prend à la fois la forme d’une prévente et d’un soutien financier à la mise en place du projet d’édition, avec la possibilité de faire un don supplémentaire au Refuge. Les fonds ne seront débités que si la cagnotte de 2500€ est atteinte au 21 avril. Les éditions Des ailes sur un tracteur souhaitent publier ce livre à l’occasion de la Semaine nationale du Refuge, qui aura lieu du 13 au 19 mai 2014.
« Nous avons décidé d’utiliser le système qui nous a déjà permis de collecter des fonds pour SOS Homophobie et pour le Refuge à deux reprises, témoigne Jérémy Patinier, directeur de publication des éditions Des ailes sur un tracteur, et militant contre les discriminations. Ce fut le cas pour la BD Projet 17 mai ou encore pour le bouquet de roses offert à Mme Christiane Taubira. »

à propos du RefugeLe Refuge est la seule association de lutte contre l’homophobie reconnue d’utilité publique et l’unique structure en France, conventionnée par l’Etat, à proposer un hébergement temporaire et un accompagnement social, médical et  psychologique aux jeunes majeurs, filles et garçons, victimes d’homophobie ou de transphobie. L’association compte 12 délégations et antennes : Montpellier, Paris, Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, St Denis de la Réunion, Bordeaux, Perpignan, Narbonne, Avignon, Bastia. Elle compte 3283 adhérents et héberge actuellement 70 jeunes en appartements-relais et structures hôtelières.
En 2013, plus de 1000 jeunes entre 18 et 25 ans on été chassés de chez eux, rejetés par leurs parents. Avec 500 euros, le Refuge héberge et accompagne deux jeunes pendant un mois.
Des ailes sur un tracteurLa maison d’éditions Des ailes sur un tracteur se veut un agitateur de projets livresques axés LGBT, un laboratoire d’idées, de débats et de convivialité. Fort de premières expérience à succès comme L’encyclopédé et le Lesbictionnaire, Jérémy Patinier a décidé de pérenniser l’aventure en développant dès 2012 des projets de livres LGBT : essais, théâtre, beaux-livres, BD, chroniques…
Contacts presse :
• Des ailes sur un tracteur : Jérémy Patinier – 06 83 49 84 77.
• Le Refuge : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
 
 

Municipales Bagnols/Cèze : 5 candidats livrent leur vision du Gard Rhodanien en 5 mn.

Depuis hier soir 11 mars, la Jeune Chambre Économique de Bagnols Sur Cèze et du Gard Rhodanien propose sur son site Internet www.jcebagnols.fr une série d’entrevues vidéos avec cinq des candidats aux élections municipales de Bagnols/Cèze.
La JCE a souhaité donner la parole à l’ensemble des candidats à la Mairie de Bagnols/Cèze. Cinq d’entre eux ont accepté de livrer leur vision de l’avenir du territoire. Par ordre d’entrevue : Michel TORTEY (Pour Bagnols sur Cèze l’Humain d’abord), Christian ROUX (Unissons Bagnols), Christian REY (Bagnols Ambitions), Serge ROUQUAIROL (Bagnols, c’est vous !), Jean-Claude JACQUELIN (Pour une mairie autrement). La JCE leur a communiqué les conclusions de son Livre Blanc « Ta Vision – Ton Territoire » afin de recueillir leurs réactions et leurs solutions pour optimiser les forces du Gard Rhodanien.
L’association a proposé à chaque candidat un format unique d’expression : une vidéo d’une durée de 5 minutes maximum, sans intervention extérieure, réalisée en une seule prise, sans montage. Ses impératifs : l’égalité de traitement accordée aux candidats, l’impartialité et la neutralité dans la diffusion des entretiens. Vidéos en ligne sur www.jcebagnols.fr


À propos de la JCE-JCI
La JCE de Bagnols sur Cèze et du Gard Rhodanien est affiliée à la Jeune Chambre Économique Française (JCEF) et à la Junior Chamber International (JCI), organisation de jeunes citoyens responsables et solidaires qui œuvrent pour favoriser le développement de leurs cités et pays. Âgés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCI réalisent des actions concrètes dans tous les domaines : économique, social, humanitaire, culturel… Ainsi formés à la prise de responsabilités, ils agissent pour une société meilleure.
contact presse : Sandrine Chanudet – directrice du projet – 06 13 07 55 92.
 

L’engagement au féminin s’expose à l’Espace Jeunesse

La Jeune Chambre Économique expose des portraits de jeunes femmes bénévoles à partir du 6 mars à l’Espace Montpellier Jeunesse. Cet événement, réalisé en partenariat avec la Ville de Montpellier, rend hommage à l’engagement citoyen au féminin et s’inscrit dans le cadre des initiatives célébrant la Journée internationale des femmes du 8 mars prochain.
La Jeune Chambre Économique de Montpellier annonce le vernissage de son exposition « Osez Citoyens » au féminin le jeudi 6 mars à 18h00 à l’Espace Montpellier Jeunesse. Depuis novembre dernier, la JCE mène une action se sensibilisation au bénévolat chez les jeunes de 16 à 25 ans. Elle a sélectionné 22 Montpelliérains pour valoriser leur engagement citoyen et exposera leurs portraits dans différents endroits de la ville.
Premier rendez-vous le 6 mars avec les huit jeunes femmes de la promotion « Osez Citoyens », toutes impliquées dans des associations locales :
• Audrey, 20 ans, prépare le concours de masseur-kinésithérapeute, engagée à Tamounte (aide au développement d’un village marocain).
• Chloé, 21 ans, étudiante en psychologie, engagée à France Bénévolat 34 (information et orientation des futurs bénévoles).
• Emmanuelle, 25 ans, en recherche d’emploi, engagée à Entrée de secours (sensibilisation aux accidents domestiques).
• Léocadie, 16 ans, lycéenne, engagée à Concorda Logis (association organisant de la cohabitation intergénérationnelle).
• Marion, 22 ans, étudiante en orthophonie, secrétaire d’OrthoFaso (projets orthophoniques solidaires au Burkina Faso).
• Morgane, 25 ans, étudiante sage-femme, engagée au sein de l’association des étudiantes sages-femmes.
• Sophia, 23 ans, ingénieure technico-commerciale, présidente de Children’s Dreams (soutien d’organisations d’aide à l’enfance).
• Tiphaine, 24 ans, guide médiatrice du patrimoine, engagée à Shakin’Bears (organisation d’un festival Pop Rock).

Les femmes et le bénévolat
Une enquête de France Bénévolat révèle que la parité règne parmi les bénévoles : 51% de femmes en 2013, avec un même niveau d’engagement que les hommes. Par contre, comme dans le milieu professionnel, les hommes sont plus nombreux à prendre des responsabilités dans les associations, notamment la présidence (33% de femmes présidentes en 2009).
La JCE veut valoriser l’engagement associatif
Avec « Osez Citoyens », la JCE souhaite montrer que l’engagement associatif est un facteur de développement personnel, de formation, de prises de responsabilités, de création de réseaux, d’intégration sociale et professionnelle. « À l’heure où un jeune sur quatre dans notre pays reste sur le bord de la route à la sortie de l’école, le bénévolat peut constituer une passerelle vers un emploi durable » conclut Carlos Mésias, directeur du projet.
Exposition JCE « Osez Citoyens »
A partir du 6 mars 2014.
Espace Montpellier Jeunesse – 6 rue Maguelone.
Du lundi au vendredi de 12h à 18h.
Vernissage le 6 mars à 18h.
Entrée libre.
Contact presse : Michel Cance, Président JCE Montpellier – 07 81 86 87 87.
 

12 AOC Saint-Georges-d'Orques Millésime 2013 en dégustation sur Vinisud

Les vignerons du terroir Saint-Georges-d’Orques, en AOC Languedoc, invitent les professionnels à déguster leur Millésime 2013 durant Vinisud à Montpellier. Ils ont sélectionné 12 AOC rouges, à découvrir sur le stand A31 Hall 6, du lundi 24 février 9h00 au mercredi 26 17h00. Chaque domaine proposera aussi ses millésimes 2011 et 2012 en rouges, rosés et blancs.
Les cuvées 2013 :
• Château Claud Bellevue : L’Âme
• Château de Fourques : Guilhem
• Château de l’Engarran : Quetton Saint-Georges
• Domaine Belles Pierres : Le Chant des Âmes
• Domaine de la Marfée : Della Francesca [certifié AB] • Domaine de la Prose : Les Cadières [certifié AB] • Domaine de Saumarez : Aalenien
• Domaine Guizard : Cuvée 400
• Domaine Henry : St-Georges-d’Orques
• Le Clos d’Isidore : Les Sentiers Pourpres
• Mas de la Rime : Mas de la Rime [certifié AB] • Vignerons de Saint-Georges-d’Orques : L’Ocre Rouge.
Pour réserver votre dégustation : Karine BAUDOIN – 06 30 08 42 14.
Possibilité aussi de réserver en ligne.

 

Lutte contre l’homophobie : que proposent les candidats à la Mairie de Paris ?

Communiqué Le Refuge – CAELIF – Cinémas Chaplin
Le Refuge et le Collectif des Associations Étudiantes LGBT d’Ile-de-France (CAELIF) organisent un débat entre les principaux candidats aux élections municipales de Paris le 27 février prochain à 19h sur le thème « Élus municipaux, que faites-vous contre l’homophobie ? », avec le soutien des Cinémas Chaplin. Le Refuge et ses partenaires souhaitent ainsi informer les citoyens des mesures sur lesquelles les têtes de listes s’engagent pour faire reculer l’homophobie et la transphobie dans la société.
Ont répondu présent :
• Jean-Didier Berthault, directeur de campagne de Nathalie Kosciusko-Morizet, UMP
• Bruno Julliard, porte-parole d’Anne Hidalgo, PS
• Christophe Najdovski, candidat EELV
• Danielle Simonnet, candidate Front de Gauche.
Les maires doivent impulser des dynamiques de lutte contre l’homophobie
Depuis novembre dernier, le Refuge invite les candidat(e)s aux municipales 2014 à répondre à un questionnaire en ligne relatif aux actions envisagées sur leurs territoires pour lutter contre l’homophobie et la transphobie. À ce jour, 75 candidats ont accepté de répondre. Le Refuge publiera les résultats de cette enquête sur son site Internet, commune par commune, avant les élections. Pour Nicolas Noguier, Président de l’association Le Refuge : « le maire est un acteur clé de la vie politique. Il peut et doit, à son niveau, impulser des dynamiques de lutte contre l’homophobie ! »
Rendez-vous jeudi 27 février à 19h
Cinéma Chaplin Saint Lambert, salle 1 – 6 rue Péclet, Paris 15e
Débat entre candidats suivi d’un échange avec la salle. Fin prévue : 21h.
Entrée libre et gratuite.
Contacts presse :
• Le Refuge : Karine Baudoin, 06 30 08 42 14.
• CAELIF : Emmanuelle Campo, 06 66 34 61 53.
 

Quel avenir pour Bagnols/Cèze et le Gard Rhodanien ? La JCE interpelle les candidats aux municipales.

La Jeune Chambre Économique de Bagnols Sur Cèze et du Gard Rhodanien donne la parole aux six candidats aux élections municipales de Bagnols/Cèze. Elle les interpelle sur les conclusions de son Livre Blanc « Ta vision – Ton territoire » publié en novembre dernier. La JCE mettra en ligne les vidéos de ses entretiens avec les candidats sur son site www.jcebagnols.fr d’ici le 1er mars.
Une démarche impartiale pour entendre les candidats sur l’avenir du Gard rhodanien
La Jeune Chambre Économique de Bagnols sur Cèze et du Gard Rhodanien souhaite donner la parole aux six listes candidates aux prochaines élections municipales de Bagnols/Cèze les 23 et 30 mars 2014. Son objectif : répondre aux attentes et aux préoccupations des habitants sur leur environnement de vie et leur territoire. Pour ce faire, l’association propose à chaque candidat un format unique d’expression : une vidéo d’une durée de 5 minutes maximum, sans intervention extérieure, réalisée en une seule prise, sans montage. La JCE insiste sur l’égalité de traitement accordée aux candidats et revendique son impartialité et sa neutralité. Elle mettra les vidéos en ligne sur son site Internet, actualisé à cette occasion : www.jcebagnols.fr.
« Ta Vision – Ton Territoire » : les atouts du Gard Rhodanien, les idées de ses forces vives
En novembre dernier, la JCE de Bagnols sur Cèze et du Gard Rhodanien a réalisé un Livre Blanc intitulé « Ta Vision – Ton Territoire ». Il en ressort qu’il fait bon vivre dans le Gard Rhodanien, qui possède de nombreux atouts : une position géographique stratégique, un dynamisme démographique, un taux élevé de création d’entreprises, une forte activité du CEA, un large panel de formations et un potentiel de développement économique. La Jeune Chambre Économique a aussi profité de ce travail pour recueillir l’avis de personnalités impliquées dans la vie de leurs communes. Elles livrent leurs visions et leurs idées pour optimiser les forces du territoire. 
À propos de la JCE-JCI
La JCE de Bagnols sur Cèze et du Gard Rhodanien est affiliée à la Jeune Chambre Économique Française (JCEF) et à la Junior Chamber International (JCI), organisation de jeunes citoyens responsables et solidaires qui œuvrent pour favoriser le développement de leurs cités et pays. Âgés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCI réalisent des actions concrètes dans tous les domaines : économique, social, humanitaire, culturel… Ainsi formés à la prise de responsabilités, ils agissent pour une société meilleure.
Contact presseSandrine Chanudet – 06 13 07 55 92 – www.jcebagnols.fr
 

Affaire Vatican : Geoffrey Robertson appelait à une réaction de l’ONU dès 2010

Information presse
Dans son ouvrage L’affaire Benoît XVI (H&O 2012, publié en GB dès 2010), l’avocat spécialiste du droit international Geoffrey Robertson dénonce la protection organisée des prêtres pédophiles par le Vatican et l’absence de condamnation du Comité des Nations-Unies sur les droits de l’enfant (CRC). Pour étayer ses accusations contre le Vatican, l’auteur exploite de nombreuses sources  : rapports d’enquêtes judiciaires aux Etats-Unis et en Europe, archives du Vatican, études universitaires et enquêtes journalistiques.
Le rapport du CRC du 5 février dernier corrobore les constats établis par Geoffrey Robertson dans L’Affaire Benoît XVI. Les déclarations de sa présidente Kristen Sandberg semblent tout particulièrement faire écho aux propos de l’auteur dans son introduction.
Cet ouvrage devient LA référence sur la gouvernance de l’Eglise catholique et ses dérives, particulièrement durant la période où Joseph Ratzinger a été responsable de la Congrégation pour la doctrine de la foi puis pape.
Geoffrey Robertson
Geoffrey Robertson est avocat, il porte le titre de Conseil de la Reine. Né en Australie, il a la double nationalité australienne et britannique. Spécialiste du droit international et ardent défenseur des droits de l’homme, il est l’auteur de nombreux ouvrages et articles sur ces sujets. Il a, entre autres, été le défenseur de Salman Rushdie et a siégé comme juge à la cour spéciale de l’ONU pour le Sierra Leone.
Pour faire appel à Geoffrey Robertson en tant qu’expert : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
 

À la découverte du terroir Saint-Georges-d’Orques à Vinisud

Du 24 au 26 février 2014, les vignerons du syndicat de promotion du cru Saint-Georges-d’Orques, en AOC Languedoc, proposent aux professionnels une promenade gustative sur leur stand à Vinisud. Le terroir historique des vins de Montpellier, à l’Ouest de l’agglomération, les invite notamment à découvrir le Millésime 2013, fruit de « 320 jours de soleil comme nulle part ailleurs » à Saint-Georges-d’Orques, Juvignac, Lavérune, Pignan et Murviel-lès-Montpellier !
Les animations prévues Stand A31, Hall 6 :
• Invitation presse « Promenade dégustation dans le terroir Saint-Georges d’Orques » : sur inscription, du lundi au mercredi, découverte du Millésime 2013. Les vignerons font déguster leurs vins AOP rouges et rosés Saint-Georges-d’Orques.
• Mardi 25 février, « Les 12 à 12h »: apéritif vins et tapas pour célébrer avec les visiteurs le travail des 12 domaines et caves du terroir Saint-Georges-d’Orques présents sur Vinisud.
Et tout au long du Salon, à la rencontre des producteurs exposants :
Château Claud Bellevue • Château de Fourques • Château de l’Engarran • Domaine de la Marfée • Domaine de la Prose • Domaine de Saumarez • Domaine Guizard • Domaine Henry • Domaine Belles Pierres • Le Clos d’Isidore • Les Vignerons de Saint-Georges-d’Orques • Mas de la Rime.

 Saint-Georges-d’Orques, terroir historique de Montpellier classé parmi les grands

Réputés depuis le Moyen Âge, les vins de Saint-Georges-d’Orques sont connus à l’international dès le 17e siècle, exportés en Angleterre, en Écosse, dans les pays scandinaves et en Russie. En 1710, les vignerons créent une marque à feu en forme d’étoile, avec indication du millésime, pour éviter les contrefaçons, déjà courantes à l’époque. On comptera trois autres marques jusqu’à la Révolution.
Thomas Jefferson, Ambassadeur des Etats-Unis en France, découvre les vins de Saint-Georges-d’Orques en 1787 et en fait l’éloge dans son carnet de route. Devenu président, il proposera d’exonérer les vins du village de la taxe à laquelle ils sont assujettis à l’entrée de son pays.
• Dans son ouvrage Topographie de tous les vignobles connus, l’agronome André Jullien classe le terroir de Saint-Georges-d’Orques parmi les plus prestigieux, au même rang que ceux de Saint-Émilion, Fronsac, Meursault ou Chablis.

De la vigne au verre

Les vins AOC Languedoc Saint-Georges-d’Orques se déclinent essentiellement en rouge et en rosé. Ils reposent sur l’assemblage de trois cépages « principaux » : le grenache, la syrah et le mourvèdre. Le carignan et le cinsault, cépages secondaires, interviennent aussi dans leur élaboration.
• Les rouges ont une teinte rouge rubis brillante et intense. Au nez, ils exhalent des notes d’épices, de garrigue et de fruits noirs, soulignées d’une pointe de cacao. Au palais, ils combinent la puissance propre aux vins sudistes et la fraîcheur liée à l’acidité de leur terroir. Leurs tanins, onctueux et doux, soulignent ces qualités et révèlent l’élégance de style propre aux Saint-Georges-d’Orques. Après cinq ans en cave, ils lèvent le voile sur leur minéralité et leur profondeur aromatique.
• Les rosés, à la robe rose bonbon, sentent les petits fruits rouges et les agrumes. Dotés d’une belle acidité, ils sont remarquables d’équilibre, à la fois fringants, frais et fruités.

Les chiffres
• Superficie en production : 600 ha
• Aire de production : 5 communes (Saint-Georges-d’Orques, Lavérune, Pignan, Murviel, Juvignac).
• Nombre de producteurs : 1 cave coopérative et 18 caves particulières.
• Production annuelle moyenne : 15 000 hectolitres.
• Couleurs : rouge (majoritaire), rosé, blanc.
Les dates clés
• 1945 : l’INAO reconnaît le terroir et le nom de Saint-Georges-d’Orques.
• 1948 : création de la cave coopérative de Saint-Georges-d’Orques.
• 1951 : Saint-Georges-d’Orques devient VDQS (vin délimité de qualité supérieure).
• 1985 : reconnaissance de l’AOC Coteaux du Languedoc – Saint-Georges-d’Orques, aujourd’hui Languedoc – Saint-Georges-d’Orques.
• 1991 : création du syndicat de promotion du cru Saint-Georges-d’Orques.
• 2012-2013 : délimitation parcellaire. Le syndicat a pour objectif de faire reconnaître ses vins en crus communaux.
 
Ressources journalistes / Press kit  :
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Contact presse : Karine BAUDOIN – 06 30 08 42 14.