Le 7 mars 2017, la start-up montpelliéraine engagée Voy’Agir inaugure une campagne de crowdfunding afin d’accélérer le développement de sa plateforme de partage d’expériences de tourisme durable. Une étape importante pour sa créatrice Marine de Beaufort, l’ONU ayant proclamé 2017 « Année internationale du tourisme durable pour le développement ».
Les adeptes du voyage responsable ont rendez-vous du 7 mars au 13 avril sur le site de crowdfunding Ulule pour aider Voy’Agir à développer le premier guide collaboratif d’adresses engagées. « Nous avons fixé trois seuils de financement à 4 500 €, 7 000 € et 10 000 €, explique Marine de Beaufort. L’objectif prioritaire est de déployer les dernières fonctionnalités indispensables de la plateforme et d’optimiser la version mobile. » Un voyage en Amérique Latine programmé en fin d’année permettra de développer la destination, de créer des guides et de tester l’application pour en améliorer les fonctionnalités et l’ergonomie.
Diplômée en stratégie des entreprises et en développement durable, Marine démarre sa campagne à Montpellier avec son équipe et poursuit par une tournée de promotion sur Paris. Elle assistera à la remise du Trophée Femmes du Tourisme le 8 mars, et participera à la Journée de la Femme Digitale #JFD le 9 puis au lancement du club « Génération startupeuse et Women expertes » de Wirate le 13 mars.
Une solution pour faciliter l’organisation de voyages responsables
Ancrée dans le champs de l’économie sociale et solidaire, Voy’Agir est une startup engagée pour le développement du tourisme durable. Elle propose des solutions innovantes sur un marché où les voyageurs indépendants peinent à trouver des offres garantissant un réel engagement dans le tourisme durable.
Pour cela, Voy’Agir conçoit des outils facilitant l’organisation de voyages respectueux des sociétés locales et de l’environnement : une plateforme collaborative, des guides composés d’adresses engagées découvertes par l’équipe ou par des voy’acteurs (voyageurs responsables ambassadeurs), ainsi qu’un service de recherche personnalisée.
Crowdfunding Voy’Agir sur https://fr.ulule.com
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Contacts presse :
• Marine de Beaufort – Voy’Agir – 06 07 98 12 97.
• Karine Baudoin – RP – 06 30 08 42 14.
La Banque Populaire du Sud lance Sud Exception’Elles, concours à destination des femmes entrepreneures.
Les femmes entrepreneures, quel que soit leur statut, peuvent concourir aux Prix Sud Exception’Elles du 20 février au 31 mars 2017. Initié par le réseau des Elles du Sud et organisé par la Banque Populaire du Sud, ce concours doit valoriser les performances des femmes dans l’économie et récompenser les réalisations des entrepreneures les plus remarquables de la région.
Clientes de la Banque Populaire du Sud ou pas, les femmes chefs d’entreprises, professions libérales, dirigeantes de structures de l’économie sociale et solidaire ou encore agricultrices peuvent prétendre à recevoir l’un des sept Prix Sud Exception’Elles mis en jeu par la banque régionale sur son territoire (Languedoc-Roussillon, Ariège et Sud-Ardèche). L’initiative du concours revient au réseau des Elles du Sud, ensemble de collaboratrices de la BP Sud qui entend contribuer à la promotion des femmes dans l’encadrement et les inciter à la prise de responsabilités. « Nous œuvrons déjà beaucoup en interne, explique son animatrice Catherine Baldo, directrice innovation et service clientèle de la Banque Populaire du Sud. Nous travaillons notamment sur la mixité et avons à ce titre contribué à l’obtention du Label Égalité. Nous souhaitons à présent agir en externe pour promouvoir les activités performantes et les projets originaux menés par des femmes. » La remise des Prix se déroulera le 11 mai à Mende lors de l’Assemblée Générale de la Banque Populaire du Sud. Des cérémonies auront aussi lieu localement dans les agences bancaires de proximité. Les lauréates recevront un chèque de 500 euros et pourront bénéficier d’un prêt professionnel jusqu’à 5.000 € à taux 0%.
Sept catégories pour traduire la diversité des activités économiques
Les femmes dirigent des entreprises dans des secteurs très diversifiés. Les organisateurs du concours ont donc imaginé sept catégories pour traduire la richesse de l’activité économique générée par les femmes en région. Le prix Innovation saluera le caractère innovant d’un produit, service ou procédé, d’une organisation interne ou de nouvelles méthodes marketing et de distribution. Le prix Création d’entreprise récompensera la créatrice d’une entreprise de moins de deux ans qui se distingue par sa vision stratégique du développement. Le prix Performance durable reviendra à la dirigeante d’une entreprise de plus de cinq ans dont la performance économique s’inscrit dans la durée. Le concours comprend aussi les Prix Économie Sociale et Solidaire, Profession libérale et Agricultrice. Enfin un Coup de cœur sera attribué à une femme qui s’illustre par son engagement et par sa capacité d’entreprendre.
Concours Sud Exception’Elles : mode d’emploi
• Les candidates peuvent retirer leur dossier dans les agences de la Banque Populaire du Sud ou bien le télécharger sur le site www.sud.banquepopulaire.fr
• Elles l’adresseront complété au plus tard le 31 mars : par mail en PDF ou sous format papier dans une agence Banque Populaire du Sud.
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Contacts presse
• Agence RP Karine Baudoin
Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.
• Banque Populaire du Sud
Béatrice Giroux • 04 68 38 48 68.
• Réseau des Elles du Sud
Catherine Baldo • 04 66 76 43 20.
Deux entreprises agricoles des Pyrénées-Orientales reçoivent le Prix national de la dynamique agricole et de la pêche
Le GAEC Fromagerie Le Mouly Benc et la SARL Si Bio font partie des neuf lauréats du Prix national de la dynamique agricole et de la pêche. La Banque Populaire les a récompensés le 18 janvier dernier, au siège du Groupe BPCE, pour leur dynamisme et leur capacité à innover au service de la qualité.
La Banque Populaire du Sud avait déposé trois des 110 dossiers en lice pour le Prix national de la dynamique agricole, prix placé sous le haut patronage de Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. Le jury national composé de 30 membres, représentants de la profession agricole, a désigné neuf lauréats (huit agriculteurs et un pêcheur) parmi les 28 candidats présélectionnés. Le Gaec Fromagerie Le Mouly Benc, situé à Serralongue dans la Vallée du Vallespir, est récompensé dans la catégorie « Création d’entreprise agricole » ; la SARL Si Bio, installée au Soler, dans la catégorie « Initiative collective ».
Kévin et Jonathan ont réintroduit l’élevage bovin dans le Vallespir
Les frères Astrou ont créé de toutes pièces, dans leur vallée natale, un élevage de vaches allaitantes au pays des chèvres. Dans un mas isolé et abandonné, grâce au soutien de leurs parents, ils ont construit eux-mêmes les locaux de leur entreprise. Depuis cinq ans, Kévin et Jonathan élèvent 14 vaches en quasi autonomie alimentaire. Au sein de La Fromagerie Le Mouly Benc, ils produisent et transforment 60.000 litres de lait. Ils vendent leur lait cru, leurs yaourts et leurs fromages (faisselles, lactiques, tommes, brousse) sur les marchés d’Amélie-les-Bains, Prats-de-Mollo, Céret et Serralongue.
Si Bio donne une nouvelle vie aux fruits déclassés de la Vallée du Têt
En 2012, Pierre, Alain, Paul et Michel en ont eu assez de jeter à la poubelle ou de vendre à un prix ridicule leurs fruits déclassés à des industriels. Les arboriculteurs, voisins dans la vallée du Têt, ont donc monté leur propre entreprise de transformation. Pour développer l’activité et rentabiliser les outils de production, Si Bio a proposé ses services aux petits arboriculteurs et maraîchers locaux. La gamme de produits s’est aussi élargie aux compotes, confitures, soupes et gaspachos. Enfin, la société commence à nouer des partenariats avec des producteurs de goji, de grenade, de sève de bouleaux ou d’orange bio d’Espagne.
Les Banques Populaires et l’agriculture
Les Banques Populaires sont engagées depuis vingt-six ans auprès des agriculteurs. Aujourd’hui 22 % des exploitations françaises sont clientes des Banques Populaires.
En 2016, 7000 agriculteurs font confiance à la Banque Populaire du Sud, soit 36 % des agriculteurs de son territoire (ex Languedoc-Roussillon, Ariège et Sud Ardèche).
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Contacts presse :
• Agence RP : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
• Service communication BP Sud :
François Cartier – 04 68 38 22 10 • Ludovic Goujon – 04 68 38 22 33.
Gwendoline Lefebvre présidente 2017 de la Jeune Chambre Économique de Montpellier
Gwendoline Lefebvre succède à François Girault à la présidence de la Jeune Chambre Économique de Montpellier. La passation aura lieu mardi 24 janvier à l’occasion de la soirée de vœux de l’association à l’EPF Montpellier.
Au-delà de l’événement majeur que représente la Convention nationale – 800 à 1000 jeunes citoyens rassemblés du 15 au 17 juin sur le thème des Smart Cities – la JCE de Montpellier annonce un programme riche pour 2017. Ses membres préparent en effet une action de lutte contre le gaspillage alimentaire et un événement Know How to Transfert sur l’entrepreneuriat en partenariat avec neuf jeunes chambres économiques locales en Europe. Ils programment aussi une 3e édition de Tapas’1 job consacrée cette année à l’insertion des travailleurs en situation de handicap, et le lancement d’une journée pour le climat. Ces actions menées sur le front de l’emploi et de l’économie auront lieu grâce au réseau de la Jeune Chambre Internationale, ainsi qu’au soutien des collectivités territoriales et des partenaires privés de l’association.
Contacts presse :
• Rémy Sounier, vice-président communication, 06 95 40 98 45.
• Karine Baudoin, sénatrice jci, 06 30 08 42 14.
Concours Le Refuge Institut Randstad « Initiatives contre l’homophobie et la transphobie » : focus sur le harcèlement en milieu scolaire en 2017.
Du 20 janvier au 20 avril 2017, les associations portant un projet de lutte contre les LGBT phobies et de soutien des jeunes qui en sont victimes peuvent participer au concours Le Refuge Institut Randstad « Initiatives contre l’homophobie et la transphobie ». Cette 6e édition innove avec la remise d’un Prix supplémentaire par la Fondation Jasmin Roy, qui lutte contre l’intimidation et la violence en milieu scolaire.
Le concours Le Refuge Institut Randstad « Initiatives contre l’homophobie et la transphobie » sera doté de trois Prix en 2017. L’Institut Randstad remettra un chèque de 5 000 euros au projet sélectionné par un jury de personnalités et de représentants associatifs, présidé cette année par Jenifer, marraine du Refuge. Le Prix Têtu – Garçon Magazine récompensera de 2 000 euros l’action plébiscitée par les internautes, qui pourront voter sur le site du Refuge du 22 au 28 avril. Enfin, la Fondation Jasmin Roy décernera le Prix des Lycéens : un établissement scolaire engagé dans la lutte contre l’homophobie recevra 2 000 euros.
En 2016, le Prix Le Refuge Institut Randstad était revenu au foyer socio-éducatif du collège André Maurois de La Saussaye pour sa comédie musicale Roméo et Julien ; le Prix Yagg – Têtu au Centre LGBT Touraine pour ses « 10 jours contre la transphobie ».
La chanteuse Jenifer présidera la remise des Prix le 17 mai à Paris
L’annonce des résultats et la remise des Prix auront lieu le 17 mai, dans le cadre de la Semaine nationale du Refuge, à la mairie du XIe arrondissement de Paris. La présidente du jury Jenifer sera entourée de :
• Christine & the Queens, membre d’honneur
• Laurent Morestain, secrétaire général du Groupe Randstad France et président de l’Institut Randstad
• Ana de Boa Esperanca, déléguée générale de l’Institut Randstad
• Jasmin Roy, président de la Fondation Jasmin Roy
• Christophe Soret, directeur de la publication de Garçon Magazine
• Adrien Naselli, rédacteur en chef de Têtu
• Jean-Luc Romero, président du CRIPS IDF, de l’ADMD et d’ELCS
• Christophe Michel, militant associatif
• Marie-Pierre Pruvot, dite Bambi, écrivaine
• Baptiste Giabiconi, mannequin et chanteur
• Nicolas Noguier, président de l’association nationale Le Refuge
• Frédéric Gal, directeur général du Refuge
• Clio Léonard, déléguée régionale Paris/IDF du Refuge
• Mehdi Aïfa, président de l’Amicale des Jeunes du Refuge
• Remy Rego, chargé de communication externe du Refuge
• Karine Baudoin, attachée de presse, partenaire institutionnelle du Refuge.
>>> Le Concours est réservé aux associations françaises loi 1901
> Le concours a lieu du 20 janvier au 20 avril 2017, cachet de la poste faisant foi.
Le budget prévisionnel ou définitif de l’action présentée ne doit pas dépasser 20 000 euros.
> Dossier complet de présentation de l’action avec pièces justificatives à renvoyer par courrier et par mail avant le 20 avril 23h59 à : Le Refuge – Concours Le Refuge Institut Randstad 2017 – 75 Place d’Acadie – 34000 Montpellier / concours@le-refuge.org.
> Dossier de candidature et règlement à télécharger sur www.le-refuge.org.
> Infos : 09 54 92 60 66 • concours@le-refuge.org.
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Contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
La Banque Populaire du Sud obtient le label égalité professionnelle
L’AFNOR vient d’attribuer à la Banque Populaire du Sud le label de l’égalité professionnelle. Cette certification reconnait les bonnes pratiques mises en œuvre au sein de l’entreprise pour garantir durablement la mixité et l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.
Le label égalité professionnelle salue l’engagement de longue date de la Banque Populaire du Sud dans ce domaine. Entre le 5 octobre 2009, date du 1er accord d’entreprise, et le dernier accord du 23 juillet 2015, la banque régionale s’est dotée d’une politique d’égalité professionnelle plus ambitieuse et plus concrète en matière de non discrimination (principe général), de recrutement, d’accès à la formation, d’évolution professionnelle, de parentalité, de rémunération et de conciliation vie privée et vie professionnelle. Et pour cause : les femmes représentent 60,9% de l’effectif en CDI de la Banque Populaire du Sud. « Aujourd’hui, nos objectifs sont de réussir l’enjeu de la mixité sur tous les métiers » explique Fabienne Intertaglia, responsable mixité et égalité professionnelle au sein de la BPS. « Nous souhaitons encourager les femmes à la prise de responsabilités. Nous voulons lutter contre les stéréotypes et les discriminations afin de permettre à tous les hommes et à toutes les femmes de l’entreprise de s’épanouir et de s’accomplir professionnellement. »
Parmi les mesures mises en place par la Banque Populaire du Sud, l’accord relatif au retour de congés maternité : toute femme reprenant son travail à 100% bénéficie d’une heure de travail en moins pendant les trois premiers mois de la reprise. Le domaine de la formation s’adapte aussi au rythme de vie de l’ensemble des collaboratrices et collaborateurs. La programmation des sessions de 9h30 à 16h30 leur permet de se rendre sur les lieux de formation pendant leur temps de travail, donc de mieux concilier vie privée et vie professionnelle…
Le processus de labellisation Égalité
Créé en 2005, le label Égalité est destiné à valoriser l’égalité hommes/femmes et la mixité professionnelle en entreprise. Le dossier de labellisation présenté par les organismes candidats est instruit par l’AFNOR Certification, qui apprécie la mise en œuvre des actions en faveur de l’égalité professionnelle et soumet un rapport à la commission labellisation composée à parité des représentants de l’État, de l’organisation patronale et des syndicats de salariés. L’évaluation se fait sur plusieurs critères, répartis en trois champs : les actions menées en faveur de l’égalité professionnelle, la gestion des ressources humaines et le management, l’accompagnement de la parentalité dans le cadre professionnel.
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Contacts presse :
Banque Populaire du Sud – François Cartier – 04 68 38 22 10 • 06 33 88 59 49.
Agence RP – Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 • 06 30 08 42 14.
Olivier Delorme avance 30 bonnes raisons pour sortir de l’Europe
Le 15 janvier 2017, H&O publie l’essai iconoclaste d’Olivier Delorme 30 bonnes raisons pour sortir de l’Europe. En 30 (et un) courts chapitres argumentés et accessibles, l’historien démonte les ressorts de l’Union européenne et dévoile l’idéologie qui la sous-tend, une idéologie qui vise à saper jour après jour l’État social et la démocratie que les combats des générations passées nous ont légués. Alors qu’approchent des scrutins majeurs, chaque citoyen doit être conscient que la « question européenne » détermine aujourd’hui la plupart des choix politiques.
En France, le débat sur la construction européenne se réduit le plus souvent à des lieux communs ou à des anathèmes : « L’Europe, c’est la paix et la prospérité pour tous, parce qu’ensemble on est plus fort. », « Quitter l’Union européenne serait une catastrophe économique, entraînerait le repli sur soi et le triomphe du nationalisme »… Mais qu’en est-il vraiment ? L’Europe est-elle une « belle idée en soi » ? La « construction européenne » a-t-elle vraiment rapproché les peuples d’Europe et garanti la paix ? Le fonctionnement de l’Union est-il démocratique ? Ses institutions sont-elles réformables ?
Dans son essai, Olivier Delorme propose d’en finir avec la propagande, démontrant d’entrée de jeu que l’Europe est « un Ordre dans lequel les peuples sont sommés de se taire pendant que ceux qui savent gouvernent ». Il montre qu’en plus d’être une création de guerre froide destinée à servir les intérêts américains, l’Europe est une oligarchie que « l’aristotélicienne nation britannique vient d’envoyer paître ». Spécialiste de la Grèce, Olivier Delorme s’attaque à l’euro, cette « monnaie allemande » impossible à réformer, qui a littéralement étouffé l’économie grecque et qui ruine tous les pays dont les structures économiques ne sont pas semblables à celles de l’Allemagne.
L’urgence de rebâtir une République sociale
Après avoir analysé le fonctionnement des institutions européennes, Olivier Delorme explique de quelle manière la démocratie est constamment court-circuitée au profit des lobbies financiers et industriels. Il dénonce aussi la dissolution de la spécificité française en politique étrangère dans le « magma euro-atlantique », la création d’une hiérarchie des peuples et voit dans l’Europe une des fabriques du terrorisme. Comme tous les empires, l’Union européenne s’effondrera un jour. Mais faut-il attendre ce naufrage ? Pour Olivier Delorme, il n’y a pas d’alternative : il faut sortir de l’Europe le plus tôt possible. Pour cela, il préconise d’organiser un nouveau « Conseil national de la Résistance », capable de redonner du sens au politique et de rebâtir « une République sociale, solidaire et participative ».
Olivier Delorme
Olivier Delorme naît en 1958 à Chalon-sur-Saône. Dès son plus jeune âge, Il se prend de passion pour l’histoire antique de la Grèce. Agrégé d’histoire, maître de conférences à l’Institut d’études politiques de Paris (2001-2008), il est l’auteur de « La Guerre de 14 commence à Sarajevo » (Hatier, 2014) et le coauteur de « Les Grecs contre l’austérité, Il était une fois la crise de la dette » (Le Temps des cerises, 2015). Il publie en 2013, dans la collection Folio Histoire (Gallimard), les trois tomes de « La Grèce et les Balkans, du Ve siècle à nos jours », qui font autorité aujourd’hui sur l’histoire de la région. Il collabore à diverses publications, dont la revue franco-hellénique Desmos-Le Lien. Il a écrit six romans édités chez H&O.
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Contact presse H&O :
Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.
Djemila Benhabib Prix Humanisme 2016 de l'Institut Maçonnique de France
Djemila Benhabib a reçu, dimanche 20 novembre, le Prix Humanisme 2016 de l’Institut Maçonnique de France pour son essai Après Charlie – Laïques de tous les pays, mobilisez-vous !, dans le cadre du Salon du livre maçonnique de Paris. Le Jury de l’Institut Maçonnique de France (IMF) décerne son Prix Humanisme à un-e auteur-e profane ayant, dans un essai, défendu des valeurs proches de celles de la franc-maçonnerie.
Après Charlie est sorti en janvier 2016 aux éditions H&O, préfacé par Boualem Sansal. Djemila Benhabib y rend un émouvant hommage à Charb, des mains de qui elle avait reçu le Prix international de la laïcité en 2012, avant de dénoncer l’autocensure de nombreux médias sur le « naufrage obscurantiste de l’islam ». Elle rappelle que la chute des grandes idéologies du XXe siècle a entraîné un retour du religieux dans nos sociétés qui compromet la liberté de conscience et d’expression, la condition des femmes, l’éducation et la liberté du désir. Djemila Benhabib appelle à un sursaut laïque pour la victoire des valeurs citoyennes et universelles.
Écrivaine, journaliste, enseignante et conférencière, Djemila Benhabib a reçu cette année à Bruxelles le Prix de la liberté d’expression pour l’ensemble de son œuvre à l’occasion de la 2e édition du Difference Day, événement organisé dans le cadre de la Journée mondiale de la liberté de la presse. Elle a publié quatre essais au Québec, tous édités en France chez H&O.
Le 14e Salon maçonnique du Livre de Paris s’est tenu à La Bellevilloise (Paris 20e) les 19 et 20 novembre, en présence de 17 obédiences françaises, une soixantaine d’auteurs et de dessinateurs, de nombreux éditeurs de livres, de revues et de bandes dessinées. Dix tables rondes, trois conférences ainsi que de nombreuses dédicaces ont également été proposées durant ce week-end.
Contacts presse :
• Karine Baudoin, Service presse H&O, 06 30 08 42 14.
• Eric Algrain, Commissaire du Salon, 06 07 99 61 73.
Les Rencontres « Femmes du numérique, Femmes d’aujourd’hui » à Montpellier
Les 18 et 19 novembre 2016, le CIDFF de l’Hérault et l’association « Elles bougent » organisent à l’EPF école d’ingénieur-e-s de Montpellier les rencontres « Femmes du numérique, Femmes d’aujourd’hui », afin de débattre de la place et de l’image des femmes dans ce domaine d’avenir. Cet événement s’inscrit dans la Digiworld Week.
En France, le secteur du numérique sera créateur d’au moins 36 000 nouveaux emplois dans les cinq prochaines années. Malheureusement, le numérique en France ne compte que 28% de femmes, et la tendance n’est pas à la hausse. Partant de ce constat, le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles de l’Hérault, l’association « Elles bougent » et l’EPF école d’ingénieur-e-s de Montpellier se sont associés pour montrer que les métiers du numérique n’ont pas de genre. « Nous souhaitons faire découvrir la diversité et la mixité de ces métiers aux parents et à leurs enfants, particulièrement aux jeunes filles, expliquent les organisatrices. On parle souvent du développeur informatique, plus rarement de la game designer ! » Les Rencontres « Femmes du numérique, Femmes d’aujourd’hui », événement mixte, proposeront trois tables rondes, quatre ateliers d’initiation au codage (dont deux ateliers réservés aux filles) et un « Salon des métiers du numérique d’un nouveau genre ».
La FrenchTech au féminin mobilisée sur un salon d’un nouveau genre
Les Rencontres « Femmes du numérique, Femmes d’aujourd’hui » doivent aussi être l’occasion de créer un rassemblement sans précédent des femmes de la FrenchTech de Montpellier et de sa région. Durant toute la journée du samedi, celles qui investissent sans complexe le monde du numérique au quotidien animeront les stands du « Salon des métiers du numérique d’un nouveau genre ». Elles sont cheffes d’entreprise, salariées, enseignantes, chercheuses, responsables pédagogiques, étudiantes (ou anciennes étudiantes)… Elles exercent comme développeuses, créatrices de contenus, blogueuses, cheffes de projet, graphistes, gameuses, community managers, YouTubeuses, webmasters, architectes, designers UX / UI, formatrices…
Inscription gratuite
• https://www.weezevent.com/les-rencontres-femmes-du-numerique-femmes-d-aujourd-hui
• RDV à l’EPF, 21 boulevard Berthelot, 34000 Montpellier • Tram 2 arrêt Nouveau Saint-Roch
Programme complet des Rencontres
Vendredi 18 novembre
• 17h15 Accueil
• 17h45 Inauguration officielle
• 18h30-19h15 Table ronde « Votre chemin vers le numérique » (témoignages)
• 19h30-21h00 Apéro networking.
Samedi 19 novembre
• 9h00 Café d’accueil
• 9h30-17h00 Salon des métiers du numérique d’un nouveau genre
• 9h45-10h30 Table ronde « Être une femme du numérique facilite-t-il la conciliation vie personnelle et vie professionnelle ? »
• 11h-11h45 Table ronde « Il n’y a pas de différence entre le cerveau des filles et celui des garçons. Alors pourquoi si peu de filles dans le numérique ? »
• 14h00 Café d’accueil
• 14h30-15h30 Ateliers de codage.
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Contacts presse :
Norolanto Razafinimanana (organisation), 06 03 81 65 77 • Karine Baudoin (agence RP), 06 30 08 42 14.
L’avenir des jeunes LGBTQI intéresse-t-il les politiques français ?
L’association nationale Le Refuge a décidé d’interpeller les candidat-e-s aux différentes primaires pour connaître leurs engagements en faveur des jeunes homosexuels et transsexuels isolés et en souffrance. La consultation démarre cette semaine sur son site Internet avec la primaire des écologistes. Elle se poursuivra, au-delà des primaires, par la consultation des candidat-e-s à l’élection présidentielle.
Reconnue d’utilité publique par décret de 2011, l’association Le Refuge se trouve cependant de moins en moins soutenue par l’État dans son travail auprès des jeunes LGBTQI rejetés par leur entourage. Pourtant Le Refuge est confrontée à une hausse sans précédent des appels à l’aide (+32% en 2016 par rapport à 2015). Son conseil d’administration a donc décidé d’informer les citoyens des mesures que les différents candidats (aux primaires dans un premier temps, à la présidentielle dans un second temps) s’engagent à prendre pour faire reculer l’homophobie et la transphobie dans la société. La consultation se fait en ligne sur le site Internet du Refuge grâce à la solution Open-Dialog développée par la French Association for Civic Education & Participation, association d’intérêt général dont l’objet est de renforcer la participation citoyenne via le numérique.
Première consultation en ligne : http://le-refuge.org/primaire-ecologiste.html
Consultation suivante (à venir) : http://www.le-refuge.org/primaire-de-la-droite-et-du-centre.html
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