La culture bouscule les idées reçues dans « On dirait le Sud » le 24 avril

Au-delà des règles d’un établissement scolaire ou de la mauvaise réputation d’un quartier, au-delà des croyances et des traditions, la culture bouscule les idées reçues dans « On dirait le Sud ».

Rendez-vous sur France 3 Languedoc-Roussillon les 24 et 25 avril 2015 pour découvrir le 6e numéro du magazine culturel « On dirait le Sud ». Au sommaire, sept courts documentaires consacrés à l’art et au patrimoine en région, co-produits par les Films d’Ici Méditerranée. Les réalisateurs ont filmé l’irruption déstabilisante et libératrice d’artistes du théâtre, de la chanson et du cirque dans un lycée alésien. Ils ont poussé la porte de la Casa Musicale à Perpignan où d’autres artistes transmettent leur amour du chant et de la musique à des jeunes du quartier Saint-Jacques. Ils nous invitent ensuite en Pays minervois, à l’écoute de la Mal Coiffée, un groupe de jeunes femmes qui réinvente l’art de la polyphonie occitane. « On dirait le Sud » fait alors une incursion dans l’Hérault pour nous confronter aux toiles, dessins et photographies de quatre peintres et plasticiennes qui exposent au Centre Régional d’Art Contemporain de Sète, puis pour assister à la préparation du groupe montpelliérain de hip hop Submarin Crew qui participera à sa première « Battle Of The Year France » le 23 mai. Le magazine revient aussi sur la construction, dans les années 60, de l’église Saint-Dominique, surprenante nef de béton dans les quartiers Est de Nîmes. Il s’achève à Narbonne, où le dessinateur Toma Dutter invite des lycéens à se servir de leur cerveau intuitif…
Diffusions : 24 avril à 0h15, 25 avril à 15h20, France 3 Languedoc-Roussillon.
L’énergie communicative des artistes
Hip hop, rumba catalane, salsa gitane, slam… À la Casa Musicale de Perpignan, les artistes professionnels travaillent et transmettent leur énergie positive aux jeunes du quartier. « Tu veux régler un différend ? Tu le fais au micro, aux platines ou dans un cercle en dansant ! » Laure Bourdon Zarader filme ainsi les responsables du lieu, les artistes et les jeunes à l’œuvre d’une patiente construction de soi, avec les autres. On retrouve la même envie de donner chez les trublions qui bousculent les habitudes des élèves du lycée Jean-Baptiste Dumas à Alès : invitation, incitation à oser se servir de son corps, de sa voix, à s’exprimer à travers le théâtre ou le chant. Souffle de liberté et de création dans le respect mutuel dont témoigne Boris Garavini. On se prend alors à rêver d’un système éducatif qui permettrait enfin cela, la construction d’une solidarité par l’épanouissement individuel.
« On dirait le Sud », seul magazine culturel de France 3 Région
Serge Lalou et Les Films d’Ici Méditerranée coproduisent avec France Télévisions le seul magazine culturel existant sur une antenne de France 3 Région. Émission mensuelle de 52 mn, « On dirait le Sud » est placée sous la direction éditoriale de Nathalie Combe assistée de Delphine Lalou. Elle se compose de 8 films courts de 6 à 8 mn commandés à des auteurs-réalisateurs de la région Languedoc-Roussillon. Chaque épisode est conçu comme une entité, avec son rythme propre, un sommaire qui présente en images les films de l’épisode et une voix off qui incarne le ton du magazine (la voix 2015 est celle de Jean-Michel Mariou, délégué France 3 Languedoc-Roussillon). La volonté de François Fronty, auteur-réalisateur, est de « filmer de façon remarquable des réalités culturelles remarquables, faire découvrir et diffuser la culture sous toutes ses formes. »
 

// Sommaire du numéro 06 – Avril 2015 //

Programmation le 24 avril 2015 à 0h15
Rediffusion le 25 avril 2015 à 15h20
Durée : 52 mn.
Des artistes au lycée de Boris Garavini et les Films Invisibles
Pendant cinq jours, au début du mois de mars et à l’initiative du Théâtre du Cratère, le lycée Jean-Baptiste Dumas à Alès est littéralement envahi par les artistes de théâtre, chanson, cirque contemporain. Le film de Boris Garavini décrit cette irruption foisonnante dans l’enceinte de l’institution scolaire.
La Casa Musicale à Perpignan de Laure Bourdon Zarader
Installée dans un quartier gitan de Perpignan, ville exposée à des tensions importantes entre différentes communautés, La Casa Musicale contribue à une meilleure mixité sociale par la création de concerts dédiés aux Musiques du Monde et aux Musiques actuelles. Le film raconte la démarche d’un lieu qui associe étroitement culture et lien social. À la Casa Musicale, les artistes travaillent et transmettent aux jeunes dans des ateliers de hip hop, de rumba catalane, de salsa ou encore d’écriture de slam.

La Mal Coiffée de Manuel Deiller
Des jeunes femmes vivant dans le Minervois ont créé en 2003 un groupe de polyphonie, La Mal Coiffée, pour interpréter des chants traditionnels où poésie et langue occitane réinventent un répertoire populaire. Qui sont ces femmes qui réussissent à s’inscrire de façon contemporaine dans un terroir culturel et linguistique en évitant le risque passéiste et régionaliste, en l’universalisant ?

Chair, Magenta, Le bleu du ciel, Figures de Christine Baudillon
Une exploration du travail de quatre artistes exposées depuis février au Centre Régional d’Art Contemporain de Sète : les peintures et tirages numériques grand format de Nina Childress, les tableaux et le wall painting de Sylvie Fanchon, les photographies et performances d’Enna Chaton, les dessins au crayon, autoportraits numériques et vidéos de Mïrka Lugosi.
Submarin Crew de Manuel Deiller
Groupe émergent de la scène hip hop, le crew Submarin prépare activement, à Montpellier, l’événement phare de l’année : les Battles, un championnat où les équipes rivalisent dans le rythme et l’acrobatie avec la théâtralité qui caractérise la discipline.

La Nef du Salut de Raymond Achilli
Dans un quartier de Nîmes aux constructions géométriques, un édifice bâti en forme d’amande avec des blocs de béton préfabriqués, questionne. Sur sa façade principale, aucun signe ostentatoire religieux connu. Seuls une nef franchit les flots et quelques poissons gravés dans le béton nagent au pied d’un pilier alors qu’à l’extrémité de celui-ci, une croix de Camargue ferre les cieux. En fait, cette alliance entre les gardians et les pêcheurs de la région est le symbole du Salut dans la religion catholique. C’est ainsi que l’architecte Joseph Massota qui souhaitait « bâtir une église en béton avec beaucoup de lumière, de verre », a conçu l’église Saint-Dominique, commandée par l’évêché et inaugurée le 13 décembre 1964.

Carnets de Jean-Baptiste Durand
Rencontre avec le dessinateur Toma Dutter, en résidence au lycée du Docteur Lacroix à Narbonne. Chaque année, la Région et la DRAC portent de nombreuses résidences d’artistes dans les établissements scolaires dans le but de promouvoir l’art contemporain, de le rendre plus accessible par le biais des artistes eux-mêmes. Pour les élèves il s’agit de faire un pas de côté par rapport aux autres enseignements et de travailler durant quelques semaines avec un artiste qui propose de sortir de l’intentionnalité et du cadre scolaire.
contact production : Élodie Dombre, 06 20 67 37 04.
contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14. Journalistes, demandez vos codes d’accès privés pour découvrir le magazine en avant-première presse.
Documents en téléchargement :
• communiqué de presse,
• dossier de presse 2015.
 

Les Bacchus Afterworks de la JCE, le rendez-vous réseaux des Bagnolais

La Jeune Chambre Économique de Bagnols-Sur-Cèze et du Gard Rhodanien organise son premier Bacchus Afterwork jeudi 9 avril prochain à 18h30 au restaurant le Nolita. Elle souhaite ainsi donner aux jeunes actifs de l’agglomération l’occasion de tisser et de développer leurs réseaux professionnels en toute convivialité.
La JCE de Bagnols-Sur-Cèze et du Gard Rhodanien a choisi la formule tendance des soirées afterwork pour lancer un nouveau concept de rencontres professionnelles, les Bacchus Afterworks. Si le rendez-vous du 9 avril a du succès, elle invitera chaque mois les jeunes actifs et personnes en recherche d’emploi de l’agglomération à découvrir un producteur du territoire et ses vins dans un cadre chaleureux pour favoriser les échanges et contribuer au dynamisme de l’économie locale. « Il est indispensable aujourd’hui d’avoir un réseau pour trouver un emploi ou développer son entreprise, déclare Aurore Jorda, présidente de la JCE. C’est un facteur clef de succès. Mais il faut du temps, de l’attention pour faire connaissance et échanger ensuite des informations, des conseils d’experts, des recommandations… »
Premier Bacchus Afterwork le 9 avril 2015
18h30-20h30
Restaurant le Nolita • 1585 Route d’Avignon, ZAC de l’Euze, Bagnols/Cèze.
Entrée libre • Dégustation de vins : 10 €.
Informations au 07 70 60 88 83.
À propos de la JCE-JCI
Créée en 1965, la JCE de Bagnols/Cèze est affiliée à la Jeune Chambre Économique Française et à la Junior Chamber International (JCI). Âgés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCI se forment au leadership et réalisent des actions concrètes dans différents domaines dont l’économie, l’emploi, la préservation de la planète, la solidarité et l’aménagement du territoire.
Téléchargez ce communiqué en PDF.
Contact presse : Dorine Klein – 06 78 57 41 72 – www.jcebagnols.fr
 

Yves Navarre, du succès public à la reconnaissance universitaire • H&O publie les Cahiers Yves Navarre n°1

Les éditions H&O publient le volume 1 des Cahiers Yves Navarre, somme des communications et témoignages des participants au colloque international consacré à l’auteur en 2014. Cet ouvrage collectif offre aussi deux textes inédits à celles et ceux à qui Yves Navarre manque tant depuis sa disparition en 1994.
Les 25 et 26 septembre 2014 s’est tenu à la National University of Ireland, Galway, le premier colloque international consacré à Yves Navarre baptisé « Yves Navarre, une vie à écrire ». Universitaires, éditeurs, ayants droit, écrivains, comédiens, libraires et lecteurs se sont réunis dans le but de partager leur passion pour un auteur hors du commun. Prix Goncourt en 1980 pour Le Jardin d’acclimatation et Prix de l’Académie française en 1992 pour l’ensemble de son oeuvre, Yves Navarre (1940-1994) est l’auteur d’une œuvre multiforme, s’articulant sur toutes les variations du romanesque et de l’autobiographique. Tout à la fois romancier, poète, dramaturge et essayiste, il a également tenu, pendant près de vingt ans, un Journal resté inédit à ce jour.
Ce premier Cahier Yves Navarre rassemble les communications et les témoignages de celles et ceux qui ont rendu hommage à l’écrivain à l’occasion du vingtième anniversaire de sa disparition. « Comme un arbre de vie, ils symboliseront l’immortalité d’une écriture et nos textes en seront les ramifications. Parce que c’était lui. Parce que c’était nous. »
Au fil des pages :
• Sylvie Lannegrand et Philippe Leconte préfacent à quatre mains la genèse de ce cahier.
• Lillis Ó Laoire raconte sa découverte de Cronus’ Chidren, Le Jardin d’acclimatation en anglais.
• Morwena Denis nous fait part de ses impressions à la lecture de Je vis où je m’attache.
• Michto Rex s’interroge sur le destin de Caron, l’un des personnages de Hôtel Styx.
• Véronique Montémont nous aide à décrypter « Une vérité intime aux multiples visages ».
• Dominique Dussidour évoque sa rencontre et ses années de travail avec Yves Navarre.
• Bruno Bisaro dit et laisse dire Yves Navarre : d’une parole reçue à une parole donnée.
• Jean Perrenoud nous invite à découvrir les « Poèmes et chansons » d’Yves Navarre.
• Patrick Dubuis étudie « L’homosexualité dans l’œuvre d’Yves Navarre ».
• Sylvie Lannegrand nous révèle les éblouissements ressentis à la lecture du Journal inédit.
• Philippe Leconte aborde la « Réception de l’œuvre d’Yves Navarre ».
• Document inédit : Certains osaient encore prétendre…, tapuscrit d’Yves Navarre.
• Bouquet final : La Gobeuse d’âmes, une nouvelle inédite d’Yves Navarre.
Cahiers Yves Navarre n°1
© H&O Éditions mars 2015 • 160 pages • 16 euros.

H&O et Yves Navarre
Yves Navarre fut parmi les premiers auteurs à aborder la question de l’homosexualité dans son œuvre, à une époque où ce sujet était encore largement tabou. Cela lui a valu une image réductrice dont il n’est jamais parvenu à se défaire. Depuis 2005 H&O, « éditeur gay mais pas seulement », a réédité sept romans de cet écrivain majeur du XXe siècle : Le petit galopin de nos corps, Le jardin d’acclimatation, Lady Black, Le temps voulu, Kurwenal ou la part des êtres, Ce sont amis que vent emporte et Portrait de Julien devant la fenêtre. H&O a aussi publié en 2006 un recueil de nouvelles posthumes inédites, Avant que tout me devienne insupportable, dans sa collection L’aparté.
contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
 

La culture donne de la voix dans « On dirait le Sud » le 27 mars

Voix d’artistes ou d’anonymes, cris ou confidences, chants ou grondements.
Voix qui se souviennent de paysages et de rencontres…
La culture donne de la voix le 27 mars dans « On dirait le Sud ».


France 3 Languedoc-Roussillon diffuse le 5e numéro du magazine culturel « On dirait le Sud » les 27 et 28 mars 2015. Co-produite par les Films d’Ici Méditerranée, l’émission propose huit courts documentaires consacrés à l’art et au patrimoine en région. Cette nouvelle édition s’ouvre sur la Fête de l’Ours, célébration populaire traditionnelle à Prats de Mollo en Vallespir. Elle invite ensuite à une série de rencontres singulières dans l’Hérault. Au Musée Régional d’Art Contemporain de Sérignan d’abord, où Pierre Bismuth évoque le sens de sa recherche plastique. À Lodève ensuite, avec un hommage au Festival Les Voix de la Méditerranée. « On dirait le Sud » a aussi suivi Agnès Varda à Saint-Aunès, sur les lieux du tournage de Sans toit ni loi avant d’explorer, grâce à un film d’archive inédit, les coulisses de la construction du décor des Amants du Pont Neuf, près de Lansargues. Autres souvenirs précieux, ceux des rapatriés d’Algérie recueillis par des journalistes radio ici près de Montpellier, là à Lodève. Même Dimoné, le rockeur, passe du chant à la confidence, retour sur les lieux de son enfance à La Paillade. L’émission s’achève en compagnie d’enfants de la Maison d’Enfants Bon Secours de Montpellier, qui préparent un spectacle de cirque où il est question de valises et de trésors…
Diffusions : 27 mars à 0h15, 28 mars à 15h20, France 3 Languedoc-Roussillon.
Agnès Varda, voix libre du cinéma
« Quand je prépare un film, les paysages ont beaucoup d’importance… » Le 22 janvier dernier, Agnès Varda est revenue sur la petite colline aux Deux-Cyprès, à Saint-Aunès, 30 ans après le tournage de Sans toit ni loi. Les zones commerciales ont mangé les vignobles mais les cyprès sont encore là, bien droits, comme ses souvenirs. « C’est l’histoire d’une fille qui marche, Mona, et qui parle peu » : Agnès Varda se remémore « l’air naturellement révoltée » de Sandrine Bonnaire, « une  interprète qui incarnait complètement un personnage inventé ». Sur ce qui a servi de tombeau végétal à la jeune Mona, la réalisatrice rend hommage à l’indépendance et à la solitude de l’écrivain Nathalie Sarraute, rappelant la nécessité, au cinéma comme en littérature, de « travailler le ressenti ». Yann Sinic capte ainsi la soif inaltérée de liberté d’Agnès Varda, son indépendance d’esprit, la volonté de n’appartenir « à aucun groupe, à aucune loi ».
L’initiative de cet entretien avec Agnès Varda revient à Languedoc-Roussillon Cinéma. Le film Sans toit ni loi est ressorti en 2014, dans une version restaurée. Il sera visible au festival Itinérances d’Alès le 28 mars prochain.
« On dirait le Sud », seul magazine culturel de France 3 Région
Serge Lalou et Les Films d’Ici Méditerranée coproduisent avec France Télévisions le seul magazine culturel existant sur une antenne de France 3 Région. Émission mensuelle de 52 mn, « On dirait le Sud » est placée sous la direction éditoriale de Nathalie Combe assistée de Delphine Lalou. Elle se compose de 8 films courts de 6 à 8 mn commandés à des auteurs-réalisateurs de la région Languedoc-Roussillon. Chaque épisode est conçu comme une entité, avec son rythme propre, un sommaire qui présente en images les films de l’épisode et une voix off qui incarne le ton du magazine (la voix 2015 est celle de Jean-Michel Mariou, délégué France 3 Languedoc-Roussillon). La volonté de François Fronty, auteur-réalisateur, est de « filmer de façon remarquable des réalités culturelles remarquables, faire découvrir et diffuser la culture sous toutes ses formes. »
 

// Sommaire du numéro 05 – Mars 2015 //

Programmation le 27 mars 2015 à 0h15
Rediffusion le 28 mars 2015 à 15h20
Durée : 52 mn.
La Fête de l’Ours, de Jean-Marie Téno
La légende veut qu’un ours ait enlevé une jeune bergère. Traqué par les chasseurs, l’ours après s’être vaillamment défendu, fut capturé et la jeune fille sauvée. On ramena l’ours sur la place du village où il fut rasé. Humilié, mais « plus humain », l’ours accomplit alors différents travaux et tâches pour le compte des villageois. Cette histoire est devenue un rituel du passage à la vie adulte. Les jeunes hommes se déguisent en ours et parcourent le village pour marquer les jeunes filles en âge de se marier. Capturés par les chasseurs, ils sont lavés et rasés puis on leur apprend à danser, manger et boire. Le réalisateur s’intéressera à la portée ethnologique de cette fête célébrée en Vallespir dans les Pyrénées et brossera des portraits de jeunes gens participant à ce parcours initiatique.

Pierre Bismuth, de Christine Baudillon
Artiste plasticien diplômé des Arts Décoratifs, scénariste récompensé d’un Oscar pour sa collaboration au film de Michel Gondry, Eternal Sunshine of the Spotless Mind, Pierre Bismuth a réalisé, pour le Musée Régional d’Art Contemporain de Sérignan, une exposition où il associe art contemporain et cinéma, où il prolonge sa conception du réel comme support de nos fantasmes. Au moment du décrochage de son exposition, Christine Baudillon revient avec lui sur sa recherche plastique.
Les Voix de la Méditerranée, de Marie Poitevin
Depuis 17 ans, Les Voix de la Méditerranée accueille à Lodève de nombreux poètes des pays du bassin méditerranéen. Chaque année pendant 5 jours, des dizaines de milliers de personnes viennent rejoindre les Lodévois pour une seule et même cause : lire des poèmes sous le soleil de juillet. En cette période de restrictions budgétaires, nous rendons un hommage à ce festival, en diffusant des morceaux choisis des années 2013 et 2014.
Agnès Varda, de Yann Sinic
La sortie en version restaurée du film d’Agnès Varda, Sans toit ni loi, 1985, a donné l’idée à Languedoc-Roussillon Cinéma d’organiser un entretien avec la réalisatrice sur les lieux du tournage, à l’emplacement des Deux Cyprès, près de Saint-Aunès. Ce topos est le deuxième personnage du film avec Mona, incarnée par Sandrine Bonnaire, jeune femme dont on suit l’errance dans un flash back des derniers jours de son existence. Varda revient sur ce tombeau à ciel ouvert dans lequel on retrouvera le corps de la jeune femme et nous livre sa soif inaltérée de la liberté.
Le Pont Neuf des Amants, de Chantal Marchon (archive)
Pour les besoins du tournage des Amants du Pont-Neuf, le chef décorateur Michel Vandestien avait recréé, dans l’arrière-pays de Montpellier, le Pont-Neuf et les quais de la Seine. Filmant le travail du décorateur dans cette entreprise démesurée, qui faillit entrainer la faillite du film et des sociétés de production, cette archive inédite de Chantal Marchon nous replonge dans les coulisses d’une création unique dans l’histoire du cinéma français.

Être sans rivages, de Marie Poitevin
Il s’agit d’un formidable projet de recueils de témoignages audios à l’échelle d’une région. Tout à tour les Républicains espagnols, les mineurs et les rapatriés de la guerre d’Algérie ont été écoutés, questionnés et enregistrés, constituant une base de données essentielle pour l’Histoire. Marie Poitevin a travaillé sur cette démarche ethnologique et mémorielle pour en restituer la richesse patrimoniale et rappeler que la Guerre d’Algérie n’a pas encore connu le travail mémoriel nécessaire.

Dimoné, de Laure Pradal
Avant sa participation au festival Printival de Pézenas en avril prochain, le chanteur et compositeur rock Dimoné expose son rapport à la musique et au public. Il revient sur les lieux de son enfance dans le quartier de La Paillade, puis au bord de l’étang de l’Or où il composa ses premières chansons.
Dans la gueule du Cirque, d’Hélène Morsly
Une histoire de valises qu’on emporte avec soi. Des enfants placés en Maison d’enfants à caractère social, dont on imagine qu’ils ont avec eux cet objet, rangé dans un coin de leur chambre, prêt à saisir pour aller, les fins de semaine ou les vacances, retrouver leur famille. Un objet récurrent, aussi, dans l’univers du cirque. Une valise et des trésors dedans. Fabien Coulon, membre de la Cie BlaBla productions et créateur du spectacle Dans la gueule du Gnou, anime un atelier cirque avec des enfants de la Maison d’Enfants Bon Secours de Montpellier. Quelques heures passées ensemble pour créer un petit spectacle présenté au Domaine d’Ô devant les familles, les éducateurs, les amis.

contact production : Élodie Dombre, 06 20 67 37 04.
contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14. Journalistes, demandez vos codes d’accès privés pour découvrir le magazine en avant-première presse.
Document en téléchargement :
communiqué de presse,
dossier de presse 2015.
 

« Homosexualité : du rejet au Refuge », un documentaire exclusif de Sonia Rolland et Pascal Petit au Diagonal Capitole Montpellier

Samedi 28 mars à 18h00, l’association Le Refuge convie le grand public au cinéma Le Diagonal Capitole de Montpellier pour une projection exclusive, quelques heures avant sa diffusion sur la chaîne TEVA, du documentaire « Carte blanche à Sonia Rolland • Homosexualité : du rejet au Refuge », réalisé au sein de l’association par Sonia Rolland* et Pascal Petit**. La séance se déroulera en présence des réalisateurs, des participants au documentaire et de personnalités qui soutiennent Le Refuge.
Sonia Rolland et Pascal Petit ont tourné « Homosexualité : du rejet au Refuge » à Montpellier, Marseille, Avignon et Paris, au cœur des délégations et antennes du Refuge. Ils sont partis à la rencontre de ces jeunes, rejetés par leurs familles à cause de leur orientation sexuelle. Ils ont recueilli leurs témoignages, écouté leurs souffrances mais aussi leurs espoirs. Leur caméra a également filmé et donné la parole aux parents et aux bénévoles du Refuge. Ils proposent ainsi un documentaire entre rires et larmes, forcément plein d’émotion. « Ce fut une expérience marquante, reconnaît Nicolas Noguier, président du Refuge. J’ai été très touché par le climat de bienveillance instauré par les réalisateurs. Sonia Rolland s’est intégrée aux équipes et a porté une grande attention aux jeunes accompagnés. Des liens très forts se sont noués entre elle et notre association. »
Au programme le 28 mars au Diagonal Capitole, 5 rue de Verdun :
• 18h00 projection du documentaire
• 19h00 échanges avec les réalisateurs et les responsables du Refuge.
Entrée libre, dans la limite des places disponibles.
Inscription recommandée à contact[@]le-refuge.org. 

« Carte blanche à Sonia Rolland
Homosexualité : du rejet au Refuge »
Produit par Phare Ouest productions
Réalisé par Sonia Rolland et Pascal Petit
Écrit par Pascal Petit.
Diffusion sur TEVA le 28 mars à 22h25 – Durée 52 mn.
* Sonia Rolland, actrice et réalisatrice, signe avec « Homosexualité : du rejet au Refuge » son 2e documentaire, après « Rwanda, du chaos au miracle » en 2014 pour France Ô.
** Pascal Petit est réalisateur TV, ancien rédacteur en chef de « Vie privée, Vie publique » avec Mireille Dumas. Il est l’auteur de nombreux documentaires (notamment « Derrière le rideau » sur les coulisses des ateliers de costumes de Disneyland Paris et du Moulin Rouge, et « Hélène Darroze : le goût du défi », portrait intime de la célèbre Chef).
Journalistes, demandez vos codes d’accès presse pour découvrir le documentaire avant la projection à Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.

Téléchargez ce communiqué en PDF. Visuels HD sur demande.
 

Culture • « On dirait le Sud » saison 2015 sur France 3 Languedoc-Roussillon

7 janvier 2015 – 27 février 2015 • À quoi bon la culture, cette autre idée du Sud ?
Parce que c’est la seule façon de résister, répondent les artistes et « On dirait le Sud ».

En 2015, le magazine « On dirait le Sud » propose de nouvelles rencontres singulières avec la culture et le patrimoine régional sur l’antenne de France 3 Languedoc-Roussillon. Le prochain numéro, programmé le 27 février, conduira les téléspectateurs dans les bureaux de trois dessinateurs de presse à Montpellier, Pérols et Nîmes, dans les ateliers de la Manufacture nationale de la Savonnerie à Lodève, sur le chantier de fouilles de l’abbaye de Saint-Gilles, dans les coulisses du Centre Dramatique National de Montpellier et du Théâtre de Narbonne. Après un hommage au photographe Lucien Clergue, le parcours s’achève sur scène à Nîmes à Paloma et sur les Causses cévenols avec Piers Faccini.
Après le drame de Charlie Hebdo
« Ce soir-là nous sommes une dizaine de jours après le traumatisme de début janvier. Comment ne pas y penser ? Comment ne pas l’évoquer » interroge la voix off du documentaire de Yann Sinic sur Rodrigo Garcia, le nouveau directeur du Centre dramatique national de Montpellier : « À quoi cela sert-il de faire du théâtre, du cinéma, dans un tel désenchantement ? » Le numéro 4 de « On dirait le Sud » porte l’empreinte de l’actualité dramatique du début d’année, communique le doute qui assaille les artistes autant que leur pugnacité, la vivacité d’un coup de crayon.
Ainsi Laure Pradal a-t-elle filmé trois dessinateurs de presse en Languedoc-Roussillon : Aurel, Eddie Pons et Roland Hours. Ils lui font part de leur processus créatif, de leur quête d’idées. Au fil des planches, des références aux attentats perpétrés au sein de la rédaction de Charlie Hebdo… Aurel commente une illustration intitulée « Monsieur Tignous, éleveur de dessinateurs » : « Tu lui montrais tes dessins, il te disait que c’était nul et pourquoi c’était nul. Tignous était quelqu’un qui acceptait de prendre le temps de discuter. » Roland Hours s’étonne : « Quand je travaillais à l’Evénement du Jeudi, on était plus libre que maintenant ! »
Cinq volets jusqu’à l’été
L’aventure se poursuit en 2015 pour le magazine culturel « On dirait le Sud » coproduit par Les Films d’Ici Méditerranée (Montpellier) et France Télévisions. Les trois premiers numéros diffusés à l’automne ont donné le ton et affirmé, selon le producteur Serge Lalou*, « la nécessité d’ouvrir des espaces télévisuels pour la création et le nécessaire cofinancement de la télévision publique régionale par les collectivités territoriales. » Soutenu par la Région et la DRAC notamment, « On dirait le Sud » donne rendez-vous aux téléspectateurs les 27-28 février, 27-28 mars et 24-25 avril, à 0h15 et 15h20. Deux autres numéros seront programmés en mai et juin.
Le seul magazine culturel de France 3 Région
Émission mensuelle de 52 mn diffusée par France 3 Languedoc-Roussillon, « On dirait le Sud » est le seul magazine culturel existant sur une antenne de France 3 Région. Placé sous la direction éditoriale de Nathalie Combe assistée de Delphine Lalou, le magazine se compose de 8 films courts de 6 à 8 mn commandés à des auteurs-réalisateurs choisis en fonction de leur connaissance du sujet et de leur inscription dans la région. Chaque épisode est conçu comme une entité, avec son rythme propre, un sommaire qui présente en images les films de l’épisode et une voix off qui incarne le ton du magazine (la voix 2015 est celle de Jean-Michel Mariou, délégué France 3 Languedoc-Roussillon). La volonté de François Fronty, auteur-réalisateur, est « de filmer de façon remarquable des réalités culturelles remarquables, faire découvrir et diffuser la culture sous toutes ses formes. »
* Serge Lalou et Anne-Marie Luccioni, associés aux Films d’Ici, ont créé en juillet 2014 à Montpellier une nouvelle société de production, Les Films d’Ici Méditerranée (Filmed). « On dirait le Sud » est leur première production, mise à l’antenne en septembre 2014.
Page Facebook de l’émission :
https://www.facebook.com/pages/On-dirait-le-Sud/796139110428797


// Sommaire du numéro 04 – Février 2015 //

Programmation : 27 février 2015 à 0h15.
Rediffusion : 28 février 2015 à 15h20.
Durée : 52 mn.
Contact production : Élodie Dombre, administration de production, 06 20 67 37 04.
Des dessinateurs de presse, de Laure Pradal
Après l’émotion suscitée par l’assassinat des dessinateurs de Charlie Hebdo, Laure Pradal filme les dessinateurs politiques installés en Languedoc-Roussillon : Aurel, Eddie Pons et Roland Hours, qui dessinent pour des journaux politiques ou d’information (Le Monde, Politis) en parallèle de leur travail de dessinateur de BD. Comment travaillent-ils au quotidien ? Qu’est-ce qui fait l’essence de leur métier ?

L’aventure au long cours, de Marie Poitevin
Cet atelier de création de tapis est situé aux abords de la ville de Lodève, dans un bâtiment à l’écart qui abrite un trésor de savoir-faire. Il est une annexe des Gobelins. Des hommes et des femmes, appelés lissiers, travaillent patiemment sur la réalisation d’ouvrages contemporains ou de reproductions de tapis anciens. Ici la rentabilité n’existe pas. Il n’y a pas de contraintes de temps, l’ouvrage prendra plusieurs années, parfois 7 ans. Le 20 janvier 2015 a lieu « la remise d’un métier » aussi appelée la « délivrance d’un tapis » dont on coupera les chaînes après de nombreuses années d’ouvrage. La réalisatrice propose trois portraits qui témoignent de la profondeur historique de cette manufacture (née après la guerre d’Algérie pour donner du travail aux femmes harkis) et de la qualité rare du travail de ces lissiers dont les tapis orneront les ambassades, ministères et monuments historiques.

Le Cirque Poussière à Narbonne, de Jean-Marie Téno
Julien Candy est un jeune circassien formé à Montpellier, à Paris, puis à Padoue. Le film de Jean-Marie Téno suit l’installation, la mise en place et la première sur la scène du Théâtre de Narbonne de la Cie La faux populaire, une jeune compagnie de cirque contemporain, mélange de cabaret, de voltige, de chant lyrique, dans sa dernière création intitulée Le Cirque Poussière. Avec précaution, il se glissera dans ce remue-ménage de construction millimétrée du manège et de décors parfois, qui offrent le cadre à la parodie de certains classiques et à des numéros originaux de voltige, de music-hall, de manipulation et de détournement d’objets qui font partager avec les spectateurs autour du manège les émotions fortes que les artistes communiquent avec brio.
Fouilles au cloître Saint-Gilles, de Jean-Baptiste Durand
Depuis un mois, les archéologues de Mosaïques Archéologie fouillent dans le jardin du cloître de l’abbaye de Saint-Gilles, haut lieu de pèlerinage sur le chemin menant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Début janvier, les restes de trois tombeaux monumentaux bâtis en pierre ont été découverts et sont actuellement en cours de fouille. Ils permettent de mettre en lumière la richesse historique du lieu qui ne devrait pas devenir l’otage malheureux d’une politique municipale orientée vers d’autres impératifs.

Rodrigo Garcia, de Yann Sinic
Nouveau directeur du Centre Dramatique National de Montpellier, Rodrigo Garcia apparaît comme le fer de lance du renouvellement de la proposition théâtrale de la ville. Avec un discours résolument politique sur l’action artistique, qui s’incarne dans le choix de nommer sa compagnie « Humain trop humain », le metteur en scène argentin bouscule le public en proposant un programme à l’image de la première œuvre présentée Golgotha picnic. L’angle du film sera la capacité de mener une telle politique théâtrale en créant de l’adhésion populaire.
D’abord la vie, ensuite les triomphes, de Lucien Clergue
La disparition du photographe Lucien Clergue en novembre a suscité bien des éloges et des rappels utiles dans la presse. Arlésien de naissance, c’est à lui que nous devons la création des Rencontres photographiques d’Arles. Ami de Picasso, de Cocteau, il laisse derrière lui une magnifique œuvre photographique, mais aussi des courts-métrages. Ce pan de son travail, beaucoup moins connu, va faire l’objet de projections au festival de cinéma Itinérances d’Alès 2015. Le magazine se propose de diffuser un extrait d’un des courts-métrages de Lucien Clergue, afin de le faire connaître à un public encore plus large.
Immersion à Paloma, de Laure Bourdon
À la SMAC Paloma à Nîmes, dans l’un des plus beaux lieux de musique actuelle de l’hexagone, de jeunes créateurs expérimentent de nouvelles formes de création, au croisement du cinéma, de la musique électronique et des effets spéciaux. À l’occasion de la préparation de Déjà vu, un spectacle visuel et sonore où se mêlent improvisation et immersion des spectateurs dans une narration en 3D, Laure Bourdon explore cette nouvelle tendance de la création, de mêler spectacle vivant, nouvelles technologies et performance immersive…
A New Morning, de Jeremiah et Piers Faccini
Vivant depuis plusieurs années dans les Cévennes, l’artiste cosmopolite Piers Faccini s’inspire d’une mystique des lieux pour enrichir son répertoire acoustique. Le réalisateur Jérémiah a saisi dans des plans-séquences les résonances et harmoniques qui surgissent entre des lieux aussi divers que des églises romanes et des espaces de Causses, et les chants très épurés de Piers Faccini. Une rencontre des extrêmes entre le minéral et l’onde.

 
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Journalistes, demandez vos codes d’accès privés aux reportages en avant-première à Karine Baudoin au 06 30 08 42 14.
 
 

Kiude réinvente l’art d’offrir

Cairanne – Paris, le 27 janvier 2015.
Nouvelle venue dans l’univers de l’objet de prestige et de l’événementiel, la maison d’édition Kiude propose à ses clients des cadeaux d’exception uniques et personnalisés. Elle fait appel à un gotha d’artisans, d’artistes et de maisons de luxe pour créer des cadeaux sur-mesure, et met en scène leur remise pour faire de chaque célébration un moment inoubliable.

Il est des événements dans une vie que chacune, chacun aimerait immortaliser. La maison Kiude propose à ses clients de magnifier et pérenniser ces moments précieux en offrant un cadeau approprié : personnalisé, à l’origine certifiée et doté de qualités immuables. Pour marquer une étape clef de la vie personnelle, un cap important dans un parcours professionnel, un événement d’entreprise, l’équipe de Kiude sélectionne l’artisan d’art, l’artiste ou la maison de luxe qui saura entendre la demande de son client et la transformer en bel objet. Elle organise enfin une mise en scène sur-mesure à la hauteur de ce cadeau hors-norme et des circonstances qui motivent sa remise.
Kiude prise le savoir-faire français et l’originalité
Pour le lancement de son activité, la maison Kiude s’appuie sur un gotha d’une centaine de créateurs français. Si certains bénéficient déjà d’une reconnaissance internationale, d’autres débutent leur parcours, jeunes talents repérés par Aurore, la responsable marketing de Kiude. « Nous privilégions les créateurs français, qui travaillent une matière première provenant du territoire national. Bien sûr, si le récipiendaire raffole du verre de Murano par exemple, nous commanderons alors une création sur l’île, dont nous garantirons l’authenticité. » Pour Charles Barraud, gérant de la maison Kiude, la priorité va à l’originalité de l’œuvre et à son esthétisme : matériau noble ou décalé, la démarche inspirée du créateur en fait un objet d’exception imaginé pour un moment d’exception.
Une maison française, une marque universelle
La marque Kiude sonne bien dans toutes les langues ; le site Internet kiude.com se décline d’ailleurs en sept idiomes. La maison d’édition souhaite en effet se positionner à l’international dès sa création pour proposer un service sur-mesure à la clientèle amoureuse du luxe et du savoir-faire français de l’Europe à l’Asie, en passant par le continent américain.
L’univers Kiude
• 3 grands domaines d’inspiration
Authentique (maîtres artisans), Artiste (artistes reconnus et révélations), Luxe (maisons de luxe).
• 5 territoires d’expression
Joaillerie, horlogerie, accessoires de mode, arts de la table, décoration.

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Contact presse : Karine BAUDOIN – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
 

4e édition du concours Le Refuge / Institut Randstad "Initiatives contre l’homophobie et la transphobie"

L’édition 2015 du concours « Initiatives contre l’homophobie et la transphobie », placée sous la présidence de Madame la Garde des Sceaux Christiane Taubira, se déroule du 1er janvier au 15 avril. L’association nationale Le Refuge et l’Institut Randstad récompenseront des actions associatives de lutte contre les LGBT phobies et de prévention du mal-être et du suicide des jeunes qui en sont victimes. Sont concernés les projets initiés en 2014 ou avant le 15 avril 2015, et qui aboutiront avant la fin de l’année. L’Institut Randstad dotera le Prix « Le Refuge/Institut Randstad – Initiatives contre l’homophobie et la transphobie » d’un chèque de 5.000 euros. Le « Prix des Internautes », parrainé par Yagg et Têtu, récompensera de 2.000 euros le projet plébiscité par les lecteurs des deux médias (vote en ligne sur les sites www.yagg.com et www.tetu.com du 17 au 23 avril).
Remise des Prix le 15 mai 2015
L’annonce des résultats et la remise des Prix auront lieu le 15 mai, lors de la Semaine nationale du Refuge, dans les locaux du Crips de Paris. La présidente du jury Christiane Taubira sera entourée de : Abdel Aïssou, directeur général du Groupe Randstad France et président de l’Institut Randstad, Jean-Luc Romero, président du Centre régional d’information et de prévention du sida Ile-de-France et de l’association Elus Locaux Contre le Sida, Christophe Martet, directeur de publication de Yagg, Jean-Jacques Augier, directeur de publication de Têtu, et plusieurs représentants du Refuge (dirigeants, bénévoles, partenaires, jeunes bénéficiaires).

En 2014, l’Institut de Ressources en Psychologie du Sport (IREPS, Montpellier) avait remporté le Prix Le Refuge Institut Randstad ; les Internautes avaient plébiscité les Universités d’Été Euroméditerranéennes des Homosexualités (Marseille).
Concours réservé aux associations françaises loi 1901
• Dates du concours
Du 1er janvier au 15 avril 2015, cachet de la poste faisant foi.
• Constitution du dossier et expédition
Dossier complet de présentation de l’action avec pièces justificatives à renvoyer par courrier et par mail avant le 15 avril 23h59 à : Le Refuge – Concours Le Refuge Institut Randstad 2015 – 75 Place d’Acadie – 34000 Montpellier / concours@le-refuge.org
• Dossier de candidature et règlement
A télécharger sur www.le-refuge.org • Infos : 09 54 92 60 66 • concours@le-refuge.org
Communiqué en téléchargement.
Contacts presse
LE REFUGE : Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
GROUPE RANDSTAD FRANCE : Sébastien Buffet – 01 41 62 22 10 – 06 01 35 25 39.
 

Un condamné au locked-in syndrome s’est échappé

Victime d’un double AVC à 42 ans, Christophe Merlier a vécu 10 jours sans pouvoir ni parler ni bouger, enfermé dans son corps comme dans une camisole de force. Il est l’un des rares rescapés du locked-in syndrome (ou syndrome d’enfermement), vit à Nîmes en autonomie et a consacré le dernier volet de sa biographie à ce terrible accident de la vie. Pour dire à sa fille qui il est. Pour témoigner qu’il est possible de revivre après un AVC et participer à la prévention. Pour sensibiliser enfin au combat de l’association ALIS créée par Jean-Dominique Bauby (auteur Le Scaphandre et le Papillon), à laquelle il souhaite reverser les bénéfices des ventes de son récit. Voyage en AVC vient de paraître aux éditions La féria des mots, version modifiée de l’ouvrage La ligne de vie sorti en 2011.
Une échappée belle exceptionnelle
« J’ai survécu à une tempête dans l’Atlantique, un braquage en Colombie, au serpents, aux maladies amazoniennes, à la mafia chinoise, à un AVC, un tremblement de terre… » Christophe Merlier a parcouru le monde pour échapper à un destin tout tracé, la reprise de l’entreprise familiale de maçonnerie. Jusqu’à cet AVC qui le frappe en Corse. Autre voyage qui lui permet aujourd’hui de savourer la vie au lieu de la « traverser bêtement en courant ». Christophe est conscient du privilège qu’il a d’être libre à nouveau. Car son cas est exceptionnel selon son médecin le Dr Frédéric Pellas, responsable de l’unité cérébro-lésés du CHU de Nîmes et l’un des médecins référents au locked-in syndrome en France. En effet, le LIS est un état neurologique rare souvent consécutif à un accident vasculaire cérébral détruisant le tronc cérébral, nœud de communication entre le cerveau et la motricité. La rééducation entraîne certes des progrès, mais minimes ou partiels, et peu de patients retrouvent la parole et l’autonomie comme Christophe.
 

Voyage en AVC – Chris
Éditions La féria des mots, décembre 2014.
220 pages – 15 euros.
Prix du Récit de l’Académie du Béarn
et La Renaissance Aquitaine.
Chapitre sur l’AVC en consultation libre
sur www.feriadesmots.com,
« afin de sensibiliser les proches des patients
sur ce que peut être un locked-in syndrome vu de l’intérieur ».
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Contact presse : Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
 

Émilie Millet présidera la JCE de Montpellier en 2015

L’assemblée générale de la Jeune Chambre Économique de Montpellier du 18 décembre 2014 a élu le Bureau 2015 de l’association. Émilie Millet succède à Michel Cance à la présidence. Elle sera entourée d’Émilien Lauret au secrétariat général, de Victor Fournier à la trésorerie et de trois vice-présidents : Sandrine Gagneux Gil aux programmes, François Girault à la formation et Blandine Barrier à la communication (assistée d’Amélie Unal, chargée de mission). La nouvelle équipe a inscrit à son programme un projet sur le thème de l’emploi et plusieurs actions de promotion de l’économie circulaire. Elle souhaite aussi finaliser « Osez citoyens », action de valorisation du bénévolat chez les jeunes lancée en 2013 et renouveler sa participation à l’opération nationale « Parlementreprise » et aux Prix de la TPE. La JCEM travaillera enfin à la mise en ligne d’un nouveau site Internet.
Émilie Millet, 32 ans, est née à Carcassonne. Elle quitte l’Aude pour le Pays angevin en 1993. Licenciée en Sciences de l’éducation à l’université de Nantes en 2004, elle entre à l’École Normale Sociale de l’Ouest pour une formation d’éducatrice de jeunes enfants et obtient son diplôme d’État en décembre 2006. De retour en Languedoc-Roussillon en janvier 2007, elle travaille pour le CCAS de Lattes au sein des établissements d’accueil de jeunes enfants, puis pour la mairie de Lunel au poste de directrice adjointe du multi-accueil « Le manège enchanté ». Elle reprend ses études en 2010 en Master Intermédiation et développement social et effectue des missions pour l’association « Grandir en Languedoc-Roussillon », puis au sein de l’Agence Régionale de la Santé (ARS) avant d’être nommée directrice adjointe d’une crèche montpelliéraine. Elle est aujourd’hui en phase de création d’entreprise : éducatrice de jeunes enfants libérale, elle proposera des services d’accompagnement à la parentalité et de formation pour les professionnels de la petite enfance.

Le Bureau 2015 de la Jeune Chambre Économique de Montpellier

À propos de la JCE-JCI
Créée en 1960, la JCE de Montpellier est affiliée à la Jeune Chambre Économique Française et à la Junior Chamber International (JCI). Âgés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCI se forment au leadership et réalisent des actions concrètes dans différents domaines dont l’économie, l’emploi, la préservation de la planète, la solidarité et l’aménagement du territoire.
Contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.